Population pédiatrique:
Orofar ne doit pas être utilisé par des enfants âgés de moins de 4 ans.
4.5. Interactions avec d’autres médicaments et autres formes d’interactions
En cas de surdosage, la prise simultanée d’alcool peut augmenter l’absorption de l’ammonium
quaternaire.
4.6. Grossesse et allaitement
Les expérimentations animales avec le chlorure de benzoxonium n’ont montré ni effet tératogène ni
d’autres effets indésirables sur l’embryon ou le foetus. Durant la grossesse et l’allaitement, Orofar
Lidocaïne devrait toutefois être utilisé avec prudence et uniquement en cas de nécessité évidente.
4.7. Effets sur l’aptitude à conduire des véhicules et à utiliser des machines
Pas d’effets.
4.8. Effets indésirables
Rares (> 1/10 000, < 1/1 000) :
- une légère irritation locale passagère
Très rares (< 1/10 000) y compris les cas isolés :
- Des cas isolés de rash cutané ou d’œdème de Quincke ont été rapportés. Dans ce cas, il faut
arrêter le traitement
Les réactions indésirables à la lidocaïne sont très rares (< 1/10 000) en usage local. Elles sont dues à
un passage intravasculaire accidentel ou à un surdosage consécutif à une utilisation trop fréquente (voir
rubrique « Surdosage »).
Population pédiatrique:
On s’attend à ce que la fréquence, le type et la sévérité des effets indésirables enregistrés chez les enfants soient
identiques à ce que l’on observe chez les adultes.
4.9. Surdosage
L'ingestion accidentelle d'une quantité importante de produit, par exemple une boîte entière de capsules
molles, peut entraîner des nausées ou des vomissements, comme c'est le cas avec d'autres
ammoniums quaternaires.
La prise simultanée d'alcool peut augmenter l'absorption de l’ammonium quaternaire.
Les réactions indésirables à la lidocaïne sont très rares en usage local. Elles sont dues à un passage
intravasculaire accidentel ou à un surdosage consécutif à une utilisation trop fréquente. On peut
observer :
Système nerveux central : agitation, baillements, tremblements, anxiété, nystagmus, céphalées,
nausées, bourdonnements d’oreilles. Ces symptômes peuvent parfois évoluer vers des convulsions et
une dépression du système nerveux central.
Système respiratoire : tachypnée et dyspnée.
Système cardio-vasculaire : tachycardie et hypertension, suivies éventuellement d’hypotension et
bradycardie, pouvant évoluer très rarement vers un arrêt cardiaque.
5. PROPRIETES PHARMACOLOGIQUES
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