6econgrès mondial du SIDIIEF
© Tremblay, N Lebreton, K; Mathurin, C et collobateurs de l' équipe de recherche «dépistage systématique de la détresse», CIUSSS de l'Est-de-l'Ile-de Montréal, HMR, 2015
Choix de 2 populations
•Diverses études indiquent que de 35 à 45 % des personnes
atteintes de cancer vivent avec un certain degré de détresse
•(Carlson, Angen, Cullum, Goodey, Koopmans, Lamont, et al, 2004; Mitchell, Hussain, Grainger et Symonds, 2011;
Zabora, Brintzenhofeszoc, Curbow, Hooker et Piantadosi, 2001)
•Cancers hématologiques
•Bon à mauvais pronostic, souvent hospitalisation longue et répétée
•Un patient sur deux vivrait de la détresse (N=51) lorsqu’il est vu à sa
première consultation pour une greffe de cellules hématopoïétiques (Trask,
Paterson, Riba, Brines, Grifith, Prker, Weick, Steele, Kyro et Ferrara, 2002).
•Les survivants font aussi face à de grands défis comme l’illustre une sous
analyse d’une étude de cohorte étudiant la mortalité tardive chez des
survivants de greffe de cellules hématopoïétiques (N=1479). Ces derniers
rapportent 14 fois plus de problèmes de santé qui les empêchent
d’occuper un emploi comparativement à leurs frères ou sœurs du même
groupe d’âge (Bhatia et al, 2007)