Le diagnostic d’appendicite reste avant tout
basé sur un bon examen clinique.
Aussi pour étayer les hypothèses diagnostiques
envisagées, et parfois « pour se couvrir », a t-on
recours aux examens complémentaires.
Parmi ceux-ci, la radiographie de l’abdomen sans
préparation reste le champion, demandé 4 fois sur 5,
avec pourtant une efficience très faible. Il n’a
d’intérêt que si l’on suspecte une perforation
d’organe creux , une occlusion ou l’ingestion de
corps étranger.
Son rendement pour les appendicites, les problèmes
urinaires et les troubles gynécologiques est proche
de zéro.
Il faut donc apprendre à oublier ce vieux réflexe :
douleur = Abdomen sans préparation : (ASP)
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