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Très chers amis,
Nous revoici veille de la fête de Pourim. Cette fête sur laquelle tant de
commentaires ont été écrits, tant d’enseignements ont été tirés, se trouve
exactement à mi-chemin entre Tou Bishvat, célébration de la Terre d’Israël et
de ses fruits, et Pessah’ qui symbolise notre naissance en tant que peuple à
proprement parler, et notre retour vers la Terre d’Israël. La question se pose
naturellement : comment comprendre l’emplacement d’une fête à priori de
Galout, d’exil, au beau milieu d’évènements qui viennent célébrer la Terre
d’Israël ?
La réponse est simple et il suffit de contempler l’Histoire de notre Peuple à
travers les siècles et d’observer comment D. dirige Son monde. Depuis notre
sortie d’Egypte, nous avons traversé bien des épreuves que peu de nations
ont vécues. Une fois entrés en Terre d’Israël nous avons été exilés et expulsés
de notre pays puis par la suite de quasiment tous les pays par lesquels nous
sommes passés. Mais tous ces périples se sont toujours achevés par notre retour
vers notre patrie naturelle. Toute notre vie en exil a toujours tourné autour de
la Terre d’Israël et de Jérusalem, comme nous pouvons le voir à travers toute la
liturgie et les poèmes écrits par nos Sages. Le nom de D. n’apparait pas dans la
Méguila d’Esther que nous allons tous lire, mais Il a toujours été présent comme
nos Sages nous l’enseignent en observant que selon la Tradition chaque colonne
de la Méguila écrite sur un parchemin commence par le terme ‘Melekh’ – Roi en
hébreu – qui se réfère au Roi du monde.
Cette omniprésence divine nous guide à chaque pas de notre existence, et nous
enjoint constamment à rejoindre la Terre que D. a promis à Avraham Avinou. Et
c’est pour cela que même et surtout en exil l’appel divin de réintégrer la Terre
d’Israël nous interpelle et nous enveloppe de part et d’autre.
En cette veille de Pourim nous vous souhaitons à tous, au nom du Rosh Yéshiva
le Rav Prof. Eliahou Zini, des enseignants et des élèves de la Yéshiva, de passer
d’excellentes fêtes, et que D. fasse que cette année nous nous retrouvions tous
en Terre d’Israël pour que nous puissions monter ensemble à Jérusalem pour la
fête de Pessah’ et chanter la gloire de D. au Temple reconstruit Amen.
Respectueusement,
Shimon
Fitoussi
Relations Publiques
Le combat pour les valeurs
comme l’expression de l’essence juive
Rav Prof. Eliahou ZINI
Le
terme
‘Hébreu’,
selon
Manitou,
désignait celui qui est capable de deviner le
dessein et la volonté de D. dans l’Histoire,
alors que celui de ‘Juif’ révélait une
appartenance nationale, et pourtant c’est
pour défendre notre état de Juif que nous
nous sommes battu durant 2.000 ans. ‘’Ne
peut être appelé Hébreu que celui qui se
bat pour des valeurs.’’ C’est la leçon que
nous devons tirer de l’enseignement de nos pères.
Entre l’Hébreu et le Juif
Nous avons été couronnés de deux titres dans l’histoire : celui d’Hébreu,
et celui de Juif. Du premier, à savoir celui d’Hébreu, indéniablement le plus
originel et le plus ancien puisque la Torah elle-même désigne sous ce titre notre
ancêtre Avraham, il ne reste quasiment plus aucune trace aujourd’hui. Il a non
seulement disparu de nos discours, mais son simple rappel provoque au moins
une profonde surprise. Par contre, phénomène fantastique, mais ô combien
déplorable, la dénomination de Juif, qui aura servi à nous bafouer pendant plus
de 2.000 ans d’exil, dans le monde chrétien comme dans le musulman, est celle
qui est restée la plus ancrée dans l’âme de nos frères, à tel point que le plus
éloigné parmi nous de tout comportement relevant du judaïsme véritable se
sentirait offusqué dès que l’on essaiera de lui dénigrer ce titre.
Ce problème relève non seulement du paradoxal mais même de l’absurde. La
notion de Juif a désigné tout au long de l’histoire biblique une appartenance à
la tribu de Juda ou au royaume de Juda. Dans tous les cas, une appartenance
relevant du national. Et c’est justement ce titre que nous avons conservé avec
fidélité, honneur et fierté durant l’exil dans toute la Diaspora, très précisément
dans tout ce monde où il n’y avait aucune place pour une vie nationale. Le titre
d’Hébreu par contre, s’avère désigner non seulement le père de notre nation,
Avraham Avinou, mais depuis, tous ses descendants, non par le biais d’une
appartenance nationale – elle n’aurait aucun sens avant l’apparition d’un Peuple
Juif en Egypte – mais par le biais d’une identité avec une foi particulière, identité
que nous avons malheureusement piétinée sur notre Terre, quasiment durant
tout le temps du Premier Temple ainsi qu’une partie du Second Temple, mais
une identité qui n’a jamais été aussi profondément ancrée que durant notre exil
dans la Diaspora. C’est là-bas que nous avons appris à nous attacher à la Torah
et aux Mitsvot – pour nombre d’entre nous en tant que Juifs de Sartre, ceux qui
ne sont Juifs que grâce à l’antisémitisme – et c’est là bas que nous avons réalisé
ce qui relevait du titre que nous portions dans notre Terre. Quel paradoxe !
Afin de résoudre cette énigme, ce grand personnage qu’était Manitou zatsa’’l
– cet article se veut être un hommage à cette personnalité remarquable, grâce à
qui le judaïsme n’a pas été effacé de la conscience des Juifs francophones – avait
l’habitude de préciser que le terme Hébreu désignait celui qui est à même de
deviner le dessein et la volonté de D. dans l’histoire. Dans une telle conception,
l’Hébreu est cette personne capable d’aborder l’histoire par le prisme d’un
esprit relevant du prophétique, donc du transcendant. Ce statut particulier de
l’Hébreu, Manitou l’avait essentiellement compris par le biais des écrits du Rav
Eliah Benamozegh zatsa’’l (entre autres dans son livre ‘Morale juive et morale
chrétienne’). Ce géant du judaïsme italien, qui n’a jamais laissé place dans tout ce
qui relevait des rapports du Juif à D. au terme de judaïsme, parlait uniquement
en terminologie d’Hébraïsme. Effectivement, il serait tout ce qu’il y a de plus
déplorable si notre identité profonde s’exprimait par le biais de l’Etat, serait-ce
l’Etat de notre pays que nous aimons profondément. Mais si l’Hébreu est celui
qui sait deviner les desseins de D., comme l’affirmait Manitou, l’hébraïsme se
doit d’englober dans ses rangs même le dernier des Juifs qui ne serait pas à
même de s’élever à de telles hauteurs spirituelles.
Par conséquent, nous nous devons d’ajouter un appendice à cette façon de
concevoir notre hébraïsme. Rien de mieux que la précision du langage de la
Torah, ses allusions et indications fines et subtiles, pour nous faire prendre
conscience du sens véritable des concepts. On ne pouvait en attendre moins
de la parole de D. Observons bien à quel moment la Torah confère à Avraham
Avinou ce titre d’Hébreu : très précisément lorsqu’un rescapé de cette fameuse
guerre vient lui annoncer que son neveu Loth a été emmené en captivité avec
toute la population de Sodome.
Ne peut être appelé Hébreu que celui qui se bat pour des valeurs
Avraham Avinou réagit immédiatement en enrôlant tous ses fidèles et proches,
afin de porter secours à son neveu. En d’autres termes, il n’y a lieu de désigner
par Hébreu que celui qui, au nom d’une fidélité à une famille, à un peuple, à
leurs valeurs, est prêt à se porter au combat pour les défendre. Ce n’est que dans
un combat pour des valeurs que nous avons une quelconque chance de pouvoir
deviner les desseins de D. Effectivement, en observant de près la vie d’Avraham
Avinou, on n’y décèlera qu’une succession de combats. Dès son apparition sur
la scène de l’histoire, nous le trouvons s’élevant contre l’hypocrisie de cette
fameuse civilisation dominante de l’époque, celle d’Our Kasdim, et le fait d’être
jeté par elle dans la fournaise ne réussira pas à le dissuader. Sans hésitation,
il abandonne cette culture babylonienne, broyant tout et brouillant toute
distinction, tel que le précise bien le verset : «Toute la Terre s’unissait dans une
seule façon de parler et de concevoir les choses» (Béréchit 11, 1).
Dans le cadre d’un esprit éliminant toute distinction, il ne peut rester de place
pour des valeurs. Il affrontera son propre neveu Loth, qu’il avait élevé comme
orphelin, dès l’instant où celui-ci n’arriva plus à dominer ses serviteurs qui
bafouaient justice et droiture. Il n’hésitera pas non plus à mener une discussion
assez âpre avec D. en personne – comportement scandaleux à priori – lorsque la
décision de détruire Sodome lui semblera incompatible avec la justice divine. Il
s’imposera des exigences surhumaines durant toute sa vie, entre autres la Brith
Mila à un âge aussi avancé que le sien, et bien plus que cela, en se soumettant à
l’injonction divine lui demandant de sacrifier son fils aimé Its’haq. Il ne cédera
pas non plus en ce qui concerne le choix de la personne adéquate à constituer
la famille hébraïque, celle qui épousera son fils. Même dans ses discussions
avec sa propre épouse Sarah, concernant celui de ses descendants aptes à lui
succéder dans l’histoire, il ne cédera que par l’intervention divine en faveur de la
position de Sarah. Combats contre le mal, la corruption, contre soi-même, même
contre les décisions divines qui lui semblent injustifiées, ceci exprime bien son
identité. C’est de façon très judicieuse que nos Sages nous précisent qu’il est
appelé Hébreu parce qu’il est capable de se positionner dans un camp, à l’envers
et à l’encontre du monde entier (le terme ‘Hébreu’ est dérivé de l’expression ‘à
l’envers et à l’encontre’). Cette capacité de se maintenir sur ses positions, envers
et contre l’humanité, au nom de la justice et de la droiture, ne relève évidement
pas d’un trait de caractère d’une personne recherchant la bataille serait-elle
spirituelle, mais elle est l’expression de ce qui constituait toute son essence : une
foi inébranlable en D. En effet, son élection relevait de sa capacité à garder la voie
de D., de réaliser générosité et justice, tel que l’affirme D. lui-même (Béréchit 18,
19). Son ‘militantisme’ n’est que la contrepartie de sa générosité : l’hospitalité,
le secours apporté à Loth au péril de sa propre vie, ses efforts pour défendre
même les plus corrompus de Sodome, son souci de l’avenir de sa famille. Et ceci
rejaillit tant autour de lui lorsque son serviteur Eliezer décidera d’une qualité
qui sera le signe que Rivka correspond à Its’haq, il n’en trouvera qu’une seule : la
générosité. Sans l’éducation d’Avraham Avinou, il n’aurait jamais élevé une telle
valeur au niveau de critère d’adéquation.
Qui est le véritable Hébreu ?
Nous pouvons maintenant répondre sans hésitation : c’est celui qui est tout
entier générosité et amour des créatures, mais qui, en parallèle, ne laissera de
place à aucun compromis sur le plan moral ou éthique, celui qui se portera
toujours au combat au nom de la foi, de la justice, si celui-ci est nécessaire, même
s’il fallait le mener contre l’humanité entière. L’hébraïsme est en conséquence un
lien particulier avec le divin, lien lui conférant une sensation strictement naturelle
de la volonté divine, au niveau du prophète comme au niveau du simple Juif,
et qui en fait n’est autre qu’une compréhension profonde des objectifs. Il n’est
donc point surprenant que l’Hébreu ne puisse se révéler qu’en Terre d’Israël et
le Juif qu’en Diaspora. Cette dernière absorbe le Juif, comme l’affirmait Sartre,
et met en danger son hébraïsme. S’identifier en tant que Juif, c’est s’identifier
avec une histoire, mais s’identifier en tant qu’Hébreu, c’est s’identifier avec une
foi et des valeurs. On peut se permettre d’être Juif en Diaspora parce qu’il n’y
existe aucune possibilité d’être fidèle à son être véritable, mais en Terre d’Israël,
nous avons besoin d’Hébreux, capables de se battre pour des idéaux. Quoi de
surprenant si notre génération, complètement désorientée, élevée dans l’esprit
d’une culture broyant et brouillant tout, n’est plus à même de parler d’hébraïsme
mais seulement de judaïsme? Quoi de surprenant si la direction politique n’est
plus à même de comprendre la nature des combats que nous sommes tenus de
mener afin de maintenir une identité véritable, intérieure autant qu’historique?
Quoi de surprenant si elle manifeste une incapacité à défendre ses positions
envers et contre cette puissance dominante dont les délégués se présentent
comme amis et se comportent comme ennemis ? Pour pouvoir affronter de tels
combats, il ne suffit pas d’être Juif, il faut être Hébreu. Un non-juif ami de notre
Peuple, écrivait que seul un Etat comme les Etats-Unis, imprégné de culture
biblique, était à même de se battre partout pour la liberté de l’humanité. Il y a
beaucoup de vrai dans cela, mais ce rôle est le nôtre, même s’il doit être réalisé
un peu différemment. Il devient donc urgent de nous restituer notre identité
originelle. Ce serait la seule façon d’être véritablement des Juifs libres, donc des
Hébreux.
Pourim Saméah’ à tous !
Hosha’ana Rabba
Invité spécialement par le recteur du
célèbre Makhon Lev de Jérusalem, Mr
le Professeur Noah’ Dana-Picard, le
Rav Eliahou Zini a enseigné toute la
nuit de Hosha’ana Rabba dans le cadre
prestigieux de cet institut. Le Rav Zini
avait été lauréat du fameux Prix Lev il
y a quelques années pour la réussite
inégalée de sa double carrière, aussi
bien en Torah que dans le cadre universitaire. Depuis une coopération serrée
s’est créée entre Le Rav Zini et le
Prof. Dana-Picard, aussi bien dans le
domaine académique que dans celui
de la Torah. Cette veillée a eu droit
a un immense succès et a accueilli
quelques centaines de participants
qui ont pu profité de l’enseignement
du Rav Zini tout au long de la nuit.
Visite du Général Gadi Eizencot
La Yéshiva a eu le grand honneur
de recevoir le Général Gadi Eizencot,
récemment nommé vice-chef d’Etat
Major
de
Tsahal.
Après
s’être
entretenu en tête-à-tête avec le Rav
Zini, le Général Eizencot a donné
une conférence aux élèves et exposé
plusieurs sujets touchants au service militaire des élèves de Yéshivot Hesder, et
s’est particulièrement attardé sur l’immense contribution de ces derniers dans
le cadre de Tsahal. Le Rav Zini a chaleureusement remercié le Général Eizencot
de sa visite et du temps précieux qu’il a consacré à la Yéshiva, et lui a offert le
livre du Michné Torah de Maïmonide édité par la Yéshiva.
Visite du musée Hecht
Dans le cadre de nos efforts d’élargir
au maximum les horizons de nos élèves
et d’enrichir leur culture générale, nous
avons organisé une visite de nos élèves
au musée Hecht situé dans les locaux
de l’université de Haïfa. Celui-ci est un
musée d’archéologie d’Eretz Israël, et
développe également l’évolution de
l’art à travers les diverses découvertes
archéologiques en Israël. Accompagnés d’un guide, nos élèves ont pu contempler
les différents vestiges exposés dans ce musée, dont certains viennent directement
illustrer des enseignements de nos Sages.
Nouvelles parutions aux éditions
de la Yéshiva
Ces derniers mois ont été b’’h tres
productifs en nouveaux ouvrages édités
par la Yéshiva. Outre les livres du Michné
Torah de Maïmonide qui continuent à
voir le jour au fur et à mesure, le Rav
Zini a édité un nouveau livre intitule
‘Bein hachémachot’. Ce livre traite de la
fixation selon la Halakha des horaires de la tombée de la nuit et du crépuscule,
ce qui a une influence directe sur les horaires de la fin du
Chabat et de l’allumage des bougies de ‘Hanouka.
A l’occasion du jeûne du 10 Téveth le Rav Zini a
également publié un fascicule sur la Shoah, dans lequel
le Rav pose un regard toranique et historique sur cette
catastrophe qui s’est abattue sur notre Peuple durant
la seconde guerre mondiale. Ce fascicule est en cours
de traduction et nous espérons que d’ici quelques mois
nous pourrons l’éditer en français également.
Opération ‘Pilier de défense’
Comme de nombreux israéliens, la
plupart des anciens élèves de la Yéshiva
et une grande partie des Rabbanim
qui y enseignent ont été appelés en
Milouim lors de l’opération ‘Pilier de
défense’. Appelés de toute urgence en
plein Chabat ils ont du tous quitter
leur foyer peu après le repas du Chabat et
se rendre aux points de rendez-vous pour
rejoindre ensuite les effectifs stationnant
aux abords de la bande de Gaza. D. merci
tous sont rentrés en bonne santé chez
eux et le calme est revenu dans le sud du
pays.
Nos élèves à l’armée
Comme chaque année la promotion qui s’est
engagée au mois d’août dernier a prêté serment
de fidélité dans le cadre de leur service. Ayant
obtenu une autorisation spéciale de Tsahal
de rendre visite à nos élèves, nous avons pu
aller les voir dans leurs bases et prendre de
leurs nouvelles. Bien entendu nous leur avons
apporté
des
colis
que
leurs
camarades qui sont actuellement à la Yéshiva
leur ont préparés et nous avons pu passer un
excellent moment en leur compagnie. Que D.
les garde et les ramène en bonne santé vers
leur foyer.
Bénévolat et volontariat
Dans le cadre du programme éducatif et pédagogique mis en place à la Yéshiva,
nous encourageons nos élèves à prendre part active à des actions de volontariat
diverses, et ce pour leur inculquer qu’étudier est certes important et capital,
mais il faut également savoir mettre en application et surtout savoir tendre
la main à son prochain. C’est pour cela que deux fois par an, en coopération
avec Maguen David Adom, nous organisons dans les locaux de la Yéshiva une
journée de don du sang durant laquelle nous réunissons plusieurs centaines de
personnes qui viennent donner leur sang. A plusieurs reprises la Yéshiva a déjà
reçu pour cette action des diplômes de reconnaissance de la part du président
de Maguen David Adom.
Soirée de Gala au profit des institutions de la Yéshiva
Au vu de la réussite de la soirée de soutien organisée à Paris
l’an passé nous réorganisons cette année be’ezrat Hashem une
nouvelle soirée le mardi 26 février aux Salons Hoche. La soirée
se déroulera comme l’an passé sous le haut patronage de Mr
le Grand Rabbin de France Gilles Bernheim ‫שליט”א‬, que nous remercions pour
son engagement et de son soutien aux institutions de la Yéshiva. De nombreux
Rabbanim et présidents de communautés seront présents, et nous espérons
vous voir tous à nos côtés cette année encore pour rendre hommage à Eretz
Israël, à la Torah d’Eretz Israël et à plus de 40 ans de travail ininterrompu pour
le bien de toute le ‘Am Israël.
Contactez-nous au plus vite par mail ou par téléphone aux coordonnées
indiquées ci-dessous pour assurer vos places !
Contact
En Israël
Shimon Fitoussi
01-77-38-18-19
972-50-3767001
[email protected]
En France
‘Le Foyer des Etudiants de Haïfa’ (ordre à libeller les chèques)
Association 1901 – reçus CERFA
c/o Famille Cohen
5 square Bolivar 75019 Paris
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