Annexe 1 du compte rendu de l’AG ONCOLOR du 10 octobre 2005 Projet d’organisation régionale de l’interface Ville/Hôpital axée sur les soins en cancérologie 1. INTRODUCTION Le plan cancer traduit une mobilisation nationale vis à vis de cette maladie. La circulaire du 22 février 2005, relative à l’organisation de soins en cancérologie, doit permettre d’élaborer le SROS de 3° génération, en se fondant sur les principes d’équité d’accès aux soins, de coordination des acteurs impliqués, et de qualité des pratiques professionnelles. Cet effort organisationnel doit également concerner la charnière ville-hôpital. Le projet du réseau ONCOLOR est la création d’une cellule d’aide à l’organisation des soins de proximité. Cette cellule d’aide à l’organisation des soins de proximité (CAOSP) est une plate-forme de services qui fonctionne en lien avec les professionnels libéraux et les structures de soins du domicile ainsi que les établissements membres d’ONCOLOR. 2. CONCEPTION Le principe de base de notre réflexion a été de créer un modèle conceptuel alliant à la fois une dimension régionale et une notion de proximité au travers des cellules territoriales, tout en tenant compte de l’existant. Un état des lieux régional Notre réflexion sur l’amélioration de la qualité et de l’équité d’accès aux soins sur un plan organisationnel a nécessité en premier lieu, un recensement des actions en cours de création ou déjà en place sur l’ensemble du territoire lorrain. Un niveau territorial : CAOSP territoriale Ce niveau territorial a le mérite de la proximité, et permet d’être véritablement à l’écoute des acteurs de soin, oeuvrant de part et d’autre de la plate-forme ville-hôpital. Cette territorialisation de l’offre de soins permet aux établissements de santé de se repositionner en fédérateur d’un pays, d’un territoire, et ainsi de participer plus activement à la gestion et à l’organisation de l’offre de soins de proximité. Un niveau régional : CAOSP régionale La CAOSP régionale est composée des représentants des acteurs des CAOSP territoriales, mais aussi des représentants des autres réseaux organisationnels, et notamment le réseau COLORDSPA (la coordination lorraine douleur, soins palliatifs, accompagnement est en cours d’évolution vers un réseau organisationnel), le réseau ONCODENT, et les associations pour le dépistage et la prévention des cancers en Lorraine, les réseaux de proximité viennent également compléter ce dispositif. 3. PHASE I : LA PLATE FORME VILLE-HOPITAL : ETAT DES LIEUX 3.1. Les structures de soins à domicile Annexe 1 du compte rendu de l’AG ONCOLOR du 10 octobre 2005 3.1.1. Les services d’hospitalisation à domicile Actuellement, l’ensemble du territoire régional dispose de six structures d’hospitalisation à domicile, pouvant prendre en charge des patients atteints de cancer. Notre recensement nous a permis d’individualiser à ce jour, 117 lits d’hospitalisation à domicile (passage à 139 lits en 2006) qui se décline de la façon suivante : • 50 lits pour l’HAD de Nancy • 40 lits sur celle de Metz • 5 lits à Boulay-Moselle (extension à 15 lits) • 5 lits à Gorze • 5 lits à Thionville • 2 lits à Joeuf (extension prévue à 10 lits en 2006) • 10 lits à Bainville/Madon (extension à 14 lits en 2006) La répartition de ces lits d’HAD sur le territoire traduit une forte concentration autour des deux grands pôles urbains de notre région à savoir Metz et Nancy, puisque que l’on y trouve 90 des 117 lits accessibles aux patients cancéreux, soit 77%. Le second point sur lequel nous souhaitons insister est l’absence de structure de ce type en Meuse et dans les Vosges (les HAD de Remiremont, tout comme celle de Bitche étant exclusivement dédiées à la prise en charge de la périnatalité). Au vu de ces quelques éléments il paraît licite de soutenir l’émergence de structure du type hospitalisation à domicile, sur au moins un pôle urbain vosgien, et un pôle urbain meusien. Ce choix de l’HAD urbaine repose avant tout sur une notion d’accessibilité (trajets courts pour des interventions rapides, par du personnel salarié). De plus le désengorgement des structures de permanence des soins (SAU) passe également par la mise à disposition d’autres voies, d’autres modalités de traitement sur les zones urbanisées. En effet d’un point de vue sociologique le comportement des usagers du système de soins reste différent sur les zones rurales, par rapport aux pôles urbains. 3.1.2. Les réseaux de proximité La Lorraine ne dispose pas de réseaux de cancérologie de proximité. Cependant, des réseaux de soins palliatifs existent depuis quelques temps, et chacun d’eux prennent en charge une majorité de patients cancéreux. Les promoteurs de chacun des trois réseaux de proximité ont été rencontré, afin de disposer d’une carte précise de leur zone d’intervention d’une part, et de réfléchir à une mutualisation entre eux et ONCOLOR. Au 15 Août 2005, deux réseaux de proximité sont financés par le guichet unique des réseaux de Lorraine, et un troisième est en cours d’agrément. Le réseau Pallidum basé sur le site de l’hôpital de Gorze, peut intervenir de Pont à Mousson au sud, à Boulay-Moselle à l’Est, Briey et Thionville au Nord. Le réseau Trait d’Union intervenait préférentiellement sur la communauté urbaine du Grand Nancy, et s’étend à présent essentiellement vers l’est pour prendre en charge le pays de Lunéville. Pour finir le réseau Autrement, en cours de reconnaissance, interviendrait à terme sur le territoire des Vosges centrales, ainsi que sur les cantons les plus au sud de la Meurthe-etMoselle et ceux de Vittel et de Mirecourt. Annexe 1 du compte rendu de l’AG ONCOLOR du 10 octobre 2005 Il est intéressant de noter qu’avant même qu’ONCOLOR entame ce travail, une convention de partenariat avait été signé entre ces trois réseaux de proximité pour assurer une couverture homogène de l’ensemble du bassin 14. 3.1.3. Les services de soins infirmiers à domicile Grâce aux DDASS des quatre départements lorrains, nous sommes de décliner l’ensemble de ces services, qui sont à présent plus facilement accessibles aux patients atteints de cancer, lorsque leur dépendance justifie de ce type d’aide. En effet par décret du 25 juin 2004, les services de soins infirmiers à domicile sont ouverts, aux personnes présentant une affection chronique ou une affection de longue durée, sans condition d’âge. La Lorraine compte 76 SSIAD, dont 17 dans les Vosges (541 lits), 20 en Meurthe-et-Moselle (805 lits), 13 en Meuse, et 26 en Moselle. 3.2. Les acteurs libéraux A titre indicatif, ouvrir le réseau ONCOLOR aux intervenants médicaux libéraux, c’est créer une dynamique auprès de : 2743 médecins généralistes, et 1869 médecins libéraux spécialistes (chiffres fournis par l’URML) 902 pharmaciens libéraux, réparti comme suit 328 en Meurthe-et-Moselle, 320 en Moselle, 171 dans les Vosges et 83 en Meuse. 3.2.1. Rencontres médecins généralistes A ce jour une dizaine de médecins généralistes ont été rencontré. A la question « connaissez-vous ONCOLOR ?», la réponse est au mieux « vaguement » voir « pas du tout ». A la question « quelles sont vos attentes vis à vis du réseau régional de cancérologie ? », les réponses restent très évasives. 3.2.2. Rencontre avec le président de l’URML Ce modèle conceptuel de cellule d’aide à l’organisation des soins de proximité a reçu un aval sur le principe par Monsieur le Dr Remy UNVOIS. 3.2.3. Enquête de l’URML « Acceptabilité des réseaux de santé » La publication de l’enquête réalisée par Mme Le Dr THIRY-BOUR pour l’Union Régionale des Médecins Libéraux en mars 2005, nous a permis de connaître le sentiment général des médecins libéraux lorrains vis à vis des réseaux de santé. Cette étude repose sur un questionnaire adressé à l’ensemble des médecins libéraux de Lorraine, qu’ils soient généralistes ou spécialistes. Le taux de réponse avoisine les 10%, puisque 370 questionnaires ont été retournés, dont 354 sont exploitables. Annexe 1 du compte rendu de l’AG ONCOLOR du 10 octobre 2005 Les conclusions de cette enquêtes sont : moins d’un quart des médecins font parti d’un réseau formel, ce réseau étant ONCOLOR dans 45% des cas. que les médecins attendent des réseaux de santé une plue-value sur le plan du savoir et sur le plan organisationnel. parmi les conditions d’acceptabilité du travail en réseau, figure la en premier lieu la rémunération des activités liées au réseau, vient ensuite le système de partage des données, puis une reconnaissance de leur rôle d’acteur de santé. Le président de l’URML, Monsieur le Dr R. UNVOIS et Mme le Dr THIRY-BOUR, auteur de l’étude ont bien voulu nous donner accès aux questionnaires sources. Nous avons ré exploité ces données sur une sous-population de 197 observations, sous-population constituée exclusivement de médecins généralistes. L’analyse centrée sur les médecins généralistes objective plusieurs éléments : plus d’un médecin généraliste sur deux juge « très intéressant » l’utilisation de référentiels en vue d’amélioration de la pratique. Ce chiffre reste sensiblement le même que l’on considère les MG installés en milieu urbain, semi-urbain ou rural, qu’ils exercent seul ou en cabinet de groupe. les formations en coopération organisées par le réseau sont également jugées très intéressantes par une majorité des praticiens, en sachant que le taux le plus élevé correspond au groupe des médecins installés en agglomération. le réseau de santé en tant que moyen d’amélioration de la prise en charge globale des patients n’est reconnu que par les praticiens installés en zone urbaine ou semiurbaine. le développement de la délégation des tâches est jugé « très intéressante » par les médecins de campagne à 49% contre 34% pour les médecins de ville. Le réseau en tant que moyen apportant une réponse pour les situations où il n’existent pas d’alternative ambulatoire est souligné surtout par les acteurs installés en milieu urbain. La sous-population des médecins généralistes, tout comme la population entière insiste sur la nécessité d’une présence des libéraux dans la constitution des réseaux, à une nette majorité (de 60 à 77% en fonction du lieu d’exercice), mais aussi sur le principe d’une rémunération à l’acte des professionnels pour leurs actions menées au sein du réseau, à une hauteur de 3 à 4 C de l’heure. 3.3. Les structures hospitalières impliquées Partant du principe que les soignants les plus impliqués dans les sorties de malades cancéreux lourds à domicile, sont ceux des équipes de soins de support, ou à défaut ceux des équipes mobiles de soins palliatifs, il paraît nécessaire que ces derniers puissent intervenir au domicile des patients de façon ponctuelle, pour une activité de conseil ou d’expertise en étroite collaboration avec le médecin traitant du malade. Annexe 1 du compte rendu de l’AG ONCOLOR du 10 octobre 2005 4. LES MODALITES DE LIEN AU SEIN DE LA CAOSP Le lien entre la CAOSP, les professionnels et les structures de soins à domicile, se décline sous deux modes : convention pour les SSIAD, HAD, réseaux de santé de proximité, prestataires de service ; charte pour les professionnels libéraux (convention possible mais modalités complexes en raison du nombre) 5. LES MISSIONS DE LA CAOSP La cellule d’aide à l’organisation des soins de proximité régionale a pour mission : • L’organisation de l’interface ville hôpital. • La rédaction et la diffusion de référentiels, guides de bonnes pratiques, fiches conseils… adaptées à la pratique des soins au domicile du patient. • La création d’un annuaire de l’ensemble des structures médicales et sociales pouvant intervenir au domicile du patient. • L’organisation de formations destinées à l’ensemble des intervenants du soins du domicile. • Des actions d’évaluation, sur le plan organisationnel, en éventuelle collaboration avec EVALOR. • Un suivi organisationnel : de la diffusion des soins de support sur les structures de soins associées, et au domicile des patients de l’externalisation de l’activité de chimiothérapie à domicile de la mise en place expérimentale du suivi conjoint … 5.1. L’interface ville hôpital L’interface ville-hôpital est en perpétuelle évolution depuis l’émergence de structures innovantes, alternatives de l’hospitalisation conventionnelle (réseaux de proximité et services d’hospitalisation à domicile ). Ces développements nécessitent un effort d’organisation, afin d’être véritablement opérants. Compte tenu de son caractère régional, et au vu de la circulaire du 22 février 2005, cet aspect organisationnel incombe au réseau de cancérologie régional ONCOLOR. En outre, la cellule d’aide à l’organisation pourrait proposer une harmonisation des critères médico-sociaux relatifs à l’éventuelle admission en service d’hospitalisation à domicile. Les grandes problématiques situées à l’interface ville-hôpital, sont bien sûr l’organisation des soins de support, le suivi conjoint, la chimiothérapie à domicile… Cet espace d’échanges innovant pourra permettre également une réflexion sur l’avant et l’après de l’annonce, entre autre. 5.2. Diffusion des connaissances validées La diffusion des connaissances validées doit porter sur plusieurs thématiques, et utiliser différents canaux de diffusion. Ainsi, il parait clair que le réseau ONCOLOR doit poursuivre la création, et la diffusion de référentiels et de guides de bonnes pratiques. En concertation avec Annexe 1 du compte rendu de l’AG ONCOLOR du 10 octobre 2005 les médecins libéraux, une réflexion est en cours afin d’adapter le vecteur de diffusion au mode d’exercice du soin à domicile. Parallèlement, à ce premier axe, le réseau ONCOLOR au travers de sa cellule d’aide à l’organisation des soins de proximité, en partenariat avec COLORDSPA, proposera un catalogue de formation destiné à l’ensemble des soignants du domicile. Un travail préparatoire est en cours, afin de lister les attentes et les besoins des médecins généralistes Il paraît important de poursuivre cette centralisation des attentes et des demandes en terme de formation, pour que l’offre reste en adéquation avec les besoins des professionnels de terrain. Les différentes thématiques pourraient se décliner comme suit : • Prévention et Dépistage, en collaboration avec les structures dédiées ADECA54, AMODEMACES (…), pour assurer une diffusion conjointe et une sensibilisation des lorrains autour des campagnes de dépistage et de prévention. • Surveillance et suivi des traitements spécifiques en oncologie. • Soins de support. La diffusion à domicile, comme en établissement, d’une véritable culture douleur est un élément fort, en terme d’amélioration de la qualité des soins. De même, compte tenu de la demande de retour et de maintien à domicile, de certains patients lourds, il paraît nécessaire de favoriser une large diffusion autour du concept des soins de support, avec mise à disposition d’outils adaptés à la pratique de ville (fiches conseils issus des référentiels validés par exemple). 5.3. Annuaire La multiplication sur le territoire de structures innovantes, en matière de services tant médicaux que sociaux, tant à destination du patient que de son entourage, justifie d’une centralisation. Cette aide organisationnelle permettra d’une part la connaissance de l’existant, mais aussi la mise en lumière des besoins, tant au plan géographique que sur celui de l’offre de services et de soins à proprement parler. L’innovation que représente un tel outil contribue également à une prise en charge globale, en limitant la fracture médico-sociale. 5.4. Cellule d’observation Régionale En colligeant les attentes et besoins de chaque territoire de proximité, la CAOSP régionale sera en mesure d’avoir une vision globale de l’offre de soins située de part et d’autre de la plate forme ville-hôpital. 5.5. Evaluation La cellule d’aide à l’organisation des soins de proximité propose des actions d’évaluation de ce modèle organisationnel (amélioration des flux d’information…). Elle peut proposer également un soutien à l’évaluation des pratiques, en totale collaboration avec l’URML et les médecins généralistes. Ainsi, il pourrait être proposé une évaluation ciblée sur des axes prioritaires, définis annuellement en totale coopération entre le monde institutionnel et les structures du domicile. Annexe 1 du compte rendu de l’AG ONCOLOR du 10 octobre 2005 A titre d’illustration, nous pourrions proposer un axe prioritaire autour de l’évaluation de la douleur à domicile, associé à un audit relatif à l’impact de la diffusion de cette pratique. 6. LA COMPOSITION DE LA CAOSP Le pilotage de la cellule régionale nécessite un mi-temps de secrétariat pour assurer des missions organisationnelles avant tout, mais aussi un mi-temps médical et un mi-temps infirmier, ainsi qu’un temps partiel de pharmacien dédié à l’animation et au pilotage des différents groupes de travail. Ce dispositif innovant permet tout en restant au plan organisationnel, c’est à dire sans implication directe dans le soin, d’impliquer des acteurs d’exercice différents n’ayant malheureusement que trop rarement la possibilité de se rencontrer, autour de thèmes forts comme l’organisation de la coordination des soins, la formation, l’évaluation des pratiques. Ce n’est que par un travail en commun, que la reconnaissance des difficultés inhérentes à chaque lieu d’exercice et donc l’amélioration de cette interface pourra se faire. Seule la connaissance des difficultés de l’exercice de « l’Autre » permet de ne pas le juger ou le stigmatiser, mais de comprendre sa problématique pour tenter de s’adapter en vue d’une coopération meilleure. HAD Soins de support Pallidum Trait d’union Autrement Annexe 1 du compte rendu de l’AG ONCOLOR du 10 octobre 2005 PROJET DE L’ORGANISATION REGIONALE DE L’INTERFACE VILLE-HOPITAL et DES SOINS EN CANCEROLOGIE DOMICILE Sites de cancérologie du POLE DE CANCEROLOGIE Sites de cancérologie hors pôle Equipe permanente du Réseau Régional Cellule d’aide à l’organisation des soins de proximité régionale CAOSP Structures de soins associées Structure de soins de support CAOSP Territ. Structure de soins de support CAOSP Territ. Structure de soins de support Conseil - Coordination Conseil - Coordination Conseil - Coordination Milieu rural 3 Milieu urbain & Equipes Mobiles S. de support - S. palliatifs Equipes Mobiles S. de support - S. palliatifs Conseil Conseil Hospitalisation A Domicile Réseaux de proximité S. de support - S. palliatifs Coordination - Conseil Soins Coordination - Conseil KINE ORTHOPHONISTE PSYCHO AUTRES Auxiliaire de Vie Pharmacien S S I A D Médecin Traitant Portage repas IDE Services Sociaux Prestataires Associations Autre Coordination des acteurs du domicile sous l’égide du médecin traitant – Soins – Prise en charge globale (sanitaire et sociale) Légende : Fonctions Lien organisationnel (aide à la coordination (annuaire, procédures) -Référentiels – RCP – Formation - Evaluation Cellule d’aide à l’organisation des soins de proximité territoriale. Liens avec les 3C et CAOSP Territ. A préciser en fonction de l’évolution. Lien fonctionnel (aide concrète aux soins à domicile) Annexe 1 du compte rendu de l’AG ONCOLOR du 10 octobre 2005 Associations de prévention et dépistage CAOSP Territoriale - Etablissement (soins de support) - Structures du domicile (HAD – Réseaux) - Libéraux - Acteurs sociaux HAD CAOSP Rég. Cellule d’aide à l’organisation des soins de proximité régionale Réseaux de proximité Représentants des professionnels libéraux Missions Recensement des attentes et besoins de l’interface ville-hôpital Action Action Action Formation Référentiels Organisation régionale Action Aide à l‘évaluation Annexe 1 du compte rendu de l’AG ONCOLOR du 10 octobre 2005 Extrait de la présentation power point ONCOLOR - HAD Intervenants du domicile ATTENTES DE L’HAD CAOSP • Services d’hospitalisation à domicile (HAD) Connaissances théoriques Connaissances théoriques • Réseaux de proximité de cancérologie 1. Référentiels – fiches conseils : Forme papier des référentiels • Réseaux de proximité soins palliatifs • Service de Soins infirmiers à domicile (SSIAD) ⌦ adapter la forme Thèmes : voie SC à domicile ⌦ nouveaux thèmes Formation (COLORDSPA) 2. Formation : ⌦ exporter techniques hospitalières • Libéraux (URML – Organismes de formation – groupes de travail) Annuaire des formations existantes Activité de recherche (Éthique) Plate forme sur le site Divers : Divers : Solutionner les problèmes de sortie d’HAD (relais SSIAD, pb de prise en charge…) Recenser les difficultés pour élaborer des solutions au niveau régional • Auxiliaires de vie – aide ménagère • Acteurs sociaux 21 / 20 / ONCOLOR – RESEAUX PROXIMITE ATTENTES DES RESEAUX ONCOLOR - LIBERAUX CAOSP ATTENTES DES LIBERAUX CAOSP Connaissances théoriques Connaissances théoriques Connaissances théoriques Connaissances théoriques 1. Référentiels – fiches conseils : Forme papier des référentiels 1. Référentiels – fiches conseils : Forme papier des référentiels ⌦ adapter la forme Thèmes : voie SC à domicile ⌦ adapter la forme Thèmes : voie SC à domicile ⌦ nouveaux thèmes Formation (COLORDSPA) ⌦ nouveaux thèmes (y compris dépistage – prévention Formation (COLORDSPA) 2. Formation : ⌦ exporter techniques hospitalières Annuaire des formations existantes ⌦ chimiothérapie à domicile Annuaire des formations existantes 2. Formation : Activité de recherche (Éthique) Plate forme sur le site Divers : Divers : Retour d’information après tt. Recenser les difficultés pour élaborer des solutions au niveau régional Partenariat pour l’évaluation Problèmes des SSIAD ⌦ exporter techniques hospitalières Activité de recherche (Éthique) 22 / Plate forme sur le site 23 /