Commandité par HUMN Pharmaceuticals
La société pharmaceutique Humn lance sur le marché une
crème antidouleur topique riche en lidocaïne par Haidita Celestine
Selon le directeur de la
recherche à la Société
pharmaceutique Humn de
Winnipeg, Rowan Hamilton,
beaucoup d’aînés canadiens
sourent pour rien. « Même
si la lidocaïne fait partie de
la Liste des médicaments
essentiels (LME) de
l’Organisation mondiale
de la Santé, la plupart
des gens ignorent son
impressionnante aptitude à
calmer la douleur. »
Puisque Rowan Hamilton
est un diplômé de la
School of Herbal Medicine
(Angleterre), un herboriste,
un dermatologue holistique
et un adepte de la médecine
traditionnelle chinoise,
l’entendre vanter les
mérites d’un médicament
synthétique peut surprendre.
Le chercheur explique
toutefois que même s’il
privilégie des solutions
naturelles, il n’existe qu’un
anesthésique local naturel :
la cocaïne.
C’est vers la n des années
1880 que les dentistes
ont commencé à utiliser
la cocaïne comme agent
anesthésique local, une
nette amélioration par
rapport aux copieuses
quantités d’alcool qu’ils
dispensaient auparavant
aux patients. La lidocaïne
devenait la drogue de choix
en dentisterie suivant son
apparition sur le marché
à la n des années 1940.
La plus grosse diérence
entre la lidocaïne et les
anciens anesthésiques tient
à sa stabilité dans l’eau,
ce qui permet au produit
de rester proche du point
d’injection et de produire
un engourdissement
localisé. Il s’agit aussi du
premier anesthésique local
de type amino-amide,
les autres ayant toujours
été des « esters ». Selon
Rowan Hamilton, « les
anesthésiques de type
ester tendent bien plus à
provoquer des réactions
allergiques que ceux de type
amide ».
« Tout ça pour dire qu’en
bloquant les nerfs, la
lidocaïne empêche non
seulement les signaux
de douleur d’atteindre le
cerveau, mais les bloque
au départ sans risque
d’accoutumance, de
réaction allergique ou
d’eets secondaires nocifs
», précise Rowan Hamilton.
L’American Geriatrics
Society a reconnu la valeur
de la lidocaïne dans ses
lignes directrices sur la
douleur persistante de 2009
et recommande fortement
le recours à la lidocaïne
topique à quiconque
éprouve des douleurs
neuropathiques localisées.
« Je suis er d’être associé
à la société Humn », conclut
Rowan Hamilton. « Humn a
inventé la crème topique à
la lidocaïne TPR20 an que
les gens aient accès à un
produit antidouleur éprouvé,
sécuritaire et ecace. Bravo
Humn! »
www.humnpharmaceuticals.com
C’est normal de ressentir les douleurs
associées au vieillissement.
Et d’essayer d’en rire, malgré tout.
Un désagrément compensé par les
années vécues.
En hommage à une jeunesse disparue.
C’est aussi normal d’avoir cette
autre réaction.
Faire disparaître cette maudite douleur.