I. Définition, prévalence, causes, signes d’appel
II. Les compétences cognitives sous-jacentes aux mathématiques
III. Les différents profils
de Dyscalculie
IV.L’accompagnement :
bilans, rééducations,
aménagements
pédagogiques
Troubles dans l’acquisition du raisonnement logico-
mathématique, dans la construction du nombre et de la
numération
Troubles rarement isolés mais souvent associés à un ou
plusieurs autres trouble(s) spécifique(s) comme la dyslexie, la
dyspraxie , et àdes troubles de l’attention et de la mémoire.
Concept relativement récent mais sur
l’ensemble des recherches menées, la
prévalence estimée varie entre 3 à 6% de
la population scolaire (Badian, 1999;
Gross-Tsur et al., 1996; Lewis et al., 1994).
Il existe probablement une contribution génétique :
Ex : chez les jumeaux homozygotes, si l’un est atteint,
l’autre l’est également dans 70 %des cas.
Hypothèse de dysfonctionnement de zones spécifiques
des lobes pariétaux gauche et droit (région du sillon
intrapariétal)
Les dyscalculiques montrent des difficultés dans des tâches
cognitives de base dont on sait qu’elles activent ces aires
cérébrales (Landerl et al., 2004).
Chez les plus jeunes : accès problématiques aux
domaines pré-mathématiques (temps, espace,
dénombrement)
Au CP/CE1 : mauvaise construction du nombre
,troubles en numération, absence de sens donné aux
opérations
Après le CM1/CM2, au collège : troubles dans la
résolution de problèmes, la manipulation de l’heure, de
l’argent, des nombres décimaux
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