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Remerciements
Je tiens tout d’abord à remercier très chaleureusement mes directeurs de recherche
Jean-Marc Larrue et Arnaud Rykner qui m'ont accompagnée avec passion et générosité.
Grâce à leurs spécialités respectives, à leur profonde curiosité et à leur réelle ouverture
d’esprit, ils m’ont permis de vivre pleinement l’expérience de la cotutelle. Je les en remercie
ensemble et respectivement. Je leur suis très reconnaissante de la qualité des échanges qu’ils
m’ont offerts.
Je souhaite aussi remercier Denis Guénoun et Wladimir Krysinski avec qui j’ai
entamé mes recherches doctorales. Mes études si enthousiasmantes au département de
Littérature comparée de l’Université de Montréal, c’est à Wladimir Krysinski que je les dois.
Je tiens à lui témoigner ici toute ma gratitude.
Je remercie l’Institut d’Études théâtrales de Paris III au sein duquel j’ai l’immense
plaisir d’enseigner depuis 2012. Merci plus particulièrement à Sylvie Chalaye et à Pierre
Letessier de m’avoir offert de donner un cours sur les problématiques qui sont au cœur de
cette thèse. Les propositions et surtout les questions adressées par les étudiants ont nourri de
façon fructueuse mes réflexions. Je remercie Joseph Danan, Pierre Longuenesse et Catherine
Naugrette pour leurs précieux conseils de lecture. Je tiens à remercier également Livia
Monnet et Marie-Christine Lesage pour leur participation très stimulante à mon examen de
synthèse en décembre 2013, à Montréal. Parce qu’ils ont œuvré avec bienveillance et
efficacité pour que mes problèmes administratifs ne soient jamais très longtemps insolubles,
je remercie sincèrement Nathalie Beaufay et Didier Mocq. Enfin, un grand merci à la Faculté
des études supérieures et postdoctorales de l’UdeM pour la bourse de fin d’études doctorales
qu’elle m’a accordée.
Je veux remercier les auteurs et les artistes qui ont répondu à mes sollicitations et
m’ont offert des documents essentiels pour cette thèse. Merci beaucoup à Alexandre Barry,
Jean-Christophe Cavallin, Brigitte Enguerand, Gaëtan Gosselin, Bertrand Krill, Jean-René
Lemoine, Koichi Miura, Laurent Muhleisen et Pascal Victor. Merci infiniment à Daniel
Danis et Philippe Malone qui m’ont offert de partager les chemins de leurs pensées. Je les
remercie pour leur confiance et pour nos amitiés.
Je souhaite remercier mes collègues et amies rencontrées à l’UdeM et à Paris III :
Magali Alphand, Pauline Bouchet, Émilie Coulombe, Dominique Hétu, Elisabeth Otto,
Elisabeth Routhier et Marie Vandenbussche-Cont. Je veux aussi remercier chaudement mes
chers amis Marie Cazaban-Mazerolles, Johanna Krawczyk, Stéphane Resche et Zacharie
Signoles pour leurs relectures estivales joyeuses, rigoureuses et ô combien stimulantes.
Merci beaucoup à Romain Nguyen Van pour l’élégance précise de ses traductions anglaises
et pour la bienveillance dont il a entouré mes propositions de traduction. Pour leur oreille
curieuse, pour leur énergie et leur amitié, je remercie Romain Benini, Valentin Chémery,
Alice Dupouy, Marion Dupouy, Cécile Eymard, Katia Gabriel, Emilie Jobin, Mathieu
Leroux, Séverine Mousseigne, Flaminia Paddeu, Sara Roger, Charlotte Ruggieri, Damien
Salgues, Stéphanie Soubrier et Ariane Zaytzeff.
Je tiens à remercier mon frère Rémy de sa présence réconfortante en chansons. Merci
profondément à Martin Bellemare et à tous les trésors d’imagination qu’il a déployés pour
m’aider et m’encourager.
Enfin, je remercie mes parents, Dominique et Michel, pour leur enthousiasme, leur
écoute et leur soutien indéfectible, protéiforme, total. Je leur dédie cette thèse.