BE SPC French Lodotra
RESUME DES CARACTERISTIQUES DU PRODUIT
1. DENOMINATION DU MEDICAMENT
Lodotra 1 mg comprimés à libération modifiée
Lodotra 2 mg comprimés à libération modifiée
Lodotra 5 mg comprimés à libération modifiée
2. COMPOSITION QUALITATIVE ET QUANTITATIVE
Lodotra 1 mg :
Un comprimé à libération modifiée contient 1 mg de prednisone.
Lodotra 2 mg :
Un comprimé à libération modifiée contient 2 mg de prednisone.
Lodotra 5 mg :
Un comprimé à libération modifiée contient 5 mg de prednisone.
Excipient à effet notoire : lactose
Lodotra 1 mg :
Chaque comprimé à libération modifiée contient 42,80 mg de lactose.
Lodotra 2 mg :
Chaque comprimé à libération modifiée contient 41,80 mg de lactose.
Lodotra 5 mg :
Chaque comprimé à libération modifiée contient 38,80 mg de lactose.
Pour la liste complète des excipients, voir rubrique 6.1.
3. FORME PHARMACEUTIQUE
Comprimé à libération modifiée
Lodotra 1 mg :
Comprimé à libération modifiée, cylindrique, blanc jaunâtre pâle, d’une hauteur de 5 mm et d’un diamètre de 9
mm, avec « NP1 » gravé sur une face.
Lodotra 2 mg :
Comprimé à libération modifiée, cylindrique, blanc jaunâtre, d’une hauteur de 5 mm et d’un diamètre de 9 mm,
avec « NP2 » gravé sur une face.
Lodotra 5 mg :
Comprimé à libération modifiée, cylindrique, jaune clair, d’une hauteur de 5 mm et d’un diamètre de 9 mm,
avec « NP5 » gravé sur une face.
4. DONNEES CLINIQUES
4.1. Indications thérapeutiques
Lodotra est indiqué pour le traitement de la polyarthrite rhumatoïde active modérée à sévère, en particulier
lorsqu’elle s'accompagne d’une raideur matinale, chez les adultes.
4.2. Posologie et mode d'administration
Posologie
La dose appropriée dépend de la gravité de l’affection et de la réponse individuelle du patient. En règle
générale, on recommande une dose d’attaque de 10 mg de prednisone. Dans certains cas, une dose d’attaque
plus forte peut être nécessaire (p. ex. 15 ou 20 mg de prednisone). En fonction des symptômes cliniques et de
la réponse du patient, la dose d’attaque peut être progressivement réduite à une dose d'entretien plus faible.
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BE SPC French Lodotra
Lorsqu’on passe du traitement standard (administration de glucocorticoïde le matin) à un traitement par
Lodotra, administré à l’heure du coucher (soit aux environs de 22 heures), la même dose (en mg d’équivalent
prednisone) doit être maintenue. Après le changement de traitement, la dose peut être ajustée en fonction de
la situation clinique.
Pour les doses non réalisables/praticables avec ce dosage, il existe d’autres dosages de ce médicament. Pour
le traitement à long terme de la polyarthrite rhumatoïde, la dose individuelle pouvant atteindre 10 mg de
prednisone par jour doit être ajustée en fonction de la sévérité et de l’évolution de l’affection.
En fonction de l’effet du traitement, la dose peut être réduite par paliers de 1 mg toutes les 2 à 4 semaines
jusqu’à l’obtention de la dose d’entretien appropriée.
Pour interrompre le traitement par Lodotra, la dose doit être réduite par paliers de 1 mg toutes les 2 à
4 semaines, en surveillant les paramètres de l'axe hypophyso-surrénalien si nécessaire.
Population pédiatrique
Compte tenu de l’insuffisance des données concernant la sécurité et l’efficacité, l’utilisation de ce médicament
n’est pas recommandée chez les enfants et les adolescents.
Mode d’administration
Lodotra doit se prendre à l’heure du coucher (aux environs de 22 heures), pendant ou après le repas du soir ;
le comprimé doit être avalé entier avec une quantité suffisante de liquide. Si plus de 2 à 3 heures se sont
écoulées depuis le repas du soir, il est recommandé de prendre Lodotra avec un repas léger ou un en-cas (p.
ex. une tranche de pain avec du jambon ou du fromage). Lodotra ne doit pas être administré à jeun car cela
pourrait diminuer sa biodisponibilité.
Lodotra est conçu pour libérer la substance active avec un lai d’environ 4 à 6 heures après la prise. La
libération de la substance active et les effets pharmacologiques commenceront durant la nuit.
Lodotra comprimés à libération modifiée consiste en un noyau contenant la prednisone et un revêtement inerte.
La libération retardée de la prednisone implique l'intégrité du revêtement. Pour cette raison, les comprimés à
libération modifiée ne doivent pas être cassés, divisés ni mâchés.
Chez les patients atteints d’hypothyroïdie ou de cirrhose hépatique, des doses comparativement faibles
peuvent être suffisantes ou il peut s’avérer nécessaire de diminuer la dose.
4.3. Contre-indications
Hypersensibilité à la substance active ou à l’un des excipients mentionnés à la rubrique 6.1.
4.4. Mises en garde spéciales et précautions d'emploi
Une pharmacothérapie à base de prednisone ne doit être administrée qu’en cas de nécessité absolue. Elle doit
s'accompagner d'une thérapie anti-infectieuse appropriée en présence des pathologies suivantes :
-Infections virales aiguës (Herpes zoster, Herpes simplex, varicelle, kératite herpétique),
-Hépatite chronique active positive pour l’antigène de surface de l’hépatite B (HBsAg),
-Environ 8 semaines avant et 2 semaines après une immunisation par des vaccins vivants,
-Mycoses et parasitoses systémiques (p. ex. nématodes).
-Poliomyélite,
-Lymphadénite après inoculation du BCG,
-Infections bactériennes aiguës ou chroniques,
-Antécédents de tuberculose (attention à la réactivation !). En raison de leurs propriétés
immunosuppressives, les glucocorticoïdes peuvent provoquer ou aggraver des infections. Ces patients
doivent faire l’objet d’une surveillance attentive, p. ex. réalisation d’un test à la tuberculine), Les
patients présentant un risque particulier doivent recevoir un traitement prophylactique antituberculeux.
En outre, une pharmacothérapie à base de prednisone ne doit être administrée qu’en cas de nécessité
absolue. Elle doit s'accompagner d'une thérapie appropriée en présence des pathologies suivantes :
-Ulcères gastro-intestinaux,
-Ostéoporose et ostéomalacie sévères,
-Hypertension difficile à maîtriser,
-Diabète sucré sévère,
-Troubles psychiatriques (également en cas d'antécédents),
-Glaucome à angle fermé ou ouvert,
-Ulcères cornéens et lésions cornéennes.
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En raison du risque de perforation intestinale, la prednisone ne doit être utilisée que si elle est absolument
nécessaire et avec une surveillance adéquate en cas de :
-Rectocolite hémorragique sévère avec perforation imminente,
-Diverticulite,
-Anastomoses intestinales (en postopératoire immédiat).
Si Lodotra est administré à jeun, il est possible que les concentrations sanguines escomptées de prednisone
ne soient pas atteintes. Par conséquent, Lodotra doit toujours se prendre pendant ou après le repas du soir,
afin d’assurer une efficacité suffisante. De plus, des concentrations plasmatiques faibles peuvent survenir pour
6 à 7% des doses de Lodotra comme l’ont révélé toutes les études pharmacocinétiques et pour 11% des doses
au cours d’une seule étude pharmacocinétique, en cas de prise selon les recommandations. Ceci devra être
pris en compte si Lodotra n’est pas suffisamment efficace. Dans ces situations, il est possible d’envisager un
passage vers une formulation conventionnelle à libération immédiate.
Lodotra ne doit pas être remplacé par des comprimés de prednisone à libération immédiate en conservant le
même schéma d’administration en raison du mécanisme de libération retardée.
En cas de substitution, d’arrêt ou d’interruption d’un traitement prolongé, les risques suivants doivent être pris
en considération : récurrence de la polyarthrite rhumatoïde, insuffisance surrénalienne aiguë (notamment dans
les situations de stress, p. ex. au cours d’infections, après un accident, avec une contrainte physique accrue),
syndrome de sevrage cortisonique.
En raison de ses propriétés pharmacologiques, Lodotra ne doit pas être utilisé dans les indications aiguës à la
place des comprimés de prednisone à libération immédiate.
Pendant l’utilisation de Lodotra, il faut tenir compte d’une éventuelle augmentation des besoins en insuline ou
en antidiabétiques oraux. Les patients atteints de diabète sucré devront par conséquent être traités sous
surveillance étroite.
Pendant le traitement par Lodotra, il est nécessaire de contrôler régulièrement la tension artérielle chez les
patients dont l’hypertension est difficile à maîtriser.
Les patients souffrant d’une insuffisance cardiaque grave doivent être surveillés étroitement en raison du risque
d'aggravation de leur pathologie.
Il est nécessaire d’être prudent lorsqu’on prescrit des corticostéroïdes, y compris la prednisone, à des patients
ayant récemment subi un infarctus du myocarde, en raison du risque de rupture myocardique.
Il est nécessaire d’être prudent lorsqu’on prescrit des corticostéroïdes, y compris la prednisone, à des patients
atteints d’insuffisance rénale.
Les cas de troubles du sommeil sont rapportés plus fréquemment sous Lodotra qu’avec les formulations
conventionnelles à libération immédiate qui sont administrées le matin. Si une insomnie survient et ne
s’améliore pas, il peut être conseillé de passer à une formulation conventionnelle à libération immédiate.
Le traitement par Lodotra peut aussi masquer les signes et symptômes d’une infection existante ou en
évolution et peut ainsi rendre le diagnostic plus difficile.
L’utilisation prolongée de Lodotra, même à doses faibles, entraîne un risque accru d’infection. Ces infections
éventuelles peuvent également être causées par des micro-organismes induisant rarement des infections dans
des circonstances normales (ce qu’on appelle des « infections opportunistes »).
Certaines viroses (varicelle, rougeole) peuvent prendre une forme plus grave chez les patients traités par les
glucocorticoïdes. Les personnes immunodéprimées n’ayant jamais eu la varicelle ou la rougeole sont
particulièrement exposées. Si, pendant le traitement par Lodotra, ces personnes ont un contact avec des
individus ayant la varicelle ou la rougeole, un traitement préventif doit être instauré, le cas échéant.
En cas de strongyloïdiose (infection à nématode) connue ou suspectée, le traitement par glucocorticoïdes peut
provoquer une surinfection strongyloïde et une dissémination larvaire étendue.
Les vaccinations à l'aide de vaccins inactivés sont habituellement possibles. Cependant, il faut tenir compte du
fait que la réponse immunitaire et par conséquent la réussite de la vaccination peuvent être diminuées avec
des doses plus élevées de glucocorticoïdes.
En cas de traitement à long terme par Lodotra, des bilans médicaux réguliers (y compris un examen
ophtalmologique tous les trois mois) sont indiqués. En cas d’administration de doses comparativement élevées,
assurer un apport suffisant de suppléments de potassium, appliquer une restriction de sodium et surveiller la
kaliémie.
Si pendant le traitement par Lodotra, certains événements (accidents, intervention chirurgicale, etc.)
provoquent un stress physique élevé, il peut être nécessaire d’augmenter temporairement la dose.
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En fonction de la durée du traitement et de la posologie utilisée, on peut s'attendre à un impact négatif sur le
métabolisme du calcium. Il est donc recommandé de prendre des mesures prophylactiques contre
l’ostéoporose, surtout en présence d’autres facteurs de risque (tels qu’une prédisposition familiale, un âge
avancé, un état post-ménopausique, des apports protéiques et calciques insuffisants, un tabagisme excessif,
une consommation exagérée d’alcool ainsi qu’un manque d’activité physique). La prophylaxie repose sur un
apport suffisant en calcium et en vitamine D ainsi que sur l’activité physique. En cas d’ostéoporose
préexistante, un traitement complémentaire doit être envisagé.
Ce médicament contient du lactose monohydraté. Ce médicament est contre-indiqué chez les patients
présentant une intolérance au galactose, un déficit en lactase de Lapp ou un syndrome de malabsorption du
glucose et du galactose (maladies héréditaires rares).
Au cours de l’utilisation de fortes doses de prednisolone sur une période prolongée (30 mg/jour pendant au
moins 4 semaines), on a observé des troubles réversibles de la spermatogenèse, ayant persisté plusieurs mois
après l’arrêt du médicament.
4.5. Interactions avec d'autres médicaments et autres formes d'interactions
Glycosides cardiotoniques : le déficit en potassium peut renforcer l’effet des glycosides.
Salurétiques/laxatifs : augmentation de l’excrétion du potassium.
Antidiabétiques : diminution de l’effet hypoglycémiant.
Dérivés coumariniques : diminution ou augmentation de l’efficacité des anticoagulants coumariniques.
Anti-inflammatoires non stéroïdiens/antirhumatismaux, salicylés et indométacine : augmentation du
risque d’hémorragies gastro-intestinales.
Myorelaxants non dépolarisants : prolongation possible de la relaxation musculaire.
Atropine et autres anticholinergiques : l’utilisation concomitante de Lodotra peut augmenter davantage
une pression intraoculaire déjà élevée.
Praziquantel : les glucocorticoïdes peuvent abaisser les concentrations sanguines du praziquantel.
Chloroquine, hydroxychloroquine, méfloquine : risque accru de survenue de myopathies ou de
cardiomyopathies.
Somatropine : réduction possible de l’efficacité de la somatropine.
Œstrogènes (p. ex. contraceptifs oraux) : augmentation possible de l’efficacité des glucocorticoïdes.
Réglisse : inhibition possible du métabolisme des glucocorticoïdes.
Rifampicine, phénytoïne, barbituriques, bupropione et primidone : diminution de l’efficacité des
glucocorticoïdes.
Ciclosporine : augmentation des taux sanguins de la ciclosporine. Risque accru de crises.
Amphotéricine B : le risque d’hypokaliémie peut être accru.
Cyclophosphamide : augmentation possible des effets du cyclophosphamide.
IECA : risque accru d’anomalies de la numération sanguine.
Inhibiteur du CYP3A : Il est prévu que l’administration concomitante d’inhibiteur CYP3A, y compris de
produits contenant du cobicistat, augmente le risque d’effets secondaires systémique. L’association doit
être évitée, sauf si les bénéfices sont supérieurs au risque accru d’effets secondaires systémiques des
corticostéroïdes; dans ce cas, les patients doivent être surveillés en vue de détecter les éventuels effets
secondaires systémiques des corticostéroïdes.
Antiacides à base d’aluminium et de magnésium : diminution de l’absorption des glucocorticoïdes.
Cependant, en raison du mécanisme d’action retardé de Lodotra, une interaction entre la prednisone et les
antiacides à base d’aluminium/magnésium est peu probable.
Influence sur les méthodes de diagnostic : suppression possible des réactions cutanées provoquées par
les tests d’allergie. L’augmentation des taux de TSH consécutive à l’administration de protiréline peut être
réduite.
4.6. Fertilité, grossesse et allaitement
Grossesse
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Lodotra ne doit être utilisé chez la femme enceinte que si les bénéfices l’emportent sur les risques éventuels. Il
convient d’utiliser la dose efficace la plus faible de Lodotra nécessaire pour maintenir un contrôle adéquat de la
maladie.
Les études chez l’animal indiquent que l’administration de doses pharmacologiques de glucocorticoïdes
pendant la grossesse peut augmenter le risque de retard de croissance intra-utérine, de maladie
cardiovasculaire et/ou métabolique à l’âge adulte et peut avoir un effet sur la densité des récepteurs des
glucocorticoïdes et sur le renouvellement des neurotransmetteurs ou le développement neuro-comportemental.
La prednisone a provoqué la formation de fentes palatines au cours d’expérimentations animales (voir rubrique
5.3). La possibili d’un risque accru de fentes buccales chez le fœtus humain, suite à l’administration de
glucocorticoïdes pendant le premier trimestre de la grossesse, fait l’objet de discussions.
Si les glucocorticoïdes sont administrés plutôt en fin de grossesse, il existe un risque d’atrophie du cortex
surrénalien du fœtus, pouvant nécessiter un traitement substitutif chez le nouveau-né. Ce traitement devra
ensuite être diminué lentement.
Allaitement
Les glucocorticoïdes sont excrétés en petites quantités dans le lait maternel (jusqu'à 0,23 % d'une dose
donnée). Pour les doses allant jusqu’à 10 mg/jour, la quantité ingérée par l'intermédiaire du lait maternel est
inférieure au seuil de détection. Aucun effet délétère pour les nourrissons n'a été rapporté à ce jour.
Néanmoins, les glucocorticoïdes ne doivent être prescrits que si les bénéfices pour la mère l’emportent sur les
risques pour l’enfant.
Le rapport des concentrations lait/plasma augmente avec les doses supérieures à 10 mg/jour (p. ex. on
retrouve 25 % de la concentration sérique dans le lait maternel avec 80 mg de prednisone/jour). Il est donc
recommandé d’interrompre l’allaitement dans ces cas.
4.7. Effets sur l'aptitude à conduire des véhicules et à utiliser des machines
Les effets sur l’aptitude à conduire des véhicules et à utiliser des machines n’ont pas été étudiés.
4.8. Effets indésirables
La fréquence et la gravité des effets indésirables énumérés ci-dessous dépendent de la posologie et de la
durée du traitement. Dans l’intervalle des doses recommandées pour Lodotra (corticothérapie à faible dose
avec des doses quotidiennes comprises entre 1 et 10 mg), les effets indésirables énumérés surviennent moins
fréquemment et sont moins graves qu’avec des doses supérieures à 10 mg.
Les effets indésirables suivants peuvent se produire en fonction de la durée du traitement et de la posologie.
Très fréquent (≥ 1/10) ; fréquent (≥ 1/100, < 1/10) ; peu fréquent (≥ 1/1 000, < 1/100) ; rare (≥ 1/10 000,
< 1/1 000) ; très rare (< 1/10 000) ; fréquence indéterminée (ne peut être estimée sur la base des données
disponibles).
Affections hématologiques et du système lymphatique:
Fréquent: Leucocytose modérée, lymphopénie, éosinopénie, polycythémie
Affections cardiaques :
Fréquence indéterminée : Tachycardie
Affections du système immunitaire:
Fréquent: Diminution des défenses immunitaires, masquage des infections, aggravation des infections latentes
Rare: Réactions allergiques
Infections et infestations
Fréquent : Augmentation de la sensibilité aux infections et de leur gravité
Affections endocriniennes:
Fréquent: Suppression surrénalienne et syndrome de Cushing iatrogène (symptômes typiques : visage lunaire,
obésité tronculaire et pléthore)
Rare: Troubles de la sécrétion des hormones sexuelles (aménorrhée, impuissance), troubles thyroïdiens
Troubles du métabolisme et de la nutrition :
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