Chap.4 : Le cerveau : intégration des signaux - SOS-SVT

I. Différentes aires corticales participent à la perception
visuelle.
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A. Les aires visuelles : des aires spécialisées…
Etude des documents pages 38&39 :
B. Des échanges d’information permettent la perception visuelle.
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Document 5 p39 +
D’autres aires corticales participent à l’intégration des signaux et à l’élaboration de la
perception visuelle : ce sont principalement le cortex temporal et le cortex pariétal.
La perception visuelle finale est due à l’intégration synchrone des informations des
différentes aires corticales.
Chap.4 : Le cerveau : intégration des signaux
V4 : couleurs.
V5 : mouvement.
V3 : formes.
Bilan : Le cortex visuel comporte plusieurs aires qui
répondent de façon spécifique à des aspects
différents du stimulus visuel : couleur, direction du
mouvement, reconnaissance des formes
Au-delà de l’aire MT se trouvent d’autres régions impliquées dans l’analyse du mouvement comme l’aire MST
p
ar exemple. Les cellules qui s’y trouvent sont non seulement sensibles au déplacement linéaire comme dans
l’aire MT. Ils sont aussi sélectivement activés par des configurations complexes de mouvements, correspondan
t
au déplacement des éléments de notre environnement quand on avance dans celui-ci.
Certains neurones de l'aire supérieure temporale polysensorielle (STP) répondent même sélectivement à des
mouvements biologiques qui ont pu s’avérer essentiels pour la survie de l’individu, comme la reconnaissance
de la démarche d'un congénère par exemple.
II. Une perception visuelle propre à chaque individu.
A. La perception visuelle : un déterminisme génétique.
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Le daltonisme peut être une maladie congénitale. Dans ce cas, elle est présente dès la
naissance et n'évolue pas.
Il existe un gène ancestral commun à l'origine des pigments, d'où sont issus :
- un gène codant pour la rhodopsine,
- un gène pour le pigment bleu situé sur le chromosome 7,
- les gènes qui codent pour les pigments des cônes L (rouge) et M (vert) sont alignés l'un
derrière l'autre sur les bras longs du chromosome X.
La perception de notre environnement dépend de l'organisation et de la structure du cortex
visuel, de la présence de pigments rétiniens ou encore de la structure de l'œil. Or toutes ces
propriétés sont directement contrôlées par des gènes; elles dépendent donc du programme
génétique des individus. Les êtres vivants d'une même espèce possèdent à la naissance les
mêmes potentialités visuelles.
B. Evolution de la perception visuelle.
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Documents page 43 :
Les expériences montrent que les stimuli lumineux sont nécessaires au bon développement du
système visuel. Cette possibilité de remanier en permanence l'agencement des neurones porte
le nom de plasticité cérébrale. Les apprentissages ou les expériences acquises sont
également à l’origine d'une organisation différente des réseaux de neurones corticaux, ce qui
induit le fait qu'aucun cerveau ne voit le monde exactement comme un autre.
Ex : illusions d’optique.
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