1
« Respirer, c’est échanger avec son milieu de vie »
Annexe :
Partie1- Qu’il soit animal, végétal ou champignon, un être vivant échange des
gaz respiratoires avec l’environnement qui l’entoure. Il prélève du dioxygène ou
O2 et rejette du dioxyde de carbone ou CO2.
- .
Annexe :
Partie 2- On dit que la respiration est aérienne lorsque le milieu d’échange est
l’air. La respiration est aquatique lorsque l’animal ou le végétal prélèvent le
dioxygène dans l’eau.
2
« Respirations aquatique et aérienne »
Annexe :
Partie 3- La plupart des poissons qui respirent dans l’eau présentent des
mouvements respiratoires qui engendrent une circulation de l’eau favorisant
leur respiration.
Chez les poissons, l’eau circule à la surface des branchies qui sont des organes
respiratoires. La respiration des poissons est dite : « branchiale ».
Annexe :
Partie 4-Les êtres vivants qui vivent et qui respirent dans l’air présentent des
poumons (ex : l’humain) ou des trachées (ex : les insectes). Il s’agit d’organes
respiratoires qui amènent l’air directement à l’intérieur de l’être vivant.
Selon les cas, la respiration est dite pulmonaire ou trachéenne.
Annexe :
Partie 5- Certains êtres vivants comme des Insectes et des Mammifères marins
peuvent vivre dans l’eau mais respirer dans le milieu aérien. Ils possèdent alors
une respiration pulmonaire ou trachéenne et adoptent des comportements
respiratoires leur permettant de subvenir à leurs besoins.
3
« Les conditions de respiration expliquent la répartition des
êtres vivants dans leurs milieux de vie »
Annexe :
Partie 6- La quantité de dioxygène varie en fonction de certaines
caractéristiques du milieu. En effet, plus une eau est froide, plus elle est riche
en dioxygène.
Sachant que tous les animaux n’ont pas les mêmes besoins en dioxygène,
certains vont préférer les eaux froides car ils affectionnent l’O2 tandis que
d’autres s’accommoderont d’eaux plus chaudes.
Annexe :
Partie 7- Les végétaux verts exposés à la lumière produisent du dioxygène.
Ainsi, en contribuant à l’oxygénation des milieux de vie, ils favorisent la
respiration des autres espèces vivantes telles que les poissons dans l’eau. Cette
oxygénation s’interrompt la nuit.
Annexe :
Partie 8- Les humains peuvent influencer l’oxygénation d’un milieu et donc
l’occupation de ce milieu.
Certaines pollutions des cours d’eau empêchent le développement normal des
végétaux verts ce qui engendre l’asphyxie du milieu.
4
« Muscles et activité musculaire… »
Annexe :
Partie 9- Les muscles sont des organes qui prélèvent du O2 et qui rejettent du
CO2. Ces échanges de gaz varient en fonction de l’activité musculaire. En effet,
plus l’effort est important plus ces échanges seront importants.
D’où la nécessité de respirer plus vite lorsqu’on court puisque les muscles
consomment davantage de O2.
Annexe :
Partie 10- Les vaisseaux sanguins sont indispensables au bon fonctionnement
des organes tels que les muscles. En effet, ce sont eux qui se chargent du
transport du dioxygène et du dioxyde de carbone.
Lors d’un effort physique, l’augmentation des échanges au niveau des muscles
est associée à une augmentation du débit sanguin.
Annexe :
Partie 11- Les muscles consomment également du glucose. Il s’agit d’un sucre
consommé puis transporté par le sang.
Lors d’un effort physique, cette consommation augmente. D’où l’intérêt de
bien manger avant un effort…
Annexe :
Partie 12- Le glucose et le dioxygène fournissent l’énergie nécessaire au
fonctionnement des muscles. Une partie de cette énergie est transformée en
chaleur à l’origine de notre température corporelle.
5
« L’appareil respiratoire humain et son fonctionnement…»
Annexe :
Partie 13- L’humain présente une respiration aérienne et pulmonaire.
Il prélève du dioxygène et rejette du dioxyde de carbone.
Grâce à des mouvements respiratoires de l’abdomen et du thorax, l’air inspiré
pénètre dans les poumons qui se gonflent. Dans ces derniers, l’air passera
successivement par les bronches, les bronchioles pour enfin rejoindre les
alvéoles pulmonaires.
Annexe :
Partie 14- Dans les poumons, les alvéoles pulmonaires sont très nombreuses et
ont une paroi très fine.
Cela s’avère très important puisque c’est grâce à ces dernières que l’air quitte
les poumons pour rejoindre le sang. On dit qu’elles constituent une surface
d’échange entre l’air et le sang.
Annexe :
Partie 15- Des substances dangereuses contenues dans l’air, comme des
polluants, perturbent le fonctionnement de l’appareil respiratoire. Elles
peuvent être à l’origine de maladies telles que l’asthme, les bronchites et
certains cancers.
1 / 11 100%
La catégorie de ce document est-elle correcte?
Merci pour votre participation!

Faire une suggestion

Avez-vous trouvé des erreurs dans linterface ou les textes ? Ou savez-vous comment améliorer linterface utilisateur de StudyLib ? Nhésitez pas à envoyer vos suggestions. Cest très important pour nous !