Dyspraxies et TAC Dr Chaminade 2008

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Dyspraxie développementale
T.A.C : troubles d’acquisition
de la coordination
Dr S Chaminade
CAMSPP ALBI
Troubles developpementaux
TAC sans dyspraxie : retard
psychomoteur
Dyspraxie isolée
Dyspraxie dans le cadre d’un TAC
 Exclusion des troubles neuro-moteurs
secondaires à des lésions primitives ou non
du SNC (diagnostic différentiel): IMC,
maladies neurologiques….
TROUBLES DÉVELOPPEMENTAUX
Notion de Maturation du Cortex cérébral
 Organisation corticale génétiquement déterminée : prolifération et
migration des neurones (in utéro) puis élimination et
myélinisation des neurones : densité neuronale adulte atteinte
à 6 ans
 Synaptogénèse concurrente :
 connexions et réseaux neuronaux s’établissent sous de nb
mécanismes incluant les stimulations environnementales :
élimination compétitive et amplification sélective :
 flexibilité optimale du SNC en réponse à des stimulations
environnementales : notion de plasticité cérébrale
 Modification synaptique adaptative : toute la vie
PRAXIE
 Coordination volontaire (séquence) de
mouvements (contraction
musculaire)aboutissant à la réalisation
d’un geste orienté dans un but
 Geste résulte d’un apprentissage
 Intention consciente et dirigée
 Ne résulte pas d’un réflexe ou d’une
« maturation motrice »
Développement des praxies
chez l’enfant
 Évolution par étapes : plus simple au
plus complexe
 Chaque nouvelle acquisition s’ajoute
aux précédentes
 rythme d’évoluton propre
influencé par
 Facteurs individuels
 L’environnement familial
 Culturel (écriture,couteau, baguettes)
APPRENTISSAGE DES
PRAXIES
 Différentes stratégies d’apprentissage
 Imitation
 Éssais,erreurs
 Répétition
 Entraînement
Constitution de répertoires de gestes :
fichiers de programmes moteurs
Praxie : « programme
moteur »
INTÉGRITÉ INDISPENSABLE :
effecteurs neuromusculaires et de leur commande : S Pyramidal
des structures de coordination et de précision du geste :
cervelet
des systèmes d’ajustement postural résultant d’informations
internes
:
- kinesthésiques (afférences motrices)
- proprioceptives (position des mb ds espace)
- vestibulaires (canaux semi circulaires)
externes (sensorielles)
: visuelles, tactiles, auditives…
 INTÉGRITÉ DES FONCTIONS:
 de conceptualisation
 De planification
 De mémorisation
PRAXIE MAITRISÉE :AUTOMATISATION DU
GESTE
libérant des espaces cognitifs pouvant servir à
d’autres tâches
NOMBRE ET LA
COMPLEXITÉ DES PRAXIES
 Évoluent avec l’âge : Les difficultés n’apparaissent qu’à
l’âge ou la praxie est censée être maîtrisée
 Surtout entre 3 et 12 ans : Impossible de
poser un diagnostic avant 3 ans
 6 à 11 ans : le nb de geste exécutés
augmente en étroite relation avec le dvpt des autres
fonctions cognitives et des stimulations du milieu extérieur
 11 ans : praxies matures dans la vie quotidienne et
scolaire
Développement des praxies
chez l’enfant
 Aire primaire motrice mature à 4 ans
(Luria) : mouvement volontaire
 Aires prémotrices : combinaison de
gestes complexes mature à 6/7 ans
(mimer un objet imaginaire)
Développement psychomoteur
 S’effectue suivant des fenêtres
temporelles précises
 Echelle de Gesell
 Echelle de Denver
 Echelle de Dunan
Qu’est ce qu’une Dyspraxie
 Définition neurologique :
 Trouble affectant les processus cognitifs permettant
de planifier, exécuter et automatiser les mouvements
volontaires, appris, effectués dans un but précis,
permettant une interaction adéquate avec
l’environnement
 En l’absence de déficit moteur ou sensitif primaire, de
trouble du tonus musculaire, de la coordination et de
la compréhension.
Qu’est ce qu’une Dyspraxie
 Définition fonctionnelle :
 Trouble de l’acquisition et de l’élaboration de
séquences de mouvements aboutissant à la
réalisation d’un geste orienté vers un but.
 touche l’apprentissage et l’automatisation de taches
motrices volontaires nouvelles ou inhabituelles
 Interfère avec l’accomplissement des gestes de la vie
quotidienne, des apprentissage scolaires ou du
travail
CONSÉQUENCES
 Effort d’apprentissage considérable des
gestes nouveaux (besoin de nb
démonstrations, décomposition de la
séquence en sous unités)
 Geste restera disharmonieux
 Possibilité d’exécution correcte de taches
apprises dans un certain contexte mais pas
de transfert des acquis dans un autre
contexte
TAC =TROUBLE DE L’ACQUISITION DE
LA COORDINATION
 Nouvelle version du DSM IV (1994,
2000) : Disparition du terme dyspraxie
 TAC = Dyspraxie développementale
 Retard ou anomalie de développement
de « patrons de coordination »
TAC / Dyspraxie (Mazeau)
 TAC : concerne les gestes
où l’aspect dynamique est au 1er plan
innés ou acquis spontanément
sans besoin d’apprentissage explicite,
dans une fenêtre temporelle précise (en l’absence de
handicap)
culturellement indépendants : marcher, courir,
sauter…
 Dyspraxie : concerne les gestes
transmis culturellement,
organisation spatiale souvent au 1er plan
dépendant d’un apprentissage explicite
Dyspraxie (Mazeau)
 Utilisation d’outil : stylo, vêtements,
couverts, lacets…
 Fabrication, construction : cubes,
puzzles
 Gestes symboliques
 Mazeau différencie les dyspraxies
lésionnelles(IMC, lésions précoces) et les
dyspraxies
développementales(anomalie dans le
dvpt cérébral)
 Apraxie : lésions acquises secondairement
5 types de Dyspraxie
(Mazeau)
 1.D constructive visuospatiale
 2.D constructive non visuospatiale (syndrome
de Gerstman)
 3.Dyspraxie idéatoire
 4.Dyspraxie idéomotrice
 5.Dyspraxie de l’habillage
D constructive visuospatiale
Trouble de l’assemblage lié à des difficultés
d’analyse visuo spatiale
Incapacité à organiser plusieurs éléments
unidimensionnels pour réaliser un tout bi ou
tridimensionnel.
2 dimensions : reproduction de figures
(Horloge, Fig de REY)
3 dimensions : jeux de construction (cubes)
Troubles visuo-spatiaux
 Anomalie ou déficit de la perception et ou de la
réalisation de tâches impliquant spécifiquement des
notions spatiales
 Isolés ou associés à une ou des Dyspraxie(s)
 Mauvaise perception des obliques
 Trouble de la perception ou trouble cognitif(de la
signification du percept)?
 La spatialisation est une fonction multifactorielle,
complexe, maturation lente, vers 8 ans
D constructive non visuospatiale
Syndrome de Gerstman:
Trouble de l’assemblage pur, nettement
amélioré par un modèle, un schéma ou toute
information de nature visuelle
Indistinction droite gauche massive et rebelle
Agnosie digitale
Dyscalculie spatiale
Dyspraxie idéatoire
Incapacité à se représenter mentalement les
séquences à effectuer pour réaliser un geste
mais chaque mouvement élémentaire peut
être exécuté correctement mais leur
enchaînement est échoué
: trouble de la manipulation d’objet ou d’outil
Dyspraxie idéomotrice
Incapacité à effectuer les gestes sans l’objet réel
alors qu’ils sont correctement conceptualisés
Incapacité de mimer ou de faire semblant mais
peut décrire et reconnaître les mimes
Dissociation automatico volontaire très évocatrice:
actions adéquates dans leur contexte habituel
Atteinte des gestes symboliques : salut militaire ou
des gestes expressifs : peur, froid
Reproduction de gestes abstrait : anneau
entrelacés…
Classification canadienne
A-Dyspraxie practo-perceptuelle : les plus fréquentes
 Troubles de la planification motrice, de
l’automatisation, de rétroaction et d’ajustement du
geste
 Troubles perceptuels essentiellement
visuoperceptuels (parfois tactiles ou auditifs)
B-Dyspraxie avec troubles visuo spatiaux
prédominants : diagnostiquée tard, manifestation
essentiellement scolaire, peu de perturbation dans
la vie quotidienne
C-Dyspraxie motrice pure : (rare sans atteinte du
SNC)
Etiologie neurologique
 Pas de site lésionnel clair, pas d’unanimité
de la communauté scientifique
 50% : facteurs congénitaux,
Anoxie néonatale (NGC),
prématurité (cervelet)
 Trouble de l’intégration sensorielle? (Ayre)
 Perturbation de la représentation symbolique
du geste ?(Dewey)
 Trouble de la réalisation, de la
programmation du geste? (Mazeau)
T.A.C
« difficultés de coordination
motrice qui gênent l’adaptation de l’enfant au
quotidien, auxquelles s’adjoignent fréquemment des
dyspraxies, notamment gestuelles et visuo
constructives, et de la lenteur »(2005, ed solal)
 6% des enfants de 5 à 11 ans

JM Albaret (citant Corraze):
 Sex ratio : 2 à 7 garçons pour 1 fille
 Troubles persistant à l’adolescence et âge adulte
Critères diagnostiques du trouble
de l’acquisition de la coordination
(DSM IV 1994)
 A . Les performances dans les activités quotidiennes
nécessitant une bonne coordination motrice sont
nettement au dessous du niveau escompté compte
tenu de l’âge chronologique du sujet et de son niveau
intellectuel (mesuré par des tests). Cela peut se
traduire par des retards importants dans les étapes
du développement psychomoteur, par le fait de
laisser tomber les objets, par de la « maladresse »,
de mauvaises performances sportives ou une
mauvaise écriture
Critères diagnostiques du trouble
de l’acquisition de la coordination
(DSM IV 1994)
 B. La perturbation interfère de façon significative avec la
réussite scolaire ou les activités de la vie courante
 C.La perturbation n’est pas due à une affection médicale
générale et ne répond pas aux critères d’un trouble
envahissants du développement
 D. Si retard mental, les difficultés motrices dépassent celles
habituellement associées à celui-ci
Critères diagnostiques du Trouble
spécifique du développement moteur
(CIM-10, O.M.S., 1994)
 A. Le résultat obtenu à un test standardisé de coordination
motrice se situe à au moins deux écarts types en dessous du
niveau escompté, compte tenu de l’âge chronologique
 B.La perturbation décrite en A interfère de façon significative
avec les performances scolaires ou avec les activités de la vie
courante
 C.Absence de toute affection neurologique identifiable
 D.Critère d’exclusion le plus couramment utilisé : le QI évalué
par un test standardisé passé de façon individuelle , est inférieur
à 70.
Présentation et signes d’appel

Difficultés dans les activités de la vie
quotidienne, « maladresse », « ils se cognent », ils « laissent
tout tomber ».Difficultés dans l’habillage,dans l’utilisation des
couverts.

Lenteur importante dans les activités motrices

Difficultés d’adaptation aux changements (marcher sur une
surface non familière)

Difficultés d’apprentissages moteurs nouveaux (vélo)

Difficulté d’anticipation (ballon)
Présentation et signes d’appel
 Difficulté d’automatisation du mouvement (double tache)
 Troubles des apprentissages scolaires : dysgraphie,
difficultés en lecture (orientation des lettres), en calcul , en
géométrie (troubles visuospatiaux…)
 Mauvaises performances en sport (cercle vicieux )
 Trouble de la perception temporelle (temps d’un trajet)
 Fluctuation des troubles;
 Stratégie inhabituelle
 Amélioration si aide séquentielle ou verbale
Répercussions
psychologiques
 Diminution de l’estime de soi : image de paresseux, se replie
sur lui même, prise de conscience dés la maternelle de la moins
bonne réalisation graphique ou constructive malgré les
répétition et les efforts fournis, sentiment d’impuissance, de
frustration…
 Doute de l’entourage et de l’école sur les capacités
intellectuelles de l’enfant : maintenu avec des enfant plus
jeunes dont il recherche parfois la compagnie pour être sécurisé
 (sur)Protection parentale (pouvant entraîner un sentiment
d’insécurité ) en fait souvent conséquence de la perception
intuitive de la différence de l’enfant.Aide parentale en fait
souvent adaptée mais perçue par l’entourage comme
responsable du trouble et pouvant effectivement favoriser la
dépendance à l’adulte (cercle vicieux)
 Se construit une identité pas toujours adaptée ,
Hétérogénéité des troubles
 Simple lenteur dans les activités motrices jusqu’à
l’incapacité totale de réaliser des apprentissages
moteurs
 Déficit isolé ne touchant que quelques activités
quotidiennes ou uniquement la motricité manuelle
jusqu’à l’ incapacité à réaliser une quelconque
action motrice
 Début d’apparition des troubles : dés les 1ers gestes
ou découverte à l’âge scolaire
Co morbidité
 TDAH
 Troubles de la planification, des
fonctions exécutives
 Troubles de l’apprentissage du
langage écrit ou oral jusqu’à la
dyspraxie verbale.
Syndrome dysexcécutif
 Trouble différent mais parfois associé
aux troubles moteurs
 Anomalie frontale
 Atteinte des capacités de planification,
initiative, projet et pertinence du geste
Incapacité d’apprentissage
non verbal
 Trouble perceptivo moteur
 Dyscalculie
 Trouble des compétences sociales
(capacités à décoder et utiliser la
communication non verbale)
 Rare et mal connu en pratique
EVALUATION
PLURIDICIPLINAIRE







Neuropédiatrique
Pédopsychiatrique
Neuropsychologue : QI
Psychologue clinicien(ne)
Psychomotricien(ne)
Orthophoniste
Orl, Ophtalmologique
Examen clinique
neuropédiatrique
 Anamnèse, antécédents familiaux ,
périnataux,médicaux…
 Dvpt psychomoteur…
Dvpt du langage et de la communication
 Comportement : répercussion psychologique,
TED
 Intégrité sensorielle
 Intégration sociale et scolaire
Examen neuropédiatrique
 Acquisition psychomotrice : échelle de dvpt
psychomoteur(dvpt svt « limite »)
 Courbe SP, PC, dysmorphie, cutané(taches
décolorées ou café au lait)
 Ex clinique médical standard et neuromoteur
: souvent signes neurologiques discrets : soft
signs
 Elimine cause neuro(IMC, dystonie, sd
cérébelleux), moteur,orthopédique,
sensorielle
Examen neuropédiatrique





Peu latéralisé ou ambidextre
Déficit graphesthésiques
Syncinésies
Dysdiadocosynésies
Contrôle postural : hypo ou hypertonie, difficultés
d’équilibre statique et dynamique(saut à cloche pied)
 Trouble de la coordination sensori motrice : lenteur,
imprécision, manque de fluidité
 Praxies manuelles, graphie, praxies bucco faciales
Bilan neuropsychologique
Batterie de dépistage :
BREV : 4 à 9 ans
4 ensembles de subtests explorant le LO, les
fonctions non verbales et exécutives, l’attention,
la mémoire, l’apprentissage du LE et du calcul
Score Verbal et non verbal
Evaluation
neuropsychologique
 Évaluation des compétences intellectuelles : QIT>75
 Hétérogénéité significative mais non obligatoire et
non pathognomonique du QIV et du QIP : QIV>QIP
 Comparaison des subtests affectés par la
composante motrice : Profils variés
WIPPSI-R : AO, cubes, labyrinthe, dessins
géométriques
WISC-IV: AO, cubes, labyrinthe, code
 K ABC: mouvements de mains
 Matrice de Raven(aucune composante motrice)
 EDEI-R
Bilan psychomoteur
 Coordinations motrices
-Echelle de coordination motrice de Charlop-Atwell : 6 mois /6ans
-Batterie d’évaluation du mouvement chez l’enfant (Movement
ABC) : 4/12 ans
-Echelle de développement psychomoteur de Lincoln-Ozseretky :
5,5/14,5 ans
Ecriture : Echelle d’évaluation rapide de l’écriture chez l’enfant
(BHK) ,:vitesse d’écriture , 13 items
Praxies constructives : Figure de Rey
Praxies gestuelles : Test d’imitation de geste de Berges Lézine
Batterie neuro-psychologique
 NEPSY : Nouvelle Batterie d’évaluation
neuropsychologique
 3 à 12 ans
 6 à 7 épreuves motrices et praxiques






Reproduction de figures géométriques
Construction de blocs en 3D
Imitation de gestes avec les mains
Parcours d’une trajectoire
Séquence manuelle de geste avec les mains, le visage
Oscillation digitale (5/12 ans)
DYSGRAPHIE DYSPRAXIQUE
 Préférence pour les lettres non liées
 Difficultés de raccordement des différents segments de lettres
 Connaissance de la forme finale de la lettre, critique de sa
propre production
 Pas de stabilité dans les productions
 Pas ou peu d’amélioration d’un essai à l’autre
 Intensité variable : lenteur d’écriture, fatigabilité importante
jusqu’à écriture illisible
 NB : Toutes les dysgraphies ne sont pas d’origine dyspraxique
Dyspraxie Visuo Spatiale
 Plus fréquent chez l’ancien prématuré ou SFA
 Symptomatologie très voisine chez L’IMC
 Révélation au contact des 1iéres exigences scolaires chez un
enfant « sans problèmes » : véritable symptomatologie scolaire
 Trouble de l’apprentissage de la lecture : trouble de la prise
d’infos visuelles :
 Trouble de l’organisation oculomotrice perturbant la
saccade de lecture
 Pas d’acquisition d’automatisme de ces stratégie du
regard : Adressage perturbé
 Hypothèse visuo attentionnelle de la Dyslexie
(Valdois)
Dyspraxie Visuo Spatiale : aide
scolaire
 Production d’écrit
 Ordinateur, surtout pour dictée ou compositions
 Faire appel à leur compétences mnésiques et
auditivo verbales (étymologie)
 Favoriser la copie différée
 Présentation sur page :
- repère de couleur mais aggravation par les
lignes
- Lignes fluo
- Un seul exercice par page
ADAPTATION SCOLAIRE ET
DYSPRAXIE
 Effets néfastes du maintient en GSM
 Amalgame avec l’immaturité intellectuelle
 Progression insuffisante et maintient ou aggravation du
décalage des compétences graphiques
 Une grande partie des apprentissages de maternelle concerne
le graphisme, les habiletés motrices, les activités pré
mathématiques : expérience réitérée de l'échec sans bénéfice
 Pairs plus jeune : répercussion sur les apprentissages, la
motivation scolaire l’identité de l’enfant
 Pas de prise en compte de ses capacités de raisonnement, de
conceptualisation alors que c’est son point fort
 Une année de retard dans un système peu tolérant
Scolarité et dyspraxie
 Seuls les aménagements scolaires
associés à des rééducations bien
ciblées en partenariat avec la famille ,
l’école, le psychomotricien, l’enseignant
référent permettent l’adaptation de
l’enfant
 Ne pas viser la normalisation mais
l’adaptation
conclusion




Reconnaissance des troubles
Définition précise
Diagnostic pluridisciplinaire
Importances des évaluations et de leur
étalonnage
 Prise en charge :




rééducation psychomotrice ,orthophonique,orthoptique
Soutient psychologique
Adaptation scolaire
Intégrant l’enfant, sa famille, l’école,le psychomotricien
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