Hypothèses génétiques
ou d’anomalies structurelles cérébrales des dyslexies
•Prédisposition génétique pour cinq gènes, tous impliqués dans la migration
neuronale
• difficultés de lecture des enfants dyslexiques se traduisent à l’IRM par un
déficit de connexion entre les aires visuelles et du langage
(Habib &Demonet, 2000).
•Risque familial: 50% au premier degré ; études jumeaux= Transmission
autosomique dominante avec pénétrance plus garçon (héritabilité 50%)
Enregistrement de l'activité cérébrale
par TEP (tomographie par émission
de positons) dans un groupe de
dyslexiques pendant la lecture d'une
suite de mots. Une région dulobe
temporal gauche est moins
active que celle d'un sujet normal.