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On pensait au début que la matière était constituée de quatre éléments (l'eau,
le feu, l'air et la terre ), mais cela n'avait pas beaucoup de valeur scientifique …
Depuis Lavoisier en 1750, on sait que différents éléments composent la
matière, et qu'ils peuvent être séparés ou se combiner entre eux. On découvre ainsi
plusieurs éléments purs tels que l'oxygène ( "gaz vital" ) ou l'azote ( "gaz nitreux" ).
B
B.
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On eut ensuite l'idée de les classer selon leurs propriétés. On utilise
aujourd'hui la classification de Mendeleïev, qui range les atomes selon leur nombre
de charge Z.
Enfin, grâce à nos connaissances récentes sur les atomes, on arrange le
tableau en fonction des orbitales occupées par les électrons au sein de ces atomes.
Ainsi le tableau périodique des éléments s'organise de cette manière :
I
II
I_
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L'atome est formé d'un noyau entouré par des électrons, d'après Bohr. Ils
sont attirés par la charge effective et s'organisent dans des orbitales atomiques
d'énergie quantifiée.
D'après De Broglie, les particules ont toutes des propriétés ondulatoire et
particulaire. Il est donc impossible de déterminer la position d'une particule, mais
plutôt la probabilité de la trouver dans une portion de l'espace.
On détermine alors des fonctions d'onde Ψ
ΨΨ
Ψ
n,l,m
qui donnent la portion de
l'espace où on a 98 % de chances de trouver un électron.
1s
1s
2s
3s
4s
5s
6s
2p
3p
4p
5p
3d
4d
4f
5f
En résolvant l'équation de Schrödinger, on détermine la forme, la position et
la taille de l'orbitale atomique contenant cet électron.
B
B.
.
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L'orbitale atomique peut alors être décrite selon des nombres quantiques :
le nombre principal n, qui donne le niveau d'énergie de l'orbitale
le nombre du moment angulaire l, qui donne la forme de l'orbitale
le nombre magnétique m, qui donne l'orientation de l'orbitale
Il existe aussi un quatrième nombre quantique, que l'on appelle le nombre de
spin m
s
, et qui nous donne le sens du spin d'un électron.
1
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Plus le nombre quantique principal est élevé, plus l'orbitale a un niveau
d'énergie élevée. Grâce à la fonction de densité Ψ
ΨΨ
Ψ², on peut connaître la probabilité
d'avoir un électron dans une portion de l'espace.
Ex :
On observe que les orbitales sont de plus en plus diffuses et éloignées du
noyau à mesure que n augmente.
2
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Les orbitales adoptent différentes formes dans l'espace. C'est le nombre
quantique du moment angulaire qui indique à quel "famille de formes" l'orbitale
appartient. Le nombre quantique magnétique indique l'orientation de l'orbitale.
Ainsi la forme des orbitales :
l
l
O
Or
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:
Fonction de densité
de l'orbitale 1s Fonction de densité
de l'orbitale 2s
Disposition des
électrons Disposition des
électrons
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Les électrons essaient d'occuper les orbitales de plus
faible énergie. Une orbitale peut contenir deux électrons. C'est
le principe d'Aufbau. L'ordre de remplissage des orbitales est
donnée par le diagramme de Klechkowsky.
Quand plusieurs orbitales ont la même énergie, les
occupent le maximum d'orbitales avant de remplir chacune
d'elles. C'est la règle de Hund. Lorsque deux électrons sont
dans une orbitale, il doivent avoir un spin opposé, d'après le
principe d'exclusion de Pauli.
D
D.
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Les électrons sont attirés par la charge positive du noyau, mais la charge
effectivement ressentie est plus faible. En fonction de la distance et des effets
d'écran, la charge effective est différente.
Les électrons des couches inférieures masquent la charge du noyau, on
appelle cela l'écrantage. Le modèle de Slater permet de faire une approximation
très précise des effet d'écran que ressent un électron d'une certaine couche.
I
II
II
I_
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C'est la moitié de la distance entre les centres de deux
atomes liés de manière covalente.
r
covalent
= d / 2
B
B.
.
R
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La longueur de la liaison ionique vaut le rayon ionique du
cation plus le rayon ionique de l'anion. Cette valeur est difficile à
déterminer précisément.
r
ionique
= r
cation
+ r
anion
C
C.
.
R
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Le calcul du rayon métallique dépend de l'arrangement des atomes
au sein du métal.
D
D.
.
R
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to
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iq
qu
ue
e
Le rayon d'un atome dépend de son nombre de charge et des
électrons sur la dernière orbitale occupée d'un atome non lié.
d
r
cation
r
anion
r
ionique
r
atomique
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