MK Objet, un media au pouvoir incomparable ! 76% des personnes estiment accorder de l’importance aux objets publicitaires 60% des personnes aimeraient recevoir plus d’objets publicitaires 70,4% des personnes mémorisent la marque après avoir reçu un objet publicitaire 83% des récipendiaires d’un objet pub se souviennent de l’annonceur 62% sont plus favorables après avoir reçu un objet pub 81% des objets sont gardés pour leur utilité 6 mois est le temps moyen de conservation d’un objet pub Sacs et Bagages offrent la plus grande récurrence d’utilisation et le plus grand nombre d’impacts publicitaires 0.004 € est le coût par impact moyen d’un objet de communication Le coût par impact publicitaire du MK Objet est largement inférieur à toutes les autres formes de pub classiques pour un taux de mémorisation supérieur Source LJ Market Research 4 “Promotional Products : impact, exposure and influence” 1 Avec un coût par impact largement inférieur à toutes les autres formes de communication, le Marketing Objet s’avère être aujourd’hui un media très efficace qui crée de la proximité et dont le ROI (Retour sur Investissement) est très élevé. En effet, le marché de l’objet équivaut à celui de l’affichage, ce qui n’a pas échappé à la 2FPCO, Fédération Française des professionnels de la Communication par l'objet, qui a commandé une étude portant sur la perception, l'impact de la publicité et les performances de la communication par l'objet. La première enquête d’envergure sur l’impact des objets publicitaires a fait clairement apparaître l’efficacité de ce media puisque 70,4% des personnes interviewées se sont remémoré la marque apposée sur les objets publicitaires qu’ils possédaient. Un Coût par impact moyen inférieur pour une réelle relation à l’objet et un retour sur investissement désormais quantifiable. Publicité TV 0.055 € Goodies : 0.005 € Calendrier : 0.004 € Crayon, stylos… : 0.003 € 2 catégories d’objet par personne : objets d’écriture avec 59%, et tee-shirts avec 36%, les produits électroniques avec 24%, les goodies 23% les calendriers 20%. Un impact mieux ciblé petit prix pour large public ou à plus forte valeur pour affirmer qualité et générosité, l’offre faite à l’annonceur pour répondre aux objectifs fixés est aujourd’hui très large et diversifiée. 58% Ecriture 35% Tee-shirts 22% Electronique 21% Goodies 19% Calendriers 18% Casquettes 17% Verres, Mugs, Tasses 15% Bureau 14% Bagages 13% Parapluies 5% Produits horlogers 2% Trophées 2 Il est à noter que plus le coût de l’objet est élevé, plus il est conservé. Ce sont les bagages qui viennent en tête avec une durée de conservation évaluée à plus de 4 ans, puis les textiles "élaborés", les mugs et autres verres, les tee-shirts et les produits horlogers avec une durée de vie de 3 ans et demie. Pour être conservé, pensez utile et pratique ! 50,7 % Bagages 46,8% Textiles 44,1 % Mugs 41,8 % Tee-Shirts 41, 4 % Horlogerie 39, 4 % Electronique 38, 2 % Parapluies 32, 7% Casquettes 28, 2 % Goodies 12,0 % Calendriers 11, 2 % Bureau 8, 4 % Ecriture Le critère de qualité, et donc de durabilité, est particulièrement important pour les bagages, parapluies et textiles, mais le côté attractif et esthétique reste aussi déterminant lorsqu’il s’agit de mugs et verres, de goodies ou de produits horlogers dont on attend aussi d’être amusants ou divertissants. Le consommateur plébiscite l’objet publicitaire puisque 76% des personnes interrogées sont sensibles à l’objet publicitaire. Mieux, 60% souhaitent en recevoir d’avantage. Cet intérêt du public, démontre toute l’efficacité de ce type d’outil de communication, qui véhicule parfaitement le message de la marque. L’offre est extrêmement large (environ 15000 types de produits disponibles) et les coûts par contact raisonnables, de quoi faire plaisir tant aux consommateurs qu’aux annonceurs ! L’objet de communication se révèle être un Media à part entière. Mais attention aux fournisseurs sélectionnés : la fabrication de l’objet de communication est très réglementée, ce qui amène la 2FPCO à recommander aux annonceurs de bien choisir leurs prestataires. 3