L’investissement Smart Beta et la stratégie Best Styles d’AllianzGI : 220 140% L’approche d’investissement Best Styles La stratégie Best Styles d’AllianzGI constitue une solution d’investissement active en actions fondée sur la recherche de smart betas (ou de primes de risque liées aux styles d’investissement) dans le cadre d’une approche rigoureuse et systématique. Le graphique page suivante synthétise notre approche. Novembre 2014 190 Performance MSCI World Les indices Smart Beta qui se développent actuellement pourraient ne constituer qu’un phénomène temporaire, du fait de leurs défauts. Cependant, les approches d’investissement visant à Les primes de risque liées aux styles d’investissement peuvent être source de surperformance Performance relative de la stratégie Best Styles Global par rapport aux indices MSCI de primes de risque après imputation des coûts bénéficier des primes de risque actions ont un bel avenir devant elles et devraient progressivement être considérées comme une solution viable de génération de surperformance basée sur la gestion des risques. 160 120% 130 100 100% Relative performance vs MSCI World Dans le cadre d’une solution de portefeuille intégrée, une diversification suffisante sur différentes primes de risque peut être obtenue en structurant l’exposition aux différentes primes de risque dans un objectif de diversification. Cette approche permet de limiter efficacement les expositions aux facteurs de risque non souhaités, notamment la sensibilité aux facteurs macroéconomiques ou à l’évolution des taux d’intérêt. Les approches Smart Beta de l’investissement en actions gagnent progressivement la faveur des investisseurs institutionnels. Selon les fournisseurs d’indices smart beta, tels que les indices RAFI1 pondérés selon des données fondamentales ou la série d’indices MSCI Minimum Volatility, les investisseurs peuvent bénéficier d’une performance accrue en délaissant les indices traditionnels pondérés par capitalisation de marché et en optant pour des formules de pondération alternative. 70 Processus d’investissement Best Styles Analyse des styles d’investissement afin de bénéficier de leurs primes de risque 40 MSCI WORLD Dec-03 Dec-04 Mise en œuvre Best Execution 80% Dec-05 Dec-06 Dec-07 Dec-08 Dec-09 Dec-10 Dec-11 Dec-12 Dec-13 MSCI WORLD WORLD HIGH DIVIDEND WORLD MINIMUM VOLATILITY WORLD QUALITY WORLD SMALL CAP WORLD VALUE WEIGHTED WORLD GROWTH MSCI QUALITY MIX WORLD MOMENTUM (MSCI VALUE WEIGHTED, MIN.VOL., QUALITY) Construction de portefeuille intégrant un mix diversifié de styles d’investissement Portefeuille Best Styles Source: Allianz Global Investors, juillet 2014 Plateforme de recherche mondiale afin de générer de l’alpha via la sélection de titres au sein des styles d’investissement Source : Allianz Global Investors, novembre 2014 La stratégie cherche tout d’abord à capturer les primes de risque liées aux styles d’investissement, telles que « value » ou « momentum ». En outre, elle vise à générer un alpha supplémentaire au niveau des styles d’investissement grâce à notre recherche interne sur les entreprises. La surperformance peut être générée de deux manières, via le bêta (fondé sur le risque) et via l’alpha (fondé sur le savoir-faire du gérant), et la stratégie Best Styles vise à capitaliser sur ceux deux approches. Ces deux composantes sont associées au sein d’un processus discipliné de construction de portefeuille qui s’appuie sur un mix diversifié de styles d’investissement. Ainsi, la stratégie bénéficie non seulement des primes de risque liées aux styles d’investissement mais offre également une diversification adaptée au sein même des styles d’investissement. Comme le montre le graphique suivant, il s’agit là du principal facteur qui différencie la stratégie Best Styles d’un simple mix d’indices Smart Beta. Le graphique démontre la stabilité de la stratégie, en particulier durant la crise financière de 2008/2009, par rapport à un simple mix d’indices Smart Beta. Individuellement, les indices MSCI de primes de risque affichent une performance irrégulière par rapport à celle de la stratégie Best Styles Global, qui génère une performance régulière depuis sa création en 2005, même durant la crise financière. Chez Allianz Global Investors, nous reconnaissons le rôle essentiel des primes de risque dans la génération de surperformance. Comme le montre notre historique de performances éprouvé, et grâce à plus de dix années d’analyse des styles d’investissement, nous sommes convaincus qu’un couple rendement / risque stable et attrayant peut être généré en combinant ces styles dans le cadre d’une approche maîtrisée du risque. Tout investissement comporte des risques. La valeur et le revenu d’un investissement peuvent diminuer aussi bien qu’augmenter et l’investisseur n’est dès lors pas assuré de récupérer le capital investi. Les avis et opinions exprimés dans la présente communication reflètent le jugement de la société de gestion à la date de publication et sont susceptibles d’être modifiés à tout moment et sans préavis. Certaines des données fournies dans le présent document proviennent de diverses sources et sont réputées correctes et fiables, mais elles n’ont pas été vérifiées de manière indépendante. L’exactitude ou l’exhaustivité de ces données/informations ne sont pas garanties et toute responsabilité en cas de perte directe ou indirecte découlant de leur utilisation est déclinée, sauf en cas de négligence grave ou de faute professionnelle délibérée. Les conditions de toute offre ou contrat sous-jacent, passé, présent ou à venir, sont celles qui prévalent. Ceci est une communication publicitaire éditée par Allianz Global Investors Europe GmbH, www.allianzgi.com, une société à responsabilité limitée enregistrée en Allemagne, dont le siège social se situe Bockenheimer Landstrasse 42-44, 60323 Francfort/M, enregistrée au tribunal local de Francfort/M sous le numéro HRB 9340 et agréée par la Bundesanstalt für Finanzdienstleistungsaufsicht (www.bafin.de). Allianz Global Investors Europe GmbH a constitué une succursale en France, Allianz Global Investors Europe, Succursale Française, www.allianzgi.fr, partiellement soumise à la réglementation de l’Autorité des Marchés Financiers (www.amf-france.org). La reproduction, publication ou transmission du contenu, sous quelle que forme que ce soit, est interdite. En effet, à ce jour, la plupart de ces nouveaux indices affichent une performance très robuste. Cependant, il est essentiel de bien comprendre les facteurs qui sous-tendent la surperformance de ces indices de pondération alternative. Ils ne sont pas guidés par une quelconque innovation, mais reposent sur leur exposition à des facteurs de risque bien connus, tels que « value », momentum ou faible volatilité. Par conséquent, ces nouveaux indices de pondération constituent uniquement une nouvelle manière de capturer les primes de risque associées à ces facteurs de risque. La stratégie qui consiste à capturer des primes de risque reste une approche relativement nouvelle de la gestion actions. Or, au sein d’autres classes d’actifs telles que les obligations ou les devises, la recherche de primes 1 Research Affiliates Fundamental Indexation de risque constitue une stratégie d’investissement communément utilisée par les investisseurs. Par exemple, les investisseurs obligataires peuvent allonger la duration de leurs portefeuilles afin de bénéficier de la prime de terme offerte sur ces marchés, ou encore construire une exposition aux obligations d’entreprises ou aux titres high yield pour capturer la prime de crédit. Sur les marchés des changes, les investisseurs peuvent exploiter la prime de portage associée à ces marchés en initiant une position acheteuse sur des devises à haut rendement, tout en prenant une position vendeuse sur des devises à faible rendement. Dans tous ces exemples, les investisseurs prennent des risques accrus en contrepartie d’une rémunération sous la forme de rendements supérieurs. Le graphique suivant illustre les primes les plus courantes par classe d’actifs : La recherche de primes de risque constitue une stratégie d’investissement commune au sein de nombreuses classes d’actifs Stratégies exploitant les primes de risques Stratégies Actions Stratégies sur devises Stratégie « value » Stratégie de portage Prime de terme Arbitrage de fusions Stratégie « momentum » Stratégie « value » Prime de crédit Arbitrage de convertibles Stratégie à faible volatilité Stratégie « momentum » Prime High Yield Arbitrage de volatilité ... Stratégies de taux Stratégies d‘arbitrage ... ... ... Source : Allianz Global Investors, novembre 2014 Sur les marchés d’actions, les primes de risque incluent la prime de « value », la prime de momentum, la prime liée aux petites capitalisations ou encore la prime de faible volatilité. Par exemple, les « value stocks », telles que celles qui affichent un faible ratio prix/valeur comptable, sont généralement des actions d’entreprises moins rentables, plus endettées et plus cycliques. L’existence de ces différentes primes est largement étudiée dans le cadre de la recherche universitaire. Le graphique ci-dessous montre l’évolution des sources de performance au sein d’un portefeuille actions au cours des trente dernières années. Dans les années 1980, à l’époque où le modèle d’évaluation des actifs financiers ou Capital Asset Pricing Model (CAPM) battait son plein, la performance active d’un gérant (c’est-à-dire la performance relative du gérant par rapport à l’indice de référence) était décomposée en deux, d’une part le bêta du portefeuille (associé à l’effet de marché) et d’autre part l’alpha du portefeuille (associé au talent du gérant). capitalisations du gérant. Eugene Fama a reçu le Prix Nobel de sciences économiques l’année dernière pour avoir découvert que le marché d’actions était en réalité composé de plusieurs sous-segments, tels que les « value stocks » ou les petites capitalisations, qui peuvent intégrer leurs propres primes de risque au-delà de la seule prime associée à l’ensemble du marché en lui-même. Ce constat s’apparente à l’observation du marché obligataire où les spreads de crédit représentent une prime de risque supplémentaire qui vient s’ajouter à la prime de risque associée aux emprunts d’État. Les primes de risque actions : le véritable ADN de la performance des actions Dix ans plus tard, le concept des primes de risque sur les marchés d’actions a été affiné et étendu à d’autres styles d’investissement, tels que les styles momentum et « growth ». Les primes de risque actions constituent le fondement des performances d’un portefeuille actions dynamique. Par conséquent, ces primes de risque ne devraient plus être perçues comme une simple résultante de la stratégie de gestion mais se trouver au cœur de tout processus d’investissement. En tant que défenseurs de cette approche, nous sommes convaincus que l’investissement Smart Beta constitue un point de départ simple et pertinent. Cependant, nous pensons que la plupart des indices smart beta sont davantage conçus dans un souci de simplicité que pour faciliter l’exposition aux primes de risque. Il est clairement établi que les primes de risque associées aux styles d’investissement constituent les véritables moteurs de la performance active des actions. Cela ne veut pas pour autant dire que les opportunités de surperformance ont disparu au cours des trente dernières années. Il ressort simplement de ces décennies de recherche que le rôle de l’alpha pur n’est pas aussi important que l’on pouvait le penser, et qu’une partie significative de la performance provient de la plus-value offerte par les styles d’investissement. Par exemple, contrairement aux indices traditionnels, les indices fondamentaux RAFI pondèrent chaque action en fonction des fondamentaux de l’entreprise (notamment les bénéfices ou les valeurs comptables), et non en fonction de sa capitalisation de marché. En conséquence, les actions d’entreprises dont les bénéfices ou la valeur comptable sont importants par rapport à leur capitalisation de marché se retrouvent surpondérées dans les indices de pondération fondamentale par rapport aux indices de capitalisation de marché. Cela induit un biais « value » et implique que les indices fondamentaux RAFI ne sont ni plus ni moins des indices « value » déguisés. Une autre critique portée à l’encontre des stratégies « value » est qu’elles tendent à surpondérer les entreprises en difficultés financières. De nombreuses études montrent que la prime « value » peut être captée de manière plus efficace en évitant les actions bon marché des entreprises en difficulté. Les indices de volatilité constituent un autre exemple, notamment la série d’indices MSCI Minimum Volatility Index. Ces indices ciblent uniquement la prime de faible volatilité sans permettre une gestion de l’exposition à d’autres primes de risque (primes de « value » ou de momentum). Dès lors, il est possible que ces indices de faible volatilité se retrouvent en décalage avec la prime « value » ou de momentum et voient de ce fait leur performance pénalisée. Diversification des primes de risque Le simple fait d’acheter une série d’indices Smart Beta ne permet généralement pas d’obtenir une diversification suffisante des primes de risque. Plusieurs facteurs de risque, tels que le « value » ou le momentum, se sont avérés particulièrement concluants sur le long terme. Or, ces facteurs ont également subi d’importantes baisses à court terme. Par exemple, les investisseurs de type Par la suite, dans les années 1990, Eugene Fama et Kenneth French ont été au-delà du CAPM et ont introduit deux facteurs supplémentaires de bêta, liés à la « value » et à l’exposition aux petites « value » ont essuyé une forte correction durant la phase de constitution de la bulle TMT (technologie, médias et télécoms) ou lorsque la crise financière s’est déclarée en 2007. De la même manière, les investisseurs de type « momentum » ont subi d’importantes pertes suite à l’éclatement de la bulle TMT ou durant la période de rebond du marché en 2009. Comme le montre le graphique ci-dessous, un mix diversifié de ces deux styles d’investissement aurait permis de capturer l’ensemble des primes de risque associées avec nettement plus de stabilité qu’en étant investi sur des styles individuels. Ce graphique montre que, dans la recherche des primes de risque, une diversification sur plusieurs facteurs de risque est essentielle pour espérer générer une surperformance régulière. Les indices de Smart Beta sont conçus comme des produits isolés et ne sont pas construits dans l’optique de se combiner avec d’autres indices Smart Beta en vue de capturer plusieurs primes de risque dans le cadre d’une approche diversifiée. Les indices Smart Beta intègrent généralement un degré d’exposition variable à des facteurs de risque spécifiques ainsi qu’à des risques non ciblés et non gérés. Cela rend les corrélations entre les indices Smart Beta relativement instables et ne permet pas, par conséquent, d’obtenir une diversification efficace. Performance relative des styles d’investissement au sein d’un univers mondial 120% 100% 1980s1990s2000s 80% Alpha Alpha Alpha Active Returns Momentum Beta Value Beta === Small Cap Beta Excess Market Beta Source : MSCI et Allianz Global Investors, novembre 2014 Value Beta Excess Market Beta 60% Small Cap Beta Revisions Beta Growth Beta Quality Beta Excess Market Beta Smart Betas 40% 20% 899193959799010305070911 0% —— Value —— Momentum Source : Allianz Global Investors, décembre 2013 —— Diversified Style Mix Le graphique suivant illustre les primes les plus courantes par classe d’actifs : La recherche de primes de risque constitue une stratégie d’investissement commune au sein de nombreuses classes d’actifs Stratégies exploitant les primes de risques Stratégies Actions Stratégies sur devises Stratégie « value » Stratégie de portage Prime de terme Arbitrage de fusions Stratégie « momentum » Stratégie « value » Prime de crédit Arbitrage de convertibles Stratégie à faible volatilité Stratégie « momentum » Prime High Yield Arbitrage de volatilité ... Stratégies de taux Stratégies d‘arbitrage ... ... ... Source : Allianz Global Investors, novembre 2014 Sur les marchés d’actions, les primes de risque incluent la prime de « value », la prime de momentum, la prime liée aux petites capitalisations ou encore la prime de faible volatilité. Par exemple, les « value stocks », telles que celles qui affichent un faible ratio prix/valeur comptable, sont généralement des actions d’entreprises moins rentables, plus endettées et plus cycliques. L’existence de ces différentes primes est largement étudiée dans le cadre de la recherche universitaire. Le graphique ci-dessous montre l’évolution des sources de performance au sein d’un portefeuille actions au cours des trente dernières années. Dans les années 1980, à l’époque où le modèle d’évaluation des actifs financiers ou Capital Asset Pricing Model (CAPM) battait son plein, la performance active d’un gérant (c’est-à-dire la performance relative du gérant par rapport à l’indice de référence) était décomposée en deux, d’une part le bêta du portefeuille (associé à l’effet de marché) et d’autre part l’alpha du portefeuille (associé au talent du gérant). capitalisations du gérant. Eugene Fama a reçu le Prix Nobel de sciences économiques l’année dernière pour avoir découvert que le marché d’actions était en réalité composé de plusieurs sous-segments, tels que les « value stocks » ou les petites capitalisations, qui peuvent intégrer leurs propres primes de risque au-delà de la seule prime associée à l’ensemble du marché en lui-même. Ce constat s’apparente à l’observation du marché obligataire où les spreads de crédit représentent une prime de risque supplémentaire qui vient s’ajouter à la prime de risque associée aux emprunts d’État. Les primes de risque actions : le véritable ADN de la performance des actions Dix ans plus tard, le concept des primes de risque sur les marchés d’actions a été affiné et étendu à d’autres styles d’investissement, tels que les styles momentum et « growth ». Les primes de risque actions constituent le fondement des performances d’un portefeuille actions dynamique. Par conséquent, ces primes de risque ne devraient plus être perçues comme une simple résultante de la stratégie de gestion mais se trouver au cœur de tout processus d’investissement. En tant que défenseurs de cette approche, nous sommes convaincus que l’investissement Smart Beta constitue un point de départ simple et pertinent. Cependant, nous pensons que la plupart des indices smart beta sont davantage conçus dans un souci de simplicité que pour faciliter l’exposition aux primes de risque. Il est clairement établi que les primes de risque associées aux styles d’investissement constituent les véritables moteurs de la performance active des actions. Cela ne veut pas pour autant dire que les opportunités de surperformance ont disparu au cours des trente dernières années. Il ressort simplement de ces décennies de recherche que le rôle de l’alpha pur n’est pas aussi important que l’on pouvait le penser, et qu’une partie significative de la performance provient de la plus-value offerte par les styles d’investissement. Par exemple, contrairement aux indices traditionnels, les indices fondamentaux RAFI pondèrent chaque action en fonction des fondamentaux de l’entreprise (notamment les bénéfices ou les valeurs comptables), et non en fonction de sa capitalisation de marché. En conséquence, les actions d’entreprises dont les bénéfices ou la valeur comptable sont importants par rapport à leur capitalisation de marché se retrouvent surpondérées dans les indices de pondération fondamentale par rapport aux indices de capitalisation de marché. Cela induit un biais « value » et implique que les indices fondamentaux RAFI ne sont ni plus ni moins des indices « value » déguisés. Une autre critique portée à l’encontre des stratégies « value » est qu’elles tendent à surpondérer les entreprises en difficultés financières. De nombreuses études montrent que la prime « value » peut être captée de manière plus efficace en évitant les actions bon marché des entreprises en difficulté. Les indices de volatilité constituent un autre exemple, notamment la série d’indices MSCI Minimum Volatility Index. Ces indices ciblent uniquement la prime de faible volatilité sans permettre une gestion de l’exposition à d’autres primes de risque (primes de « value » ou de momentum). Dès lors, il est possible que ces indices de faible volatilité se retrouvent en décalage avec la prime « value » ou de momentum et voient de ce fait leur performance pénalisée. Diversification des primes de risque Le simple fait d’acheter une série d’indices Smart Beta ne permet généralement pas d’obtenir une diversification suffisante des primes de risque. Plusieurs facteurs de risque, tels que le « value » ou le momentum, se sont avérés particulièrement concluants sur le long terme. Or, ces facteurs ont également subi d’importantes baisses à court terme. Par exemple, les investisseurs de type Par la suite, dans les années 1990, Eugene Fama et Kenneth French ont été au-delà du CAPM et ont introduit deux facteurs supplémentaires de bêta, liés à la « value » et à l’exposition aux petites « value » ont essuyé une forte correction durant la phase de constitution de la bulle TMT (technologie, médias et télécoms) ou lorsque la crise financière s’est déclarée en 2007. De la même manière, les investisseurs de type « momentum » ont subi d’importantes pertes suite à l’éclatement de la bulle TMT ou durant la période de rebond du marché en 2009. Comme le montre le graphique ci-dessous, un mix diversifié de ces deux styles d’investissement aurait permis de capturer l’ensemble des primes de risque associées avec nettement plus de stabilité qu’en étant investi sur des styles individuels. Ce graphique montre que, dans la recherche des primes de risque, une diversification sur plusieurs facteurs de risque est essentielle pour espérer générer une surperformance régulière. Les indices de Smart Beta sont conçus comme des produits isolés et ne sont pas construits dans l’optique de se combiner avec d’autres indices Smart Beta en vue de capturer plusieurs primes de risque dans le cadre d’une approche diversifiée. Les indices Smart Beta intègrent généralement un degré d’exposition variable à des facteurs de risque spécifiques ainsi qu’à des risques non ciblés et non gérés. Cela rend les corrélations entre les indices Smart Beta relativement instables et ne permet pas, par conséquent, d’obtenir une diversification efficace. Performance relative des styles d’investissement au sein d’un univers mondial 120% 100% 1980s1990s2000s 80% Alpha Alpha Alpha Active Returns Momentum Beta Value Beta === Small Cap Beta Excess Market Beta Source : MSCI et Allianz Global Investors, novembre 2014 Value Beta Excess Market Beta 60% Small Cap Beta Revisions Beta Growth Beta Quality Beta Excess Market Beta Smart Betas 40% 20% 899193959799010305070911 0% —— Value —— Momentum Source : Allianz Global Investors, décembre 2013 —— Diversified Style Mix Le graphique suivant illustre les primes les plus courantes par classe d’actifs : La recherche de primes de risque constitue une stratégie d’investissement commune au sein de nombreuses classes d’actifs Stratégies exploitant les primes de risques Stratégies Actions Stratégies sur devises Stratégie « value » Stratégie de portage Prime de terme Arbitrage de fusions Stratégie « momentum » Stratégie « value » Prime de crédit Arbitrage de convertibles Stratégie à faible volatilité Stratégie « momentum » Prime High Yield Arbitrage de volatilité ... Stratégies de taux Stratégies d‘arbitrage ... ... ... Source : Allianz Global Investors, novembre 2014 Sur les marchés d’actions, les primes de risque incluent la prime de « value », la prime de momentum, la prime liée aux petites capitalisations ou encore la prime de faible volatilité. Par exemple, les « value stocks », telles que celles qui affichent un faible ratio prix/valeur comptable, sont généralement des actions d’entreprises moins rentables, plus endettées et plus cycliques. L’existence de ces différentes primes est largement étudiée dans le cadre de la recherche universitaire. Le graphique ci-dessous montre l’évolution des sources de performance au sein d’un portefeuille actions au cours des trente dernières années. Dans les années 1980, à l’époque où le modèle d’évaluation des actifs financiers ou Capital Asset Pricing Model (CAPM) battait son plein, la performance active d’un gérant (c’est-à-dire la performance relative du gérant par rapport à l’indice de référence) était décomposée en deux, d’une part le bêta du portefeuille (associé à l’effet de marché) et d’autre part l’alpha du portefeuille (associé au talent du gérant). capitalisations du gérant. Eugene Fama a reçu le Prix Nobel de sciences économiques l’année dernière pour avoir découvert que le marché d’actions était en réalité composé de plusieurs sous-segments, tels que les « value stocks » ou les petites capitalisations, qui peuvent intégrer leurs propres primes de risque au-delà de la seule prime associée à l’ensemble du marché en lui-même. Ce constat s’apparente à l’observation du marché obligataire où les spreads de crédit représentent une prime de risque supplémentaire qui vient s’ajouter à la prime de risque associée aux emprunts d’État. Les primes de risque actions : le véritable ADN de la performance des actions Dix ans plus tard, le concept des primes de risque sur les marchés d’actions a été affiné et étendu à d’autres styles d’investissement, tels que les styles momentum et « growth ». Les primes de risque actions constituent le fondement des performances d’un portefeuille actions dynamique. Par conséquent, ces primes de risque ne devraient plus être perçues comme une simple résultante de la stratégie de gestion mais se trouver au cœur de tout processus d’investissement. En tant que défenseurs de cette approche, nous sommes convaincus que l’investissement Smart Beta constitue un point de départ simple et pertinent. Cependant, nous pensons que la plupart des indices smart beta sont davantage conçus dans un souci de simplicité que pour faciliter l’exposition aux primes de risque. Il est clairement établi que les primes de risque associées aux styles d’investissement constituent les véritables moteurs de la performance active des actions. Cela ne veut pas pour autant dire que les opportunités de surperformance ont disparu au cours des trente dernières années. Il ressort simplement de ces décennies de recherche que le rôle de l’alpha pur n’est pas aussi important que l’on pouvait le penser, et qu’une partie significative de la performance provient de la plus-value offerte par les styles d’investissement. Par exemple, contrairement aux indices traditionnels, les indices fondamentaux RAFI pondèrent chaque action en fonction des fondamentaux de l’entreprise (notamment les bénéfices ou les valeurs comptables), et non en fonction de sa capitalisation de marché. En conséquence, les actions d’entreprises dont les bénéfices ou la valeur comptable sont importants par rapport à leur capitalisation de marché se retrouvent surpondérées dans les indices de pondération fondamentale par rapport aux indices de capitalisation de marché. Cela induit un biais « value » et implique que les indices fondamentaux RAFI ne sont ni plus ni moins des indices « value » déguisés. Une autre critique portée à l’encontre des stratégies « value » est qu’elles tendent à surpondérer les entreprises en difficultés financières. De nombreuses études montrent que la prime « value » peut être captée de manière plus efficace en évitant les actions bon marché des entreprises en difficulté. Les indices de volatilité constituent un autre exemple, notamment la série d’indices MSCI Minimum Volatility Index. Ces indices ciblent uniquement la prime de faible volatilité sans permettre une gestion de l’exposition à d’autres primes de risque (primes de « value » ou de momentum). Dès lors, il est possible que ces indices de faible volatilité se retrouvent en décalage avec la prime « value » ou de momentum et voient de ce fait leur performance pénalisée. Diversification des primes de risque Le simple fait d’acheter une série d’indices Smart Beta ne permet généralement pas d’obtenir une diversification suffisante des primes de risque. Plusieurs facteurs de risque, tels que le « value » ou le momentum, se sont avérés particulièrement concluants sur le long terme. Or, ces facteurs ont également subi d’importantes baisses à court terme. Par exemple, les investisseurs de type Par la suite, dans les années 1990, Eugene Fama et Kenneth French ont été au-delà du CAPM et ont introduit deux facteurs supplémentaires de bêta, liés à la « value » et à l’exposition aux petites « value » ont essuyé une forte correction durant la phase de constitution de la bulle TMT (technologie, médias et télécoms) ou lorsque la crise financière s’est déclarée en 2007. De la même manière, les investisseurs de type « momentum » ont subi d’importantes pertes suite à l’éclatement de la bulle TMT ou durant la période de rebond du marché en 2009. Comme le montre le graphique ci-dessous, un mix diversifié de ces deux styles d’investissement aurait permis de capturer l’ensemble des primes de risque associées avec nettement plus de stabilité qu’en étant investi sur des styles individuels. Ce graphique montre que, dans la recherche des primes de risque, une diversification sur plusieurs facteurs de risque est essentielle pour espérer générer une surperformance régulière. Les indices de Smart Beta sont conçus comme des produits isolés et ne sont pas construits dans l’optique de se combiner avec d’autres indices Smart Beta en vue de capturer plusieurs primes de risque dans le cadre d’une approche diversifiée. Les indices Smart Beta intègrent généralement un degré d’exposition variable à des facteurs de risque spécifiques ainsi qu’à des risques non ciblés et non gérés. Cela rend les corrélations entre les indices Smart Beta relativement instables et ne permet pas, par conséquent, d’obtenir une diversification efficace. Performance relative des styles d’investissement au sein d’un univers mondial 120% 100% 1980s1990s2000s 80% Alpha Alpha Alpha Active Returns Momentum Beta Value Beta === Small Cap Beta Excess Market Beta Source : MSCI et Allianz Global Investors, novembre 2014 Value Beta Excess Market Beta 60% Small Cap Beta Revisions Beta Growth Beta Quality Beta Excess Market Beta Smart Betas 40% 20% 899193959799010305070911 0% —— Value —— Momentum Source : Allianz Global Investors, décembre 2013 —— Diversified Style Mix L’investissement Smart Beta et la stratégie Best Styles d’AllianzGI : 220 140% L’approche d’investissement Best Styles La stratégie Best Styles d’AllianzGI constitue une solution d’investissement active en actions fondée sur la recherche de smart betas (ou de primes de risque liées aux styles d’investissement) dans le cadre d’une approche rigoureuse et systématique. Le graphique page suivante synthétise notre approche. Novembre 2014 190 Performance MSCI World Les indices Smart Beta qui se développent actuellement pourraient ne constituer qu’un phénomène temporaire, du fait de leurs défauts. Cependant, les approches d’investissement visant à Les primes de risque liées aux styles d’investissement peuvent être source de surperformance Performance relative de la stratégie Best Styles Global par rapport aux indices MSCI de primes de risque après imputation des coûts bénéficier des primes de risque actions ont un bel avenir devant elles et devraient progressivement être considérées comme une solution viable de génération de surperformance basée sur la gestion des risques. 160 120% 130 100 100% Relative performance vs MSCI World Dans le cadre d’une solution de portefeuille intégrée, une diversification suffisante sur différentes primes de risque peut être obtenue en structurant l’exposition aux différentes primes de risque dans un objectif de diversification. Cette approche permet de limiter efficacement les expositions aux facteurs de risque non souhaités, notamment la sensibilité aux facteurs macroéconomiques ou à l’évolution des taux d’intérêt. Les approches Smart Beta de l’investissement en actions gagnent progressivement la faveur des investisseurs institutionnels. Selon les fournisseurs d’indices smart beta, tels que les indices RAFI1 pondérés selon des données fondamentales ou la série d’indices MSCI Minimum Volatility, les investisseurs peuvent bénéficier d’une performance accrue en délaissant les indices traditionnels pondérés par capitalisation de marché et en optant pour des formules de pondération alternative. 70 Processus d’investissement Best Styles Analyse des styles d’investissement afin de bénéficier de leurs primes de risque 40 MSCI WORLD Dec-03 Dec-04 Mise en œuvre Best Execution 80% Dec-05 Dec-06 Dec-07 Dec-08 Dec-09 Dec-10 Dec-11 Dec-12 Dec-13 MSCI WORLD WORLD HIGH DIVIDEND WORLD MINIMUM VOLATILITY WORLD QUALITY WORLD SMALL CAP WORLD VALUE WEIGHTED WORLD GROWTH MSCI QUALITY MIX WORLD MOMENTUM (MSCI VALUE WEIGHTED, MIN.VOL., QUALITY) Construction de portefeuille intégrant un mix diversifié de styles d’investissement Portefeuille Best Styles Source: Allianz Global Investors, juillet 2014 Plateforme de recherche mondiale afin de générer de l’alpha via la sélection de titres au sein des styles d’investissement Source : Allianz Global Investors, novembre 2014 La stratégie cherche tout d’abord à capturer les primes de risque liées aux styles d’investissement, telles que « value » ou « momentum ». En outre, elle vise à générer un alpha supplémentaire au niveau des styles d’investissement grâce à notre recherche interne sur les entreprises. La surperformance peut être générée de deux manières, via le bêta (fondé sur le risque) et via l’alpha (fondé sur le savoir-faire du gérant), et la stratégie Best Styles vise à capitaliser sur ceux deux approches. Ces deux composantes sont associées au sein d’un processus discipliné de construction de portefeuille qui s’appuie sur un mix diversifié de styles d’investissement. Ainsi, la stratégie bénéficie non seulement des primes de risque liées aux styles d’investissement mais offre également une diversification adaptée au sein même des styles d’investissement. Comme le montre le graphique suivant, il s’agit là du principal facteur qui différencie la stratégie Best Styles d’un simple mix d’indices Smart Beta. Le graphique démontre la stabilité de la stratégie, en particulier durant la crise financière de 2008/2009, par rapport à un simple mix d’indices Smart Beta. Individuellement, les indices MSCI de primes de risque affichent une performance irrégulière par rapport à celle de la stratégie Best Styles Global, qui génère une performance régulière depuis sa création en 2005, même durant la crise financière. Chez Allianz Global Investors, nous reconnaissons le rôle essentiel des primes de risque dans la génération de surperformance. Comme le montre notre historique de performances éprouvé, et grâce à plus de dix années d’analyse des styles d’investissement, nous sommes convaincus qu’un couple rendement / risque stable et attrayant peut être généré en combinant ces styles dans le cadre d’une approche maîtrisée du risque. Tout investissement comporte des risques. La valeur et le revenu d’un investissement peuvent diminuer aussi bien qu’augmenter et l’investisseur n’est dès lors pas assuré de récupérer le capital investi. Les avis et opinions exprimés dans la présente communication reflètent le jugement de la société de gestion à la date de publication et sont susceptibles d’être modifiés à tout moment et sans préavis. Certaines des données fournies dans le présent document proviennent de diverses sources et sont réputées correctes et fiables, mais elles n’ont pas été vérifiées de manière indépendante. L’exactitude ou l’exhaustivité de ces données/informations ne sont pas garanties et toute responsabilité en cas de perte directe ou indirecte découlant de leur utilisation est déclinée, sauf en cas de négligence grave ou de faute professionnelle délibérée. Les conditions de toute offre ou contrat sous-jacent, passé, présent ou à venir, sont celles qui prévalent. Ceci est une communication publicitaire éditée par Allianz Global Investors Europe GmbH, www.allianzgi.com, une société à responsabilité limitée enregistrée en Allemagne, dont le siège social se situe Bockenheimer Landstrasse 42-44, 60323 Francfort/M, enregistrée au tribunal local de Francfort/M sous le numéro HRB 9340 et agréée par la Bundesanstalt für Finanzdienstleistungsaufsicht (www.bafin.de). Allianz Global Investors Europe GmbH a constitué une succursale en France, Allianz Global Investors Europe, Succursale Française, www.allianzgi.fr, partiellement soumise à la réglementation de l’Autorité des Marchés Financiers (www.amf-france.org). La reproduction, publication ou transmission du contenu, sous quelle que forme que ce soit, est interdite. En effet, à ce jour, la plupart de ces nouveaux indices affichent une performance très robuste. Cependant, il est essentiel de bien comprendre les facteurs qui sous-tendent la surperformance de ces indices de pondération alternative. Ils ne sont pas guidés par une quelconque innovation, mais reposent sur leur exposition à des facteurs de risque bien connus, tels que « value », momentum ou faible volatilité. Par conséquent, ces nouveaux indices de pondération constituent uniquement une nouvelle manière de capturer les primes de risque associées à ces facteurs de risque. La stratégie qui consiste à capturer des primes de risque reste une approche relativement nouvelle de la gestion actions. Or, au sein d’autres classes d’actifs telles que les obligations ou les devises, la recherche de primes 1 Research Affiliates Fundamental Indexation de risque constitue une stratégie d’investissement communément utilisée par les investisseurs. Par exemple, les investisseurs obligataires peuvent allonger la duration de leurs portefeuilles afin de bénéficier de la prime de terme offerte sur ces marchés, ou encore construire une exposition aux obligations d’entreprises ou aux titres high yield pour capturer la prime de crédit. Sur les marchés des changes, les investisseurs peuvent exploiter la prime de portage associée à ces marchés en initiant une position acheteuse sur des devises à haut rendement, tout en prenant une position vendeuse sur des devises à faible rendement. Dans tous ces exemples, les investisseurs prennent des risques accrus en contrepartie d’une rémunération sous la forme de rendements supérieurs. L’investissement Smart Beta et la stratégie Best Styles d’AllianzGI : 220 140% L’approche d’investissement Best Styles La stratégie Best Styles d’AllianzGI constitue une solution d’investissement active en actions fondée sur la recherche de smart betas (ou de primes de risque liées aux styles d’investissement) dans le cadre d’une approche rigoureuse et systématique. Le graphique page suivante synthétise notre approche. Novembre 2014 190 Performance MSCI World Les indices Smart Beta qui se développent actuellement pourraient ne constituer qu’un phénomène temporaire, du fait de leurs défauts. Cependant, les approches d’investissement visant à Les primes de risque liées aux styles d’investissement peuvent être source de surperformance Performance relative de la stratégie Best Styles Global par rapport aux indices MSCI de primes de risque après imputation des coûts bénéficier des primes de risque actions ont un bel avenir devant elles et devraient progressivement être considérées comme une solution viable de génération de surperformance basée sur la gestion des risques. 160 120% 130 100 100% Relative performance vs MSCI World Dans le cadre d’une solution de portefeuille intégrée, une diversification suffisante sur différentes primes de risque peut être obtenue en structurant l’exposition aux différentes primes de risque dans un objectif de diversification. Cette approche permet de limiter efficacement les expositions aux facteurs de risque non souhaités, notamment la sensibilité aux facteurs macroéconomiques ou à l’évolution des taux d’intérêt. Les approches Smart Beta de l’investissement en actions gagnent progressivement la faveur des investisseurs institutionnels. Selon les fournisseurs d’indices smart beta, tels que les indices RAFI1 pondérés selon des données fondamentales ou la série d’indices MSCI Minimum Volatility, les investisseurs peuvent bénéficier d’une performance accrue en délaissant les indices traditionnels pondérés par capitalisation de marché et en optant pour des formules de pondération alternative. 70 Processus d’investissement Best Styles Analyse des styles d’investissement afin de bénéficier de leurs primes de risque 40 MSCI WORLD Dec-03 Dec-04 Mise en œuvre Best Execution 80% Dec-05 Dec-06 Dec-07 Dec-08 Dec-09 Dec-10 Dec-11 Dec-12 Dec-13 MSCI WORLD WORLD HIGH DIVIDEND WORLD MINIMUM VOLATILITY WORLD QUALITY WORLD SMALL CAP WORLD VALUE WEIGHTED WORLD GROWTH MSCI QUALITY MIX WORLD MOMENTUM (MSCI VALUE WEIGHTED, MIN.VOL., QUALITY) Construction de portefeuille intégrant un mix diversifié de styles d’investissement Portefeuille Best Styles Source: Allianz Global Investors, juillet 2014 Plateforme de recherche mondiale afin de générer de l’alpha via la sélection de titres au sein des styles d’investissement Source : Allianz Global Investors, novembre 2014 La stratégie cherche tout d’abord à capturer les primes de risque liées aux styles d’investissement, telles que « value » ou « momentum ». En outre, elle vise à générer un alpha supplémentaire au niveau des styles d’investissement grâce à notre recherche interne sur les entreprises. La surperformance peut être générée de deux manières, via le bêta (fondé sur le risque) et via l’alpha (fondé sur le savoir-faire du gérant), et la stratégie Best Styles vise à capitaliser sur ceux deux approches. Ces deux composantes sont associées au sein d’un processus discipliné de construction de portefeuille qui s’appuie sur un mix diversifié de styles d’investissement. Ainsi, la stratégie bénéficie non seulement des primes de risque liées aux styles d’investissement mais offre également une diversification adaptée au sein même des styles d’investissement. Comme le montre le graphique suivant, il s’agit là du principal facteur qui différencie la stratégie Best Styles d’un simple mix d’indices Smart Beta. Le graphique démontre la stabilité de la stratégie, en particulier durant la crise financière de 2008/2009, par rapport à un simple mix d’indices Smart Beta. Individuellement, les indices MSCI de primes de risque affichent une performance irrégulière par rapport à celle de la stratégie Best Styles Global, qui génère une performance régulière depuis sa création en 2005, même durant la crise financière. Chez Allianz Global Investors, nous reconnaissons le rôle essentiel des primes de risque dans la génération de surperformance. Comme le montre notre historique de performances éprouvé, et grâce à plus de dix années d’analyse des styles d’investissement, nous sommes convaincus qu’un couple rendement / risque stable et attrayant peut être généré en combinant ces styles dans le cadre d’une approche maîtrisée du risque. Tout investissement comporte des risques. La valeur et le revenu d’un investissement peuvent diminuer aussi bien qu’augmenter et l’investisseur n’est dès lors pas assuré de récupérer le capital investi. Les avis et opinions exprimés dans la présente communication reflètent le jugement de la société de gestion à la date de publication et sont susceptibles d’être modifiés à tout moment et sans préavis. Certaines des données fournies dans le présent document proviennent de diverses sources et sont réputées correctes et fiables, mais elles n’ont pas été vérifiées de manière indépendante. L’exactitude ou l’exhaustivité de ces données/informations ne sont pas garanties et toute responsabilité en cas de perte directe ou indirecte découlant de leur utilisation est déclinée, sauf en cas de négligence grave ou de faute professionnelle délibérée. Les conditions de toute offre ou contrat sous-jacent, passé, présent ou à venir, sont celles qui prévalent. Ceci est une communication publicitaire éditée par Allianz Global Investors Europe GmbH, www.allianzgi.com, une société à responsabilité limitée enregistrée en Allemagne, dont le siège social se situe Bockenheimer Landstrasse 42-44, 60323 Francfort/M, enregistrée au tribunal local de Francfort/M sous le numéro HRB 9340 et agréée par la Bundesanstalt für Finanzdienstleistungsaufsicht (www.bafin.de). Allianz Global Investors Europe GmbH a constitué une succursale en France, Allianz Global Investors Europe, Succursale Française, www.allianzgi.fr, partiellement soumise à la réglementation de l’Autorité des Marchés Financiers (www.amf-france.org). La reproduction, publication ou transmission du contenu, sous quelle que forme que ce soit, est interdite. En effet, à ce jour, la plupart de ces nouveaux indices affichent une performance très robuste. Cependant, il est essentiel de bien comprendre les facteurs qui sous-tendent la surperformance de ces indices de pondération alternative. Ils ne sont pas guidés par une quelconque innovation, mais reposent sur leur exposition à des facteurs de risque bien connus, tels que « value », momentum ou faible volatilité. Par conséquent, ces nouveaux indices de pondération constituent uniquement une nouvelle manière de capturer les primes de risque associées à ces facteurs de risque. La stratégie qui consiste à capturer des primes de risque reste une approche relativement nouvelle de la gestion actions. Or, au sein d’autres classes d’actifs telles que les obligations ou les devises, la recherche de primes 1 Research Affiliates Fundamental Indexation de risque constitue une stratégie d’investissement communément utilisée par les investisseurs. Par exemple, les investisseurs obligataires peuvent allonger la duration de leurs portefeuilles afin de bénéficier de la prime de terme offerte sur ces marchés, ou encore construire une exposition aux obligations d’entreprises ou aux titres high yield pour capturer la prime de crédit. Sur les marchés des changes, les investisseurs peuvent exploiter la prime de portage associée à ces marchés en initiant une position acheteuse sur des devises à haut rendement, tout en prenant une position vendeuse sur des devises à faible rendement. Dans tous ces exemples, les investisseurs prennent des risques accrus en contrepartie d’une rémunération sous la forme de rendements supérieurs.