Liberté d'association et réforme
structurelle des syndicats
Formation sur la liberté
syndicale et la réforme
structurelle des syndicats
Compte rendu de la journée du
lundi 12 septembre 2011
Liberté d'association et réforme
structurelle des syndicats
Lieu de la formation :
salle de la formation N°73 du Centre
International de l’OIT à Turin
Responsable du programme : Mban Kabu
Formateur : Insa DIA
Collaborateur : Gaelle Stierlam
Liberté d'association et réforme
structurelle des syndicats
Heure de début : 08h55
Thème n°1: Les concepts d’économie informelle
Méthodologie du cours : Présentation,
explications et débats autour d’une diapositive
préparée par le formateur Ben Said
Liberté d'association et réforme
structurelle des syndicats
Quelques points saillants de la diapositive:
L’expression économie informelle a été créée par l’OIT au
début des années 70 àla suite d’une étude menée au Kenya.
Elle est devenue officielle lors d’une résolution du BIT en
2002,et a remplacé l’expression secteur informel (devenue
économie informelle) parce qu’elle fait allusion à un ensemble
de secteurs d’activités et non àun seul.
Différentes définitions de l’économie informelle selon le DG
de l’OIT :définition positive comme source d’emplois et de
revenus,définition négative comme segment entier de la
sociéqui échappe à toute réglementation et protection,
définition romanesque comme source de retard et de
pauvreté (voir rapport OIT de 1991).
Le credo du travail décent est le suivant : « Tous ceux ou
toutes celles qui travaillent ont des droits au travail, peu
importe ils travaillent et comment ils elles travaillent ».
Liberté d'association et réforme
structurelle des syndicats
Quelques raisons qui expliquent la faible
couverture de protection sociale :
- Revenus faibles et irréguliers des travailleurs
- Ignorance des droits de sécurité sociale
-Bureaucratie pesante…
En Afrique, l’économie informelle touche jusqu’à 90%
de la population de certains pays, Mais la différence
entre l’économie informelle africaine et celle des pays
industrialisés est que pour ces derniers, il s’agit d’une
économie rémunérée mais non déclarée (économie
souterraine ou travail au noir). Tandis qu’en Afrique,
ce sont des activités officielles, pas cachées.
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