© Consistoire de Paris
« Bimkom chéatah motsé guédoulato chel Hakadoch baroukh Hou,
cham atah mosté anvatanouto »
« Là où tu trouves la grandeur, tu trouves aussi son humilité ».
Là où réside la grandeur, l’importance de la responsabilité, c’est l{ que l’on trouve
l’humilité.
Je pourrai vous dire beaucoup de choses sur Rabbi David, car j’ai eu la chance de vivre à
ses côtés, pratiquement chaque semaine, pendant quatorze ans. Il y avait entre nous une
intensité fraternelle, un échange d’une confiance qui reste pour moi une grande marque
de bonheur que je garde en moi pour toujours.
Téhé nafcho bégan éden.
Que son âme soit dans le jardin d’Eden et qu’il prie pour nous tous.
Chers amis, on m’a demandé de faire le résumé de la parachah de Nasso.
Rien de plus facile.
Je suis heureux de faire de « la publicité » pour le livre de Gabriel Cohen, Président de
l’école de Savigny, qui a livré un travail colossal sur chacune des sections de la Torah.
Je me suis dit : « Je ne vais pas me casser les méninges. Je vais vous donner la lecture du
résumé du plan de la parachah, qu’en donne Gabriel ».
Vous le trouverez parachat Nasso, au début de son commentaire sur la parachah.
La parachah évoque, dans l’ordre :
la fonction des Lévites dans le Tabernacle,
le recensement des familles de la tribu des Lévites,
les impuretés des personnes qui devaient être installées { l’extérieur du camp ;
la loi du korban, du sacrifice pour un délit de détournement,
la femme soupçonnée d’adultère, ce qu’on appelle communément la sotah et de son
traitement,
le nazir, c’est-à-dire un individu qui choisit des conditions de vie en retrait par rapport à la
société, qui s’interdit pendant un temps défini le vin et des boissons à base de vin ; qui
doit dés lors respecter certaines règles de pureté, ne pas se couper les cheveux pendant la
période de nézirat.
Puis, la parachah évoque la birkat cohanim, la bénédiction des cohanim, sur laquelle je
m’arrêterai personnellement.