or vishua העושיו רוא

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‫בס”ד‬
OR VISHUA
‫אור וישועה‬
LA YESHIVA SIONISTE DE HAIFA
POURIM 5772
Pourim, fête de la Diaspora ?
Pourim est, pour nous tous, une fête très spéciale. C’est probablement dans
l’entendement commun la fête la plus joyeuse de notre calendrier. Déguisements,
kermesses pour les enfants, festin traditionnel, tout est là pour nous donner la
sensation que la joie est à son comble. Et pourtant lorsque l’on se penche sur
le texte de la Méguila que nous lisons deux fois ce jour-là, on se rend compte
que tout ceci vient en fait dissimuler une problématique importante. Le peuple
Juif, qui était depuis des années asservi aux Babyloniens, passent sous l’égide
des Perses après leur victoire et la chute de Babylone. Et pourtant, plutôt que de
se lamenter sur la prolongation de l’exil, ils prennent part au festin qu’organise
Assuérus, roi de Perse. Ce faux pas est bien entendu sanctionné immédiatement
par D. qui envoie un petit rappel aux Juifs sous la forme d’un nouveau tyran,
Haman, qui projette un plan machiavélique pour nous exterminer. Et c’est là,
bien que Son nom n’apparaisse pas une fois dans tout le récit de la Méguila,
que D. va nous sauver de ses griffes au moyen de péripéties incroyables, pour
finir par l’exécution de tous ceux qui nous ont voulu du mal. Mais nous oublions
qu’à la fin de l’histoire, Esther, principale actrice de tous ces rebondissements,
reste mariée au roi perse et doit subir la honte de vivre dans sa maison. Mais
D. n’abandonne jamais Son Peuple, et même d’une pareille détresse Il nous fait
toujours germer l’espoir d’un avenir meilleur. Et comme par ‘hasard’ Esther
va avoir un fils (un descendant selon d’autres) du nom de Koresh (Cyrus) qui
sera celui qui libèrera le Peuple Juif de son exil en leur donnant la permission
de retourner en Terre d’Israël et en leur rendant les ustensiles du Temple qui
avaient été volés par Nabuchodonosor.
Nous aussi, aujourd’hui, nous nous retrouvons en situation contradictoire :
d’une part une partie du Peuple se trouve encore en exil, et d’autre part la Terre
d’Israël nous tend les bras. Faisons le pas, certes compliqué pour beaucoup
d’entre nous, et rejoignons nos frères qui ont tant besoin de notre présence en
Israël, consolidons notre pays aussi bien spirituellement que matériellement,
nous seuls avons la capacité d’accélérer le processus de la Guéoula et de la
Délivrance finale, afin que nous puissions tous ensemble, réunis au Temple de
Jérusalem, chanter les louanges de D. dans le pays ou coulent le lait et le miel.
Très bonnes fêtes de Pourim à tous !
Shimon Fitoussi
L’antisémitisme, Pourim et nous
Rav Eliyahou Zini – Rosh haYéshiva
Aman, ainsi que la barbarie antisémite, ont été
retournées en victoire par sa victime, le Peuple Juif,
alors que celui-ci prenait conscience de son identité
profonde. C’est l’essence même de la fête de Pourim.
Il y a quelques années de cela, l’assassinat d’Ilan
Halimi za’’l a frappé de stupeur les Juifs de France
et dans l’océan de vague antisémite qui inonde le
monde entier, il s’est rajouté comme un élément non
négligeable aux inquiétudes des Juifs de la Diaspora. En
cette veille de Pourim, de tels évènements nous obligent à consacrer quelques
mots à cette haine croissante. Je me dois d’abord d’avouer qu’en tant que natif
d’Afrique du Nord, il n’y avait malheureusement rien dans ce crime et dans
la cruauté qui l’accompagnait de quoi surprendre. La seule chose qui pouvait
surprendre était que cette cruauté était au-dessous des normes de cruauté qui
ont été celles qui ont frappé les membres de notre peuple durant plus de 1.600
ans. Le plus dramatique est justement la stupeur des Juifs de France, dont
l’amnésie, symptomatique de notre peuple, leur a fait oublier les souffrances
de leurs pères et peut être même aussi tout le sang juif versé depuis plus d’un
siècle, au Moyen-Orient, avec une cruauté sans pareille.
Histoire d’une haine
Les plus grands historiens de l’antisémitisme ont d’énormes difficultés à mettre
le doigt sur des traces bien précises de cette haine avant le troisième siècle
précédant l’ère vulgaire. Effectivement, toute l’hostilité qui s’était révélée contre
nous avant cette date ne semble pas distincte d’une quelconque hostilité classique
entre peuples. Mais la Torah n’envisage pas le problème sous cet angle. Le premier
antisémite, le père de la ‘solution finale’, Pharaon, nous donne déjà tous les
signes de cette haine aveugle, conséquente de sa crainte et même de sa terreur
de ce peuple qu’il identifie le premier comme ’le peuple des fils d’Israël’ (Shémot
1, 9). Le deuxième est Bil’am, ce prophète des nations tel que le présentent nos
Sages, qui fait gicler dans tous les sens les slogans des plus grands antisémites,
que D. va transformer en source de bénédictions. Nous reconnaissons derrière
les phrases comme “Ce peuple qui demeurera seul et ne tiendra pas compte
des nations” (Bémidbar 23, 9) ou bien encore “Ce peuple qui se lèvera comme
un lion et écrasera les provinces de Moav” (Bémidbar 23, 24) et tant d’autres
similaires, cette haine camouflée derrière les compliments. Et bien sûr ‘Amalek
dans le désert, qui, dès le don de la Torah, décernera la dimension particulière
de ce peuple au point de vouloir l’exterminer. Cependant, il est vrai que depuis
ces trois cas chroniques, nous n’entendons plus parler d’antisémitisme jusqu’au
début du deuxième Temple, justement avec l’affaire Aman. Il y a deux raisons
à cela. La première est que l’antisémitisme n’est possible que dans un contact
direct entre Israël et les nations, autrement dit, lorsque nous sommes en exil. La
seconde est que cette hostilité des nations ne se réveille que lorsque nous nous
distinguons en tant que Juifs par nos actes, notre comportement et notre identité
spécifique. Or, durant toute la période du Premier Temple, nous nous sommes
adonnés à l’idolâtrie, aux incestes, à l’assassinat, dans la meilleure tradition des
peuples dépravés de l’époque. Alors pourquoi s’en prendraient-ils à nous alors
que nous réussissions ‘brillamment’ à nous comporter comme eux?
Justement, le fait que Pharaon et Bil’am relèvent du plus pur antisémitisme
prouve que ce phénomène est bien antérieur à ce que croient les historiens.
Simplement, durant certaines périodes, l’antisémitisme se résorbe pour diverses
raisons. Notre peuple n’avait jamais compris cela, et pendant longtemps, il a
même refusé de le comprendre. Seule l’apparition de Aman, sur la scène de
l’histoire, va provoquer un bouleversement intellectuel dans la conscience de
notre peuple au point que celui-ci finira par accepter la Torah de bon gré, tel que
le précisent nos Sages dans le traité de Shabbat.
L’avènement de Pourim
L’essence de ce bouleversement se précise par le biais d’une question que nos
sages, dont l’expérience en antisémitisme virulent n’était que trop riche, se sont
posé concernant Mordékhaï. Comment se fait-il que celui-ci ait mis en danger
tout le peuple juif en refusant de se prosterner devant Aman? Rabbi Abraham
Ibn Ezra répond à la question en nous précisant qu’en tant que proche du roi,
quitter son poste lui aurait coûté la vie. Rabbi Moshé Laskar, répond quant à lui,
sur la base du traité de Sanhédrin (61b), que Aman s’était présenté en tant que
divinité et, de surcroît, portait des idoles sur son poitrail. Se prosterner devant
lui devenait idolâtrie. Permettez-moi de dire que je suis personnellement surpris
par la question. Tous nos Sages étaient des personnes de grande envergure et
nous leur devons un respect illimité. Mais ici, nous éprouvons une certaine
difficulté à comprendre leur question. Pourquoi ? Justement parce que c’est très
exactement ce qui s’est passé: pour la première fois dans son histoire on décèle
cette phénoménologie étrange selon laquelle il suffit qu’un seul juif commette
une erreur “aux yeux de Aman” pour que le Goy décide de s’en prendre à tout le
peuple juif. Comment, du ‘crime’ d’un individu, peut-on passer à une décision
d’extermination de tout son peuple?
Effectivement, un des géants de notre peuple, le Radbaz (Part. 1 n°284), nous
précise bien ce point: “Ce qui me semble plus exact est que Mordékhaï n’a pas
imaginé un seul instant que Aman pourrait porter atteinte à tout le peuple juif
et que le roi accepterait de nous livrer à la mort sans aucune raison”. Cette
phénoménologie est explicite dans le texte de la Méguila, lorsque celle-ci nous
précise que c’est seulement après le décret qu’il prend conscience de ses
conséquences. Quant à lui, “il était prêt à sacrifier sa propre vie pour sanctifier
le nom de D.”. C’est par ce point là que se révèle toute la problématique de
l’antisémitisme: comment est-il possible que des rapports compliqués entre un
Goy et un Juif puissent amener à une volonté de génocide ? Cette absurdité
nous accompagne tout au long de l’histoire. Est-t-il lieu de rappeler que
Voltaire, le philosémite de ses débuts, a cessé d’être candide en déversant sa
fureur antisémite dans son Candide, après avoir perdu ses actions en Bourse à
Strasbourg au profit d’un Juif du nom de Dreyfus (Première affaire Dreyfus en
France ?).
Quant à la solution de cette énigme, elle est très simple même si nombreux parmi
nos frères se refusent à l’accepter, seuls les antisémites ont réussi à comprendre
l’essence, l’unicité et la solidarité de ce peuple, le peuple de D. : “Dieu t’a élevé
aujourd’hui au statut de peuple d’élite” (Dévarim 26,18), où l’individu et la
nation sont indissociables, la sainteté de la nation s’infiltre jusqu’au sein de
chaque juif, consciemment et inconsciemment, et le dernier d’entre nous, même
le plus assimilé, reste juif jusqu’à la moelle de ses os, même dans son refus du
judaïsme. Ceci, l’antisémite le perçoit parfaitement, au grand dam du juif. Il
suffit de rappeler que lorsque le gouvernement allemand avait demandé à Fichte
son avis concernant l’éventuel accord de la nationalité allemande aux Juifs à
la suite de la révolution française, celui-ci avait répondu: “Je ne vois aucune
possibilité à cela sauf si on coupait à tous la tête en une même nuit et qu’on la
remplaçait par une tête qui ne contiendrait aucune idée juive”.
L’enseignement par la douleur et la réflexion
Notre peuple a appris sa spécificité par la voie difficile. La haine qui l’a entouré
de toutes parts et l’a amené à une introspection, lui aura permis d’aborder les
plus profondes strates de son âme et par là de comprendre sa nature différente,
qui fait de lui “un peuple qui demeurera seul et ne tiendra pas compte des
nations” (Bémidbar 23, 9). Il est différent de tout le monde. La noblesse d’un
prince rejaillit même lorsqu’il s’habille de haillons, comme un pauvre ou un
excommunié. Il est le seul à ne pas comprendre que ses haillons ne réussissent pas
à camoufler son comportement et sa personnalité symptomatique d’une origine
royale. Les plus grands antisémites l’ont bien compris et c’est de là que ressurgit
leur haine et c’est par-là qu’on comprend leur contradiction interne lorsque
d’un coté ils manifestent une haine viscérale et d’un autre côté sont capables de
charger notre peuple de compliments que seuls eux ont réussi à formuler. Comme
Pharaon, Bilaam, et jusqu’aux dernières générations, le fameux antisémite Ernest
Renan, qui n’hésite pas à écrire: “Israël a-t-il rempli sa vocation? A-t-il gardé,
dans la grande mêlée des peuples, le poste qui lui fut primitivement confié ? Oui,
répondrons-nous sans hésiter. Israël a été la tige sur laquelle s’est greffée la foi
du genre humain. Nul peuple autant qu’Israël n’a pris sa destinée au sérieux, nul
n’a senti si vivement ses joies et ses douleurs de Nation, nul n’a plus vécu pour
une idée. Israël a vaincu le temps et usé tous ses oppresseurs. Le jour où une
fausse nouvelle fit célébrer, un an trop tôt, la prise de Sébastopol, un vieux juif
de Pologne, qui passaient ses journées à la Bibliothèque impériale, plongé dans la
lecture des manuscrits poudreux de sa nation, m’aborda en me citant ce passage
d’Isaïe: “Elle est tombée, elle est tombée, Babylone !” La victoire des Alliés n’était
à ses yeux que le châtiment des violences exercées contre ses coreligionnaires par
celui qu’il appelait le Nabuchodonosor et l’Antiochus de notre temps. Je crus voir
devant moi, dans ce triste vieillard, le génie vivant de ce peuple indestructible.
Persécuté par tous, il a été vengé de tous. Il ne lui fallut pour cela une seule chose,
mais une chose que l’homme ne se donne point à lui-même: durer.” (Du Peuple
d’Israël et de son histoire, Revue des Deux Mondes T. 12, 1855)
Ainsi, et seulement ainsi, nous pouvons comprendre la deuxième explication que
donnait le Radbaz au comportement de Mordékhaï : “Un esprit divin lui a fait
sentir que le peuple juif allait ressortir grandi de cette histoire”. Effectivement, il
faut un tant soit peu d’esprit prophétique pour oser se soulever contre toutes les
spéculations et se mettre en danger comme l’a fait Mordékhaï. Mais ce courage
infini, cette fierté nationale, n’amène à un tel comportement que par le biais d’une
sensation extrêmement profonde que ce peuple là ne peut se permettre de se
prosterner comme n’importe quel autre et une telle sensation ne peut relever que
de la présence divine se révélant par le biais de Mordékhaï.
Un mérite énorme revient au professeur Amado Levi-Valensi qui aura su caractériser
l’antisémitisme de la façon brillante suivante: “Lorsqu’un Goy regarde un juif,
ce dernier lui sert de miroir, lui renvoyant son portrait, et comme celui-ci ne lui
apparaît que trop souvent insupportable, il ne lui reste d’autre choix que de casser
le miroir”. La fête de Pourim est notre victoire sur ce refus de prise de conscience
et c’est pour cela que nous vous souhaitons un très joyeux Pourim.
Philosophe allemand de la fin du 18ème siècle, maître à penser du fameux
philosophe Hegel.
Acquisition du bâtiment
Suite à ce que nous avons
publié par le passé nous
redoublons ces mois-ci nos
efforts pour achever de
réunir les fonds nécessaires
pour achever l’acquisition
du
bâtiment.
Jusqu’à
présent nous avons, grâce
à D. et grâce à de généreux
donateurs, à réunir près de
45% de la somme requise.
Nous en profitons pour
remercier tous ceux qui ont été portés par leur cœur et se sont joins à cette
grande Mitsvah. Nous avons bien entendu encore beaucoup à faire et il nous
reste à rassembler 550.000 € pour pouvoir remplir notre contrat, dont la moitié
impérativement avant fin juin 2012.
Nous faisons appel à la générosité de tous pour nous épauler dans cette épreuve
devant laquelle D. nous a placés.
Plus de renseignements et de possibilités de dédicaces vous attendent sur le
nouveau site de la Yéshiva en français dans le menu ‘Projets de l’année’, ou par
mail à l’adresse : [email protected].
Nous comptons sur vous tous pour nous aider à réaliser un de nos plus grands
projets et de permettre à nos institutions d’être propriétaires de nos locaux
actuels.
Dernièrement publiés par la Yéshiva …
‘Houmash haRéaya - Shémot
Le ‘Houmash haRéaya est une idée originale que l’on doit
à l’un des élèves de la Yéshiva qui a décidé avec quelques
amis de compiler tous les commentaires sur les différents
versets de la Torah disséminés parmi les multiples livres
du Rav Kook et de son fils, le Rav Tsvi Yéhouda. C’est
un véritable travail de titan qui est accompli par nos
élèves pour préparer ces ouvrages, bien entendu sous la
supervision du Rav Zini.
Après le premier tome sur le livre de Béréshit qui est paru
l’an passé nous sommes heureux de publier le second
tome sur le livre de Shémot.
Ce ‘Houmash a eu l’honneur de recevoir les approbations des plus grands
Rabbanim d’Israël, parmi eux le Rav Sha’ar-Yashouv Hacohen, le Grand Rabbin
de Haïfa, le Rav Shlomo Aviner, ou encore le Rav Ya’akov Ariel, le Grand Rabbin
de Ramat Gan.
Mishné Torah (Maïmonide) – Volume spécial ‘Jugement et Pouvoir’
La Yéshiva vient de publier un tout nouveau volume qui regroupe les quatre
derniers traités du Mishné Torah : Nézakim, Kinyan, Mishpatim et Shoftim. Le
texte, après avoir été revu et corrigé selon les manuscrits
les plus anciens existants, est accompagné d’un
commentaire simple et accessible permettant à tout un
chacun d’étudier cette œuvre de Maïmonide essentielle
pour tout celui qui désire aborder tous les domaines de
la Halakha. A l’occasion de la parution de ce volume, la
Yéshiva a organisé une soirée à laquelle ont participé
d’éminents Rabbanim comme le Rav Ratson ‘Aroussi,
Grand Rabbin de Kiriat Ono et membre du Conseil
Rabbinique d’Israël, ainsi que le maire de Haïfa, Mr Yona
Yahav.
Pour tout renseignement et/ou commande veuillez nous contacter par mail à
l’adresse : [email protected].
News en bref
Le Rav Zini reçoit le prestigieux Prix Lev
Cette année le Ma’hon Lev a décerné
le fameux prix Lev au Rav Eliyahou
Zini pour récompenser l’œuvre
de sa vie qui, selon l’élocution du
représentant du Ma’hon Lev, est un
exemple pour tout celui qui aspire
à joindre Torah et science dans une
harmonie parfaite.
Le Professeur Noah Dana-Picard,
président de cet institut universitaire,
a remis le Prix tant convoité au
Rav Zini, en soulignant le travail
remarquable qu’a effectué le Rav Zini au Technion de Haïfa depuis plus de 40
ans d’activités incessantes au sein de la plus prestigieuse université d’Israël,
aussi bien auprès des étudiants que du corps enseignant.
Soirée traditionnelle de ‘Hanouka à la Yéshiva
Comme chaque année, la Yéshiva a organisé à l’occasion des fêtes de ‘Hanouka
une soirée en l’honneur des parents des élèves de la Yéshiva et des amis de la
Yéshiva. Les parents ont pu ainsi rencontrer et dialoguer avec les Rabbanim
de la Yéshiva qui leur ont exposé les
progrès de leurs enfants au cours de
leurs études et également les différents
projets auxquels leurs enfants prennent
part, comme le projet Bar-Mitsva ou
encore leur participation aux actions
de bienfaisance auprès des familles
démunies. Toutes les personnes
présentes ont pu se délecter d’un cours
magistral du Rav Zini et ensuite d’un
buffet hors du commun spécialement
concocté par le cuisinier de la Yéshiva.
Cours dans la communauté d’Herzlia
Durant les fêtes de ‘Hanouka le Rav Zini a été
spécialement invité par la communauté d’Herzlia
pour donner un cours sur la particularité et le sens
profond de cette fête. Le Rabbin de la synagogue, qui
est le frère du Grand Rabbin de Haïfa le Rav Shelomo
Shloush, a fait l’éloge du Rav Zini et a fait part de
son enthousiasme de recevoir, selon les conseils de
son illustre frère, un Talmid ‘Hakham d’une telle
envergure que le Rav Zini dans sa synagogue.
Bac Bleu Blanc
Comme chaque année nous avons eu le plaisir de recevoir à la Yéshiva les
différents groupes de lycéens venus de France à l’occasion de l’opération Bac
Bleu Blanc organisée par l’Agence Juive. Lucien de Hirsch, Yavné Paris, Gan Ami
Marseille ou encore Yavné Marseille, autant de groupes qui viennent visiter
les différents instituts universitaires et autres ont pu rencontrer le Rav Zini
qui, comme à son habitude, leur a exposé l’importance pour eux, jeunes futurs
bacheliers, de monter en Israël et de construire leur vie en Terre Sainte, que ce
soit à Haïfa ou ailleurs. Avec beaucoup d’enthousiasme, comme toujours, les
élèves tant que les professeurs les accompagnants ont accueilli les paroles du
Rav Zini avec grand intérêt et nous espérons bien entendu les revoir tous si D.
veut l’an prochain en Israël.
Hakhnassat Séfer Torah à Haïfa : les élèves en
compagnie du ministre de la science et de la
technologie, Harav Daniel Herschkowitz.
Le maire de Haïfa, Mr Yona Yahav, lors
d’un expose sur Maïmonide à la Yéshiva
Séder Tou Bishvat communautaire à
la Yéshiva
Le Rav Ratson ‘Aroussi, le Grand Rabbin de
Kiriat Ono, donnant un cours sur Maïmonide
à la Yéshiva lors du congrès organisé à
l’occasion de la parution du dernier volume
du Mishné Torah
Les élèves de la Yéshiva en excursion à
Tou Bishvat
Le général Gadi Einzencot, ancien
commandant de la région nord, en
compagnie du Rav Zini en visite à la
Yéshiva
Soirée de Gala au profit des institutions de la Yéshiva
Cette année nous organisons pour la première fois une soirée
de Gala exceptionnelle au profit des institutions de la Yéshiva.
La soirée se déroulera si D. veut le mercredi 21 mars aux salons
Hoche et sous le haut patronage du Grand Rabbin de France, Mr
le Grand Rabbin Gilles Bernheim. Nous honorerons également de leur présence
Mr le Rabbin Ariel Messas, fils du regretté Grand Rabbin de Paris David Messas
de mémoire bénie, et l’ambassadeur d’Israël en France Mr Yossi Gal.
Nous comptons sur tous nos amis et proches pour prendre part à cette grande
et importante soirée, et à encourager vos amis et proches à venir découvrir
l’étendue de nos activités ainsi que l’importance de nos institutions aussi bien
en Israël qu’en France.
Si vous désirez recevoir une invitation personnelle il vous suffit de nous contacter
par mail à l’adresse suivante: [email protected].
Nous comptons sur vous !
Contact
En Israël
Shimon Fitoussi
972-50-3767001
[email protected]
En France
‘Le Foyer des Etudiants de Haïfa’ (ordre à libeller les chèques)
Association 1901 – reçus CERFA
c/o Famille Cohen
5 square Bolivar 75019 Paris
SOUTENIR LA YESHIVA ‘OR VISHUA’
C’EST SOUTENIR ET CONSTRUIRE ISRAEL
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