La mécanique quantique
Après les découvertes de ............................. (électron, 1897), de .............................. (noyau positif et électrons tournant
autour) et de .............................. (orbites électroniques et niveaux énergétiques quantifiés, Prix Nobel de physique 1922),
Louis de Broglie suggère que les électrons ont à la fois des propriétés de particules et d’ondes (Prix Nobel de physique
1929).
La mécanique classique échoue à décrire ce monde sub-microscopique (atomes et particules) : il est par exemple impossible
de déterminer avec précision la position et la vitesse d’un électron :
Principe d’incertitude de Heisenberg, Prix Nobel de physique 1932
Il est par contre possible de définir des orbitales = des zones de l’espace dans lesquelles un électron à une certaine
probabilité (typiquement 95%) de se trouver. Ces orbitales correspondent aux solutions des équations de Schrödinger (Prix
Nobel de Physique 1935).
Orbitales atomiques
Un électron ne peut pas avoir n’importe quelle énergie. L’énergie est …………………… et caractérisée par un code de
quatre nombres quantiques. Les trois premiers décrivent les orbitales (Figure 1) :
- Le premier nombre correspond à la taille de l’orbitale (1, 2, 3, …).
- Le deuxième décrit la forme de l’orbitale (s, p, d, f, …).
- Le troisième indique l’orientation spatiale de l’orbitale (x, y, z, xy, xz, yz, x2-y2, z2, …).
Le dernier nombre (+ ½ ou – ½) décrit le spin de l’électron, autrement dit …………………………………………………
au sein de l’orbitale. Les électrons d’un élément ne pouvant avoir leurs quatre nombres identiques (principe d’exclusion de
Pauli, Prix Nobel de physique 1945), on comprend qu’un orbitale peut accepter ……… électrons au maximum.
z
y
x
z z z
y y y
x x x
Figure 1 : orbitale s (en haut), px, py et pz. Les orbitales s sont sphériques ; les trois orbitales p ont la même …………… et
sont perpendiculaires les unes aux autres.