La e-letter de la Communauté d’Aulnay sous Bois Semaine 02 - du 9 au 15 Janvier 2011 (du 4 au 10 Chevat 5771) Agenda de la semaine Les événements communautaires (glya) glya) Chabbath Béchala’h CHABBAT CHIRA Entrée Vendredi 14 Janvier : 17h01 Sortie Samedi 15 Janvier : 18h14 Horaires des offices Vendredi soir à 17h00 (Min’ha suivi d’Arvith) Samedi matin Cha’harit à 9h30 (Odou) Samedi après-midi 17h45 Min’ha suivi de la Séouda Chlichite et d’Arvith Haphtarah : Meïr MEGUIRA Séoudah Chlichite : Meïr MEGUIRA à la mémoire de son frère Religion Tiré du site Internet fr.habad.org Peu après avoir laissé les Enfants d’Israël quitter l’Égypte, Pharaon les pourchasse pour les forcer à revenir et les Israélites se retrouvent pris au piège entre les armées égyptiennes et la mer. Hachem ordonne à Moïse d’élever son bâton au-dessus des eaux. La mer s’ouvre pour laisser passer les Israélites et se referme sur les poursuivants égyptiens. Moïse et les Enfants d'Israël entonnent un cantique de louanges et de reconnaissance à Hachem. Dans le désert, le peuple souffre de soif et de faim et se plaint à plusieurs reprises auprès de Moïse et d’Aharon. Hachem adoucit miraculeusement les eaux amères de Marah, et, plus tard, fait couler de l’eau d’un rocher en demandant à Moïse de le frapper avec son bâton. Il fait tomber de la manne chaque matin avant l’aube et des cailles apparaissent dans le camp hébreu chaque soir. Il est commandé aux Enfants d’Israël de récolter une double portion de manne chaque vendredi, car celle-ci ne tombera pas le Chabbat, le jour de repos décrété par Hachem. Certains désobéissent et partent récolter de la manne le septième jour, mais ne trouvent rien. Aharon préserve une petite quantité de manne dans une jarre, en témoignage pour les générations futures. À Réfidim, les Enfants d’Israël sont attaqués par les Amalécites, qui sont vaincus par les prières de Moïse et une armée levée par . Yéhochoua Azkara : Moïse BENIZRI vous fait part que les prières à la mémoire de son papa Yéhouda ben Mosché Benizri (zal) auront lieu Mercredi 12 Janvier à 18h30 à la synagogue. IL EST VIVANT (vidéo datant du 15/09/09) Pour la libération de Guilad, soldat francoisraélien, enlevé le 26 Juin 2006 par le Hamas soit depuis 1658 jours. Réflexion Tiré du site Dvar Malhout n°123 Les 13 Principes d’interprétation de la Torah font partie de la Torah Orale, ou Tradition, qui nous a été transmise avec la Torah au mont Sinaï. Sans cette Loi orale, la Torah serait pour nous un livre impénétrable, nous ne saurions pas ce qu’elle signifie. Cela est vrai de toutes les parties de la Torah, des narrations (événements relatés dans la Torah) aussi bien des sections légales (lois et règlements qui gouvernent notre comportement quotidien); mais cela est particulièrement vrai pour ces dernières. La secte Karaïte est un exemple de la grande erreur où sont assurés de tomber ceux qui essaient d’interpréter la Torah sans le secours de la Tradition qui nous a été transmise de génération en génération, de Moché à ce jour. C’était une secte juive qui prit naissance dans la seconde moitié du VIIIème siècle. Elle rejeta la Tradition (Michnah, Guémara et les sources rabbiniques ultérieures) et prétendit se baser seulement sur la Loi Écrite. Ainsi par exemple, ses tenants interprètent ces paroles de la Torah : «Vous n’allumerez pas de lumières le Chabbat » de façon littérale, et se tiennent dans l’obscurité la plus complète durant tout le chabbat, depuis le vendredi soir jusqu’au crépuscule du lendemain. De même l’interdit biblique prohibant de faire bouillir la chair d’un chevreau dans le lait de sa mère a été interprété littéralement. Les Karaïtes ne se considérèrent donc pas obligés d’observer les lois diététiques juives comme nous les connaissons, et ainsi de suite. Cette secte, comme toutes celles qui se sont coupés de la Tradition juive, disparut avec le temps; toutes s’étaient exclues elles-mêmes du peuple juif qui est un peuple seulement grâce à la Torah et à la Tradition venues au Mont Sinaï. Le même sort attend toutes les sectes et mouvements juifs qui prêchent leur propre forme de judaïsme, laquelle n’est pas authentiquement la foi et la pratique traditionnelles. Leurs adeptes égarés ou bien feront retour à leur véritable famille juive, ou bien, avec le temps, ils s’assimileront à l’environnement non juif.