Regards croisés sur le dépistage systématique de la détresse

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Journée d’étude du RIUPS, octobre 2015
Regards croisés sur le
dépistage systématique
de la détresse:
perspectives infirmières
patients et autres acteurs
Nicole Tremblay, Inf. M. Sc, CSIO (C),
ICSP (C)
Odette Roy, Inf. M. Sc, MAP, Ph D,
1
Chercheure principale :
Nicole Tremblay, inf. M.Sc, CSIO ( C), ICSP ( C ), CCSI –
DSIPSSS – HMR
Dépistage systématique
de la détresse de
personnes atteintes
de cancers
hématologiques et
de cancer du sein
Co-chercheure
Odette Roy, inf., M.Sc., M.A.P., Ph.D., adjointe à la DSIPSSvolet recherche et enseignement (ad juin 2015) et professeure
associée à la Faculté des sciences infirmières de l'Université
de Montréal.
Équipe de recherche
Caroline Provencher, inf. M.Sc., adjointe aux chefs de programme
clientèle oncologie
Louise Compagna, inf. B.Sc., chef clinico-admnistratif programmeclientèle d’oncologie
Claudine Tremblay, inf. M.Sc., infirmière-chef unité des soins palliatifs et
responsable CRID et IPO
Francine Grondin, inf. B.Sc.; infirmière-chef, 5e CD
Karine Le Breton, inf. M.Sc.; assistante infirmière-chef, 5e CD
Assistante de recherche
Jocelyne Doucet, inf. B.Sc., infirmière clinicienne
Cécile Mathurin, inf. M.Sc., infirmière clinicienne
Jérémie Paquette, inf. B. Sc (candi.), assistante infirmière-chef, 5e CD
3
Plan
Mise en contexte du dépistage Remerciements
systématique de laSoutien
détressefinancier
dans
le contexte canadien
ACIO
Centre d’excellence en soins
infirmiers
Notre étude…..
Accompagnement Aurélie Lecocq,
statisticienne
Présentation de résultats pertinents
à la journée d’étude du RIUPS
4
Mise en contexte : « La détresse, le 6e signe vital à
dépister »
• Patients sont à risque de vivre une détresse lors des
différentes étapes de la trajectoire de soins
• Nécessité de développer un moyen standardisé pour
identifier ceux pouvant bénéficier d’une aide additionnelle
• Convergence sur les plans provincial, national et
international pour faire du dépistage une pratique
systématique
© Tremblay, N. et Roy, O et al., CIUSSS de l'Est-de-l'Ile-de Montréal, HMR, 2015
5
Qu’est-ce que la détresse?
La détresse est une expérience
émotionnelle désagréable de nature
psychologique, sociale ou spirituelle
qui risque d’interférer avec la capacité de la
personne à faire face au cancer, ses symptômes
physiques et les traitements qu’il nécessite
(National Comprehensive
Cancer Network [NCCN], 2008)
Vulnérabilité, peur, tristesse
Anxiété, dépression, panique, isolement social, crise
existentielle/spirituelle
© Tremblay, N. et Roy, O et al., CIUSSS de l'Est-de-l'Ile-de Montréal, HMR, 2015
Outil
de dépistage
systématique de
la détresse (ODD)
• Outil de dépistage systématique de la
détresse (ODD) implanté en janvier 2012
• Comprend 3 mesures:
• Thermomètre de la détresse (DT)
• Liste canadienne de vérification des
problèmes (LCVP)
• Échelle d’évaluation des symptômes
d’Edmonton (ESAS)
7
Suivi de l’outil
de dépistage
systématique
de la détresse
© Tremblay, N. et Roy, O et al., CIUSSS de l'Est-de-l'Ile-de Montréal, HMR, 2015
Cote au thermomètre
(ODD) ► Détresse dépistée
Intervenant ciblé
Liste de problèmes
Détresse extrême
 Pratique
►
Équipe soignante
 Social / familial
►
Travailleurs sociaux
CCSI
Psychologues
►
Équipe soignante
►
Services spirituels
 Information
Orientation
du patient à la
suite
du dépistage
 Physique
Mémoire / concentration,
sommeil, poids,
constipation / diarrhée
 Spirituel / religieux
 Difficultés
émotionnelles

►
Équipe soignante,
travailleurs sociaux, CCSI
Infirmière, IPO

Aucune détresse
Si ≤ 4
Si > 4
Évaluation diagnostique en
psycho-oncologie
(psychologue, onco-psychiatre)
Échelle d’évaluation des
symptômes d’Edmonton (ESAS)
 Dépression-Anxiété
Si ≤ 4
►
Équipe soignante
Travailleurs sociaux, CCSI
Si > 4
►
Évaluation diagnostique en psycho-oncologie
►
Équipe soignante
Évaluation le plus rapidement possible selon
disponibilité des services
►
Équipe soignante
Évaluation le jour même
 Douleur, fatigue, nausées,
somnolence, appétit,
essoufflement
Si ≤ 4
Si > 4
9
(psychologue, onco-psychiatre)
© Tremblay, N. et Roy, O et al., CIUSSS de l'Est-de-l'Ile-de Montréal, HMR, 2015
Étude à devis
mixte séquentiel
exploratoire
Cinq buts (deux dernières années)
• Brosser un portrait de la détresse de patients
traités à HMR et du suivi apporté aux situations
de détresse (sein et cancers hématologiques)
• Décrire la perception de la clientèle à l’égard du
dépistage de la détresse (sein et hémato)
• Décrire les perceptions infirmières à l’égard du
dépistage
• Mieux comprendre le contexte interactionnel
dans lequel se déroule le dépistage de la détresse
et les contextes d’implantation du dépistage
systématique
© Tremblay, N. et Roy, O et al., CIUSSS de l'Est-de-l'Ile-de Montréal, HMR, 2015
Description des participants
289
Hématologique
151 hommes
92 femmes
Sein
© Tremblay, N. et Roy, O et al., CIUSSS de l'Est-de-l'Ile-de Montréal, HMR, 2015
11
Description participants (suite)
Genre
Type de
cancer
Homme
Femme
Hématologique
N
151
381
243
Temps 1
Âge moyen
52,28
59,63
52,12
É.-t.
13,03
13,73
13,72
Sein
289
62,13
12,38
Total
532
57,54
13,92
Différence significative p.=0,000
© Tremblay, N. et Roy, O et al., CIUSSS de l'Est-de-l'Ile-de Montréal, HMR, 2015
Description participants (suite)
Diagnostics des cancers
hématologiques (228)
8%
Stades du cancer (489)
Local
10%
Sans objet
47%
6%
39%
20%
Locorégional
33%
Leucémies
LNH
MM
27%
Hodgkin
Métastatique
10%
Autres
Local
13
Locorégional
Métastatique
Sans objet
© Tremblay, N. et Roy, O et al., CIUSSS de l'Est-de-l'Ile-de Montréal, HMR, 2015
Cote au thermomètre et seuil clinique
(N= 532)
T1: Près de 34% (33,9 %)
atteignent le seuil clinique
© Tremblay, N. et Roy, O et al., CIUSSS de l'Est-de-l'Ile-de Montréal, HMR, 2015
Nombre d'items par domaine de problèmes (en %) T1
Domaine de
problèmes
Nbre
d'items
total
0 item
1 item 2 items 3 items 4 items 5 items 6 items
PB Pratiques
4
64,2
24,1
9,8
1,1
0,8
PB Sociaux
4
48,6
32,4
14,7
3,6
0,8
PB Émotionnels
7
PB Spirituels
3
PB Information
4
PB Physiques
4
Moyenne
de 519,4problèmes
au T1,
25,4
29
14,1
6,6
3,4
77,8
18,1
3
1,1
57
23,4
11,3
4,2
4,2
35,7
33,5
21,6
7
2,3
0,8
7 items
1,3
Pour chaque problème supplémentaire rapporté par le patient, la cote va augmenter de 0,28 au T1
et de 0,46 au T2. Par exemple un patient passerait de 3 à 5,8 s’il présentait 10 problèmes de plus
que son vis-à-vis
© Tremblay, N. et Roy, O et al., CIUSSS de l'Est-de-l'Ile-de Montréal, HMR, 2015
Symptômes
• Nombre de symptômes
au temps 1 et 2 (en %)
• Médiane de 5
Nbre de
symptômes
0
1
2
3
4
5
6
7
8
9
Total
Temps 1
Temps 2
%
4,3
6,4
10,3
9,2
15,0
14,8
15,6
9,6
8,6
6,0
100,0
%
3,3
5,3
8,6
9,9
17,2
17,2
16,6
8,6
6,0
7,3
100,0
© Tremblay, N. et Roy, O et al., CIUSSS de l'Est-de-l'Ile-de Montréal, HMR, 2015
Scores moyens à l’ESAS au T1
Anxiété
T1: 26,6% des patients atteignent seuil
30,3% des femmes
17,% des hommes p.=0,002
Sein: 32,4%
Hémato: 19,8%
T2: 18,4%
Différences se maintiennent
Dépression
T1 9,4 des patients atteignent seuil
5,4% hommes
11% femmes
© Tremblay, N. et Roy, O et al., CIUSSS de l'Est-de-l'Ile-de Montréal, HMR, 2015
Aide souhaitée et références offertes et acceptées
• 22,7% souhaitent recevoir de l’aide au T1
• 14,7% au T2
T1 46 % se voient offrir une référence sur la base du dialogue
1 seule référence dans 88% du temps
• Nature des références offertes
• Oncopsychologue: 26,4%
• Travailleur social 4,1 %
• CCSI 3,5
La référence est acceptée dans 40% des cas au T1 et 33% au T2
• T1 Pas de différence selon le genre ni selon type de cancer
• T2 Différences significatives
• 42% des femmes acceptent contre 16% hommes
• 50% cancer du sein, 23% cancers hématologiques
Selon trajectoire
• 62,5% acceptation per traitement
• Plus de 85% de refus à la fin des traitements et 81% au moment de la
consultation et début de traitement
© Tremblay, N. et Roy, O et al., CIUSSS de l'Est-de-l'Ile-de Montréal, HMR, 2015
Étude à devis mixte
séquentiel
exploratoire
Phase 2
Perception clientèle
N =122 (80 sein, 42 hémato)
• QPC distribué en 2014
• 15 Q avec sous-questions, quantitatif et qualitatif
• Facilité, utilité, émotionnellement dérangeant?, aide
demandée et reçue
Perceptions infirmières
N= 45
• QPI distribué en fin à partir été 2014 ad janvier 2015
• 16 Q avec sous-questions, quantitatif et qualitatif
• Sens accordé au dépistage, importance, degré
de confort en lien avec la pratique inf. autour du
dépistage
© Tremblay, N. et Roy, O et al., CIUSSS de l'Est-de-l'Ile-de Montréal, HMR, 2015
Selon vous à
quoi sert ce
questionnaire ?
Perspective patient
Aider
H11 «à aider notre personne à passer
au travers de tous les inconvénients
de la maladie qui nous réserve
beaucoup de surprises»
Détecter détresse
S 23 «Détecter rapidement la détresse
chez une patiente afin de lui fournir les
outils/services nécessaires afin de la
soulager»
© Tremblay, N. et Roy, O et al., CIUSSS de l'Est-de-l'Ile-de Montréal, HMR, 2015
Avez-vous trouvé
utile de compléter
ce questionnaire?
Précisez les raisons
1. Caractère introspectif
S69 «Oui, c’est à ce moment-là que j’ai
compris que je vivais beaucoup de colère
face à ce diagnostic et que j’ai ressenti un
profond sentiment d'injustice»
S2 «À ce moment je me sentais plus forte.
Mais en lisant les questions je me suis sentie
plus faible que je l’aurais cru. Et cela m’a
surprise.»
90,00%
80,00%
70,00%
• Dans la recherche d’une compréhension juste
de comment ils se sentent
60,00%
%
50,00%
Cancer du sein
40,00%
Cancer hématologique
30,00%
20,00%
10,00%
0,00%
Non
Oui
H16 «Capacité de préciser les pensées et
les mots justes identifiant l’état émotif lors
du diagnostic»
S76 « Cela m’a permis de clarifier mon état
de stress et de voir quels sont mes besoins»
Utilité du questionnaire de dépistage
© Tremblay, N. et Roy, O et al., CIUSSS de l'Est-de-l'Ile-de Montréal, HMR, 2015
Avez-vous trouvé
utile de compléter
ce questionnaire?
Précisez les raisons
2. Partager, communiquer
émotions/expérience
S38 «Oui, j’ai pu partager certaines
angoisses que je n’avais pas partagé
avec ma famille même minimes
soient-elles. Cela m’a soulagé.»
3. Être Rassuré
S18 «Oui, car après l’annonce d’un
cancer on se sent dépassée par les
événements. Il est bien de savoir que
l’on peut obtenir de l’aide…»
© Tremblay, N. et Roy, O et al., CIUSSS de l'Est-de-l'Ile-de Montréal, HMR, 2015
Jusqu’à quel point jugez-vous important de dépister la détresse
des patients à certains points précis de la trajectoire?
Important à incontournable
I17 « Incontournable car les pts ne nous parleront pas nécessairement d’emblée
de leur détresse, il faut questionner»
I41 Important. «En donnant des items comme exemple, certaines détresses
ressortent, amène le pt à parler plus librement»
Valide
Fréquence
%
% valide
% cumulé
Moyennement
important
3
6,7
6,7
6,7
Important
27
60,0
60,0
66,7
Incontournable
15
33,3
33,3
100,0
Total
45
© Tremblay, N. et Roy, O et al., CIUSSS de l'Est-de-l'Ile-de Montréal, HMR, 2015
100,0
100,0
Selon vous les pts
eux-mêmes
perçoivent-ils la
même importance ?
Commentez
Valide
Pourcentage Pourcentage
Fréquence Pourcentage
valide
cumulé
10
22,2
22,7
22,7
5
11,1
11,4
34,1
29
64,4
65,9
100,0
44
97,8
100,0
1
2,2
45
100,0
Non
Oui
Autre
Total
Manquant
Total
Ça dépend.
I9 «Pour certains, je dirais oui alors que pour
d’autres, il ne s’agit qu’un document de plus à
compléter, peut-être qu’au fil de l’hospitalisation,
cela changera»
© Tremblay, N. et Roy, O et al., CIUSSS de l'Est-de-l'Ile-de Montréal, HMR, 2015
Selon vous les pts
eux-mêmes
perçoivent-ils la
même importance ?
Non
Commentez
122Je crois que bcp de pts ne veulent pas
parler de leur détresse, ré : manque d’intimité
dans salle de tx, présence de leurs visiteurs
I4 «Beaucoup croit qu’aucune aide n’est
possible»
I11 «Plusieurs personnes refusent les références
ou complètent à la hâte le document»
Oui
135 «Selon commentaires de patients, l’ODD
les aide à mieux décrire leurs craintes, peurs
et problèmes de santé»
© Tremblay, N. et Roy, O et al., CIUSSS de l'Est-de-l'Ile-de Montréal, HMR, 2015
Avez-vous trouvé
dérangeant ou
incommodant de
compléter ce
questionnaire?
S 25 «Non, mais le mot détresse m’a
semblé un peu fort d’emblée, comme s’il
laissait supposer un état grave. Je crois
que quelqu’un peut avoir besoin d’aide
psychologique sans nécessairement être
en état de détresse».
S28 «Non Vous c’est les spécialistes pour
étudier la détresse car il y a des patients
qui ne s’ouvrent pas aux émotions et qui
ont besoin d’aide».
S 38 «Non Car toutes ces questions sont
bien appropriées je trouve et même
qu’avec la travailleuse sociale j’ai pu les
développées».
© Tremblay, N. et Roy, O et al., CIUSSS de l'Est-de-l'Ile-de Montréal, HMR, 2015
Avez-vous trouvé
dérangeant ou
incommodant de
compléter ce
questionnaire?
S 69 «Oui Même si il est utile sur le
coup, il est dérangeant car il m’a
obligé de m’interroger sur ce que je
vivais. Honnêtement, je crois que je
refusais encore d’admettre que
j’avais reçu un diagnostic de cancer
du sein».
© Tremblay, N. et Roy, O et al., CIUSSS de l'Est-de-l'Ile-de Montréal, HMR, 2015
Après avoir rempli le questionnaire, est-ce qu'un
professionnel a discuté avec vous de vos réponses?
Pourcentage Pourcentage
Fréquence Pourcentage
valide
cumulé
Valide
Manquant
Total
Non
49
40,2
41,2
41,2
Oui
70
57,4
58,8
100,0
Total
119
97,5
100,0
3
2,5
122
100,0
© Tremblay, N. et Roy, O et al., CIUSSS de l'Est-de-l'Ile-de Montréal, HMR, 2015
Vous a t-on proposé
l’aide qu’il fallait
pour répondre aux
besoins et
préoccupations que
vous avez exprimés
Oui (65 %)
S2 «Une personne a appelé suite à ça. je lui ai dit que
sur le moment je me sentais faible car j’étais seule et
toutes les autres femmes étaient accompagnées.
Mais qu’après ça allait de retour à la maison».
S23 «Avec l’infirmière on a discuté de mes réponses et
elle a proposé des solutions»
S45 «Oui mais à ce moment, je n’en sentais le besoin»
Non (28%)
S9 «Personne ne m’a rappelé à ce sujet. Il n’y a que
ma famille qui m’entoure c’est déjà gros»
S50 «Pas besoin d’aide pour le moment»
S75 « On m’a surtout référée à la psy, mais mon besoin
aurait été davantage d’être soutenue par le milieu
médical (inf et médecin)
© Tremblay, N. et Roy, O et al., CIUSSS de l'Est-de-l'Ile-de Montréal, HMR, 2015
Si oui, avez-vous accepté cette aide?
Dépister la détresse
Globalité de
l’expérience
Repérer,
dépister,
identifier,
déceler pister,
voir, évaluer
Besoins,
préoccupations,
problèmes et
inquiétudes
Émotions,
anxiété,
détresse
et état
psy.
Pour des fins de
Prévenir,
référer, diriger
et cibler les
ressources
Soutenir,
permettre
l'expression
Faciliter
l’expérience,
Mieux aider
© Tremblay, N. et Roy, O et al., CIUSSS de l'Est-de-l'Ile-de Montréal, HMR, 2015
Limites et forces
de l’étude
Limites
• Compréhension globale du dépistage par
patients et infirmières
• Validation des questionnaires
Forces
• Différentes facettes liées au dépistage
systématique de la détresse
• Prise en compte des perspectives patients et
infirmières
• Déroulement sur un continuum de services et
dans différents secteurs
© Tremblay, N. et Roy, O et al., CIUSSS de l'Est-de-l'Ile-de Montréal, HMR, 2015
• Perception convergente des infirmières et
Constats/questionnements des patients quant à l’utilité/pertinence de
l’outil
pour la pratique et la
recherche
• Infirmière doit être soutenue dans une
meilleure compréhension de la finalité du
dépistage et des interventions infirmières
qu’elle doit initier et documenter ?? à partir
des besoins
À partir des perspectives recueillies,
le terme détresse représente-t-il le meilleur
terme?
Comprendre les refus envers l’offre d’aide et la
référence, malgré tout parvenir à guider
Quel est l’impact sur les proches de ces refus ?
© Tremblay, N. et Roy, O et al., CIUSSS de l'Est-de-l'Ile-de Montréal, HMR, 2015
Merci
© Tremblay, N. et Roy, O et al., CIUSSS de l'Est-de-l'Ile-de Montréal, HMR, 2015
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