Lecture de l’image-photo : les dénotations Schéma logique de lecture déplacement de l’œil dans l’image Composition dans l’image Composition dans l’image Alex Powers Portraits et personnages à l’aquarelle Bordas La déploration du Christ Botticelli ironie métaphore calembour allégorie hyperbole polysémie réticence calembour Antanaclase polysémie Sémiotique concepts de base Sémiotique du langage Sémiotique et rhétorique Sémiotique de l’oralité Sémiotique du texte Sémiotique sensorielle Sémiotique visuelle L’image fixe Le film La représentation Le mouvement Sémiotique des autres sens Plan Le goût L’odorat Le toucher Une synesthésie Sémiotique en communication des organisations La communication produits (publicité) L’événementiel La mise en scène Le rituel La communication financière La communication sociétale & l’environnement Ethos, l’énonciateur le produit et la marque Pathos, approche psychologique du récepteur Logos, approche sur le message La communication sur les valeurs La communication par l’objet et le design Le film Une image en mouvement Une polysémie renforcée Mouvements de caméra et effets de sens Panoramique horizontal : décrire un paysage ou une scène, impression d’immensité Panoramique vertical : ménage un effet de suspense en découvrant un personnage des pieds au visage. En sens inverse impression de gigantisme Caméra portée : entrée du spectateur dans la diégèse. Dans le même sens utilisation de caméscope, image sautée, floue pour authentifier la véracité du récit à la manière du reportage de guerre. Travelling le mouvement permet de s’assimiler à ce que voit un personnage Travelling avant : mise en avant du sujet, isolé du reste de la scène, sentiment de proximité psychologique Travelling arrière : mise en perspective du sujet, justification de l’anxiété du sujet, mise à distance éloignement Zoom avant zoom arrière : plus rapide que le travelling ( utilisé en reportage ou documentaire, devient par extension une marque d’authenticité, accélère le processus narratif Ralenti : dramatisation de scène Le découpage diégétique Le plan : tout morceau de film compris entre deux changements de plan, i.e. généralement de position de caméra( sauf si la caméra est en mouvement) La séquence : moment isolable dans le déroulement d’un film, suite d’événements comportant une unité - en termes de segmentation :suite de plans avec ellipses avec des relations temporelles de successivité diégétique - en termes narratifs succession d’événements et non de plans comportant une logique régissant la succession des événements Plan séquence : combinaison de mouvements de caméra en une seule séquence. Renforce la continuité temporelle On ajoute bien entendu les éléments vus pour l’image fixe : cadrage, lumière, angle de vue Jacques Aumont - Michel Marie Dictionnaire théorique et critique du cinéma Nathan Analyse du film publicitaire Durée très courte Modularité du film suivant la longueur du spot Combinaison des matières d’expression du cinéma: Sons : paroles, musique, bruit Images : fixes, animées, photographiques, graphiques Ecriture : titres, intertitres Objectifs différents: faire connaître, faire aimer, faire acheter François Vanoye et Anne Goliot-Lété Précis d’analyse filmique Nathan Université p 90 Stratégies dans le spot publicitaire Argumentation directe Description du produit Mode opératoire ( comment il agit) Modalité discursive ( qui parle) L’expert (Vademecum Oral B : dentiste ) La star ( cosmétiques : Andie McDowell, Mila Jovovitch, L’Oreal) Le consommateur témoin (Ace délicat nettoyant ménagère) Le proche ( le pseudo-ami, C-clean: produits dermatologiques) Le produit lui-même ( MM’s, Jean Caby, Bonduelle grain de maïs) La personnalisation du produit la marque invente un personnage ( Uncle Ben, Monsieur propre) Collectif (L’ami Ricorée, petits beurre de LU : Jacques 79 ans mangeur de petits Lu, Egoïste) Voix off (Peugot 307 coupé les hommes sont de retour) Les acteurs d’une saynète ( MAAF assurances) Narration Séduction Béatrice Bellissent François Vanoye et Anne Goliot-Lété Précis d’analyse filmique Nathan Université p 96 Analyse d’un spot publicitaire Chronométrer Compter les plans; repérer les rapports de durée Repérer les figures de transitions( cuts , fondus) Repérer les procédés techniques ( ralentissements, accélérés, surimpressions) Noter les voix ( in, off) qui parle ? , à qui ?, pour dire quoi ? Caractéristiques visuelles des personnages, rôles Manifestations du produits nom (dit, écrit), image quand, comment, combien de fois Caractériser le spot ( argumentatif, narratif, descriptif ) Stratégie d’influence ( information, séduction) Repérer les caractéristiques formelle ou rhétoriques ( redondance son-image, hyperbole, ellipse, gradation (Egoïste)) François Vanoye et AnneGoliot-Lété Précis d’analyse filmique Nathan Université p 90 Sémiotique concepts de base Sémiotique du langage Sémiotique et rhétorique Sémiotique de l’oralité Sémiotique du texte Sémiotique sensorielle Sémiotique visuelle L’image fixe Le film La représentation Le mouvement Sémiotique des autres sens Plan Le goût L’odorat Le toucher Une synesthésie Sémiotique en communication des organisations La communication produits (publicité) L’événementiel La mise en scène Le rituel La communication interne La communication financière La communication sociétale & l’environnement Ethos, l’énonciateur le produit et la marque Pathos, approche psychologique du récepteur Logos, approche sur le message La communication sur les valeurs La communication par l’objet et le design Éléments d’analyse des spectacles Au-delà de la diversité des formes d’expression de la représentation, rechercher des éléments de significations applicables dans d’autres contextes Prise en compte d’une signification : Construite par un auteur Mise en scène par un réalisateur Interprétée par un acteur Reçue et construite par le spectateur (l’œil libre) Repensée dans l’espace public ( critiques, spectateurs ayant déjà vu…) Récit Narration Diégèse L’histoire : tout ce qui se passe, montré explicitement aux spectateurs mais aussi implicitement (ce que le spectateur peut logiquement envisager hors cadre, le avant ou après) Le récit : signifiant, la matière de l’histoire, comment l’histoire devient quelque chose de raconté La narration, le contenu et son contexte d’énonciation La diégèse : l’histoire et son contexte, concerne le récit non filmique (de quoi parle t’on) c’est le contenu indépendamment du médium filmique « tout ce qui est censé se passer, selon la fiction que présente le film ; tout ce que cette fiction impliquerait si on la supposait vraie. » — Etienne Souriau, Vocabulaire d'esthétique, un lieu représenté, fictif, fait partie de l'univers et de la réalité diégétique au contraire du lieu réel (Wikipédia Diègese)‘ Cf Genette Figures III Discours du récit Seuil Relations son / image 3 matières de l’expression sonore : - paroles - bruits - musique Rapports son image Son in source de la parole présente à l’image (son synchrone) Son hors champ : source présente non visible Son off source située dans un autre espace temps, son extra diégétique L’underscoring ( souligne l’action avec correspondance son image comme les violons dans film de terreur) Le mickeymousing (bruit de cymbale à la chute d ‘un personnage) Michel Chion le son Nathan Une grille d’analyse : le questionnaire Helbo 1. L’espace scénique 2. Les objets Sa forme et la forme du théatre Sa nature (mimétique-ludique) ? Coordonnées de l’espace (ouvert—fermé. hauteur—profondeur. vaste—réduit. vide-occupé? Rapports du scénique et de l’extra-scène Quelle « esthétique (couleurs, formes. style». références culturelles)? Origine? Matière Nombre ? Polyvalence ? Utilité? Fonctionnement rhétorique—symbolique ? 3. Les comédiens Nombre de comédiens. Rapport personnage-acteur. Type-individuation. Apparence, âge, sexe, gestuelle, voix-diction, costume? Socialité du comédien : histoire, rôles déjà joués, appartenance à une troupe? Patrice Pavis l’analyse des spectacles Nathan université 1996 Une grille d’analyse : le questionnaire Helbo(II) 4. Le drame Quel genre? Quelle fable? Le mode d’échange? La part d’improvisation et l’aléatoire? 5. Le travail du metteur en scène Comment met-il la fiction en valeur (fictionnalisation)? Quel type de référent choisit-il (historique, contemporain, fantastique...)? Comment fait-il le découpage en unités? Privilégie-t-il le continu ou le discontinu? Y a-t-il prédominance du visuel ou de l’écoute (parole, musique)? Patrice Pavis l’analyse des spectacles Nathan université 1996 Grille d’analyse : le questionnaire Pavis (I) 1. Caractéristiques générales de la mise en scène a. Ce qui tient les éléments du spectacle (rapports des systèmes scéniques). b. Cohérence ou incohérence de la mise en scène : sur quoi se fonde-t-elle? e. Place de la mise en scène dans le contexte culturel et esthétique. d. Qu’est-ce qui vous dérange dans cette mise en scène : quels moments forts, faibles ou ennuyeux? 2. Scénographie a. Formes de l’espace urbain, architectural, scénique, gestuel, etc. b. Rapport entre espace du public et espace du jeu. c. Principes de la structuration de l’espace: I. Fonction dramaturgique de l’espace scénique et de son occupation. 2. Rapport du scénique et de l’extrascénique. 3. Lien entre l’espace utilisé et la fiction du texte dramatique mise en scène. 4. Rapport du montré et du caché. 5. Comment évolue la scénographie? A quoi correspondent ses transformations? d. Systèmes des couleurs, des formes, des matières : leurs connotations. Patrice Pavis l’analyse des spectacles Nathan université 1996 Grille d’analyse : le questionnaire Pavis (II) 3. Système des éclairages Nature, lien à la fiction, à la représentation. à l’acteur. Effets sur la réception du spectacle. 4. Objets Nature, fonction, matière, rapport à l’espace et au corps, système de leur emploi. 5. Costumes, maquillages, masques Fonction, système, rapport au corps. 6. Performance des acteurs a. Description physique des acteurs (gestuelle, mimique, maquillage); changements dans leur apparence. b. Kinesthésie présumée des acteurs, kinesthésie induite chez l’observateur. c. Construction du personnage; acteur/rôle. d. Rapport de l’acteur et du groupe : déplacements, rapports d’ensemble, trajectoire. e. Rapport texte/corps. f. Voix : qualités, effets produits, rapport à la diction et au chant. g. Statut du comédien: son passé, sa situation dans la profession, etc. Grille d’analyse : le questionnaire Pavis (III) 7. Fonction de la musique, du bruit, du silence 8. Rythme du spectacle a. Nature et caractéristiques : rapport à la fable, à la diction. b. A quels moments interviennent-ils? Conséquence sur le reste de la représentation. a. Rythme de quelques systèmes signifiants (échanges des dialogues, éclairages, costumes, gestualité, etc.). Lien entre durée réelle et durée vécue. b. Le rythme global du spectacle: rythme continu ou discontinu, changements de régime, lien avec la mise en scène. 9. Lecture de la fable par cette mise en scène a. Quelle histoire est racontée? Résumez-la. La mise en scène raconte-telle la même chose que le texte? b. Quels choix dramaturgiques? Cohérence ou incohérence de la lecture? c. Quelles ambiguïtés dans le texte, quels éclaircissement dans la mise en scène? d. Quelle organisation de la fable? e. Comment la fable est-elle construite par l’acteur et la scène? f. Quel est le genre du texte dramatique selon cette mise en scène? Grille d’analyse : le questionnaire Pavis (IV) 10. Le texte dans la mise en scène 11. Le spectateur a. Choix de la version scénique : quelles modifications? b. Caractéristiques de la traduction (le cas échéant). Traduction, adaptation, réécriture ou écriture originale? c. Quelle place la mise en scène accorde-t-elle au texte dramatique? d. Rapports du texte et de l’image, de l’oreille et de l’oeil. a. A l’intérieur de quelle institution théâtrale se situe cette mise en scène? b. Quelles attentes aviez-vous de ce spectacle (texte, metteur en scène, acteurs)? c. Quels présupposés sont nécessaires pour apprécier ce spectacle? d. Comment a réagi le public? e. Rôle du spectateur dans la production du sens. La lecture encouragée est- elle univoque ou plurielle? f. Quelles images, quelles scènes, quels thèmes vous interpellent et vous res tent? g. Comment l’attention du spectateur est-elle manipulée par la mise en scène? 13. Ce qui n’est pas sémiotisable Sémiotique concepts de base Sémiotique du langage Sémiotique et rhétorique Sémiotique de l’oralité Sémiotique du texte L’organisation discursive Sémiotique sensorielle Sémiotique visuelle L’image fixe Le film La représentation Le mouvement Sémiotique des autres sens Plan Le goût L’odorat Le toucher Une synesthésie Sémiotique en communication des organisations La communication produits (publicité) L’événementiel La mise en scène Le rituel La communication financière La communication sociétale & l’environnement Ethos, l’énonciateur le produit et la marque Pathos, approche psychologique du récepteur Logos, approche sur le message La communication sur les valeurs La communication par l’objet et le design Le mouvement Sémiotique du corps en mouvement La danse Le mime Mouvements et codes culturels Mouvements et groupes d’appartenance Pour une sémiotique de la danse La danse classique : Recherche d’une esthétique Révolution de la danse moderne : l’expression dramatique des émotions et des passions Diaghilev, Nijinski, Isadora Duncan, Martha Graham, Doris Humphrey, Mary Wigman Paul Bourcier Histoire de la danse en Occident : la danse classique est indifférente aux passions, absence de significations. Recherche du sens au travers des signes. La danse contemporaine : Merce Cunningham ( interprétation à la charge du spectateur) utilisation de l’aléatoire Tendance actuelle la danse comme langage Sylvie Crémézi la signature de la danse contemporaine Chiron editeur La danse comme langage Axe paradigmatique: la position Les éléments de la signification : // avec le sème (tête, corps, bras, jambe) Axe syntagmatique : le mouvement, le geste Position et mouvement : la grammaire du corps La réflexion Le trouble Fraenkel & Legris Delporte entreprise et s&émiologie Dunod Chapitre 6 interrogation soumission Grammaire du corps en publicité Publicité automobile Etape 1 Etape 2 Etape 3 Personnage opérateur stéréotype Personne Rôle conjonctif désignatif Psychologique Mode Esquisse Flou, invisible extériorité Focalisation Construction grammaticale Plan éloigné Plan moyen Gros plan Deux images Les griffes Essence CHANEL Femmes éternelles Le prêt-à-porter Existence Kookai Hiératique Figé Absence de regard Eternité Silence Sérieux grave Nouveaux codes des griffes : mouvement décontraction, Femmes vivantes Mouvement Regard interpellant Instant Bruit ludique Sémiotique concepts de base Sémiotique du langage Sémiotique et rhétorique Sémiotique de l’oralité Sémiotique du texte L’organisation discursive Sémiotique sensorielle Sémiotique visuelle L’image fixe Le film La représentation Le mouvement Sémiotique des autres sens Plan Le goût L’odorat Le toucher Une synesthésie Sémiotique en communication des organisations La communication produits (publicité) L’événementiel La mise en scène Le rituel La communication interne La communication financière La communication sociétale & l’environnement Ethos, l’énonciateur le produit et la marque Pathos, approche psychologique du récepteur Logos, approche sur le message La communication sur les valeurs La communication par l’objet et le design Sémiotique du goût Existe-il des formes, des morphologies communes à diverses expériences esthétiques ? En quel sens le goût produit-il des objets ? Comment se constitue le lexique proposé au rituel de la dégustation ? Séminaire sur sémiotique du goût université Paris IV Un style à part… Vin de Graves Vin très bouqueté et de bonne garde. Plus corsé et nerveux que les vins du Médoc, dont il n'a pas la saveur moelleuse et délicatement fondue, il est à boire à partir de 5 ans, mais les grands millésimes des meilleurs crus peuvent être conservés 30 à 50 ans. En blanc sec, 760 ha ont donné 4 millions de bouteilles. On estime que 2,7 millions de bouteilles de blancs moelleux ont été produites par 500 ha, sous l'appellation Graves Supérieures. Qu'ils soient secs ou moelleux, les blancs des Graves sont puissants et nerveux sans jamais être acides. Ils sont à boire en général entre 2 et 6 ans, mais vieillissent bien dans les bonnes années, jusqu'à 20 ans dans les meilleures années. en accompagnement… Le Bleu du Jura aussi appelé Bleu de Gex Le bleu du Jura est uniquement produit dans la région culminante de la chaîne du Jura. C'est un gros fromage rond, à croûte épaisse et sèche, dont la coupe présente des marbrures bleues, analogues à celles du Bleu d'Auvergne ou du Roquefort. Il s'appelait autrefois le "persillé". On retrouve son existence dès le début du 13ème siècle. Sa curieuse fabrication est caractérisée par le caillage d'un lait très frais, auxquels succèdent un lent brassage du caillé et un très long égouttage en saumure dans une pièce chauffée. Le fromage est ensuite affiné pendant plus d'un mois dans un local sain. C'est alors que se développe, à l'intérieur, la moisissure bleue dont les spores ont été apportés naturellement par l'atmosphère du chalet de fabrication. Pour faciliter la pousse de ce champignon, on aère la masse du fromage en le perçant avec de grosses aiguilles. Le Bleu du Haut-Jura est très apprécié par les Lyonnais et les Stéphanois. Description: pâte blanche, douce, onctueuse, veinée de bleu, un goût franc, sans amertume; typé sans être corsé; caractéristique à toutes les pâtes persillées. Il ne doit pas avoir tendance à l'aplatissement, c'est le défaut des fromages trop humides, insuffisamment égouttés. Sémiotique concepts de base Sémiotique du langage Sémiotique et rhétorique Sémiotique de l’oralité Sémiotique du texte L’organisation discursive Sémiotique sensorielle Sémiotique visuelle L’image fixe Le film La représentation Le mouvement Sémiotique des autres sens Plan Le goût L’odorat Le toucher Une synesthésie Sémiotique en communication des organisations La communication produits (publicité) L’événementiel La mise en scène Le rituel La communication interne La communication financière La communication sociétale & l’environnement Ethos, l’énonciateur le produit et la marque Pathos, approche psychologique du récepteur Logos, approche sur le message La communication sur les valeurs La communication par l’objet et le design Langage de l’olfaction Note de tête, note de cœur, note de fond Les floraux : élaborés autour d'une ou plusieurs senteurs florales. Si une seule fleur est utilisée, on parle de soliflores Les chyprés : accord bergamote-jasmin-mousse de chêne(du nom du parfum Chypre de François Coty). Les fougères : alliance de lavande et de bois, (eaux de toilette masculines). Les cuirs : le miel, le tabac et le bouleau. Les boisés : santal, le patchouli et le cèdre. Les orientaux (ou ambrés) : mélange de vanille et d'essences animales, accompagnées par des fleurs et des bois exotiques. Les hespéridés : à base de zestes d'agrumes, ( dominante des eaux de Cologne) Acqua Di GioGIORGIO ARMANI---Fleuri Fruité F 1995 Tête : Violette, Pêche, Ananas, Citron Coeur : Jasmin, Jacinthe, Muguet, Ylang-Ylang Fond : Musc, Santal, Styrax, http://senteurs.free.fr Etude d’un parfum : Shalimar "Shalimar est un parfum qui suscite et exprime le désir. Il évoque un royaume où tout invite à la découverte des sens et à leur éveil, où tout n'est que sensualité et célébration du corps féminin. La femme Shalimar ose. Tout en elle est séduction. Ultra féminine et ensorceleuse, elle nous fait voyager au limite de l'interdit. Porter Shalimar, c'est laisser ses sens prendre le pouvoir". Famile olfactive: Voluptueux Sensuel envoutant A l'origine, c'est un hommage à l'histoire d'amour immortalisée par le Taj Mahal. Mais c'est aussi et surtout une composition magique où la vanille joua son premier grand rôle : "sa présence fit de Shalimar, une robe du soir outrageusement décolletée", rappelle Jean-Paul Guerlain. Elements d’analyse Analyse en composantes : Eidétique ( forme image mentale) Topologique Chromatique Figurative Thématique Énonciative Identité visuelle le cas de Dune Giulia Ceriani in L’image réfléchie sémiotique et marketing L’Harmattan Sémiotique concepts de base Sémiotique du langage Sémiotique et rhétorique Sémiotique de l’oralité Sémiotique du texte L’organisation discursive Sémiotique sensorielle Sémiotique visuelle L’image fixe Le film La représentation Le mouvement Sémiotique des autres sens Plan Le goût L’odorat Le toucher Une synesthésie Sémiotique en communication des organisations La communication produits (publicité) L’événementiel La mise en scène Le rituel La communication interne La communication financière La communication sociétale & l’environnement Ethos, l’énonciateur le produit et la marque Pathos, approche psychologique du récepteur Logos, approche sur le message La communication sur les valeurs La communication par l’objet et le design Toucher et matières Une perception indiciaire ou iconique ? matière température distance bois chaud intime plastique neutre moderne verre froid neutre pierre froid imposant Deux domaines d’étude privilégiés : - Le mobilier - L’automobile Sémiotique concepts de base Sémiotique du langage Sémiotique et rhétorique Sémiotique de l’oralité Sémiotique du texte L’organisation discursive Sémiotique sensorielle Sémiotique visuelle L’image fixe Le film La représentation Le mouvement Sémiotique des autres sens Plan Le goût L’odorat Le toucher Une synesthésie Sémiotique en communication des organisations La communication produits (publicité) L’événementiel La mise en scène Le rituel La communication interne La communication financière La communication sociétale & l’environnement Ethos, l’énonciateur le produit et la marque Pathos, approche psychologique du récepteur Logos, approche sur le message La communication sur les valeurs La communication par l’objet et le design Synesthésie Conjonction des perceptions sensorielles