A Indicateu Préventio Facteurs Tabagism situation Comporte l`égard

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620 Univerrsity Avenue
Toronto, ON
N M5G 2L7
T: 416.971
1.9800 ext. 3127
F: 416.971
1.6888
Annexe
A
1 : Constatation
C
ns principales du Rapp ort 2011 du
u CQSO
Indicateu
ur
Consta
atations priincipales poour 2011
Préventio
on
Facteurs de risque mo
odifiables
D’importantes variiations subsiistent entre lles sous-poppulations de
l’Ontarrio pour diveerses mesurees de la situaation sociodéémographiqu
ue
et leurss liens avec les facteurs de protectioon et de risquue pour le
cancerr. Les citoyenns qui habiteent dans des régions urbaines, dans des
d
quartieers où les revvenus sont pplus élevés ett qui ont un nniveau
d’instrruction supérrieur adoptennt des comportements pllus sains quee
leurs contreparties
c
s. Les populaations immiggrantes sont plus
suscep
ptibles d’afficcher des com
mportementss sains et de ne pas fumeer
ou boirre à l’excès au-delà des lignes directtrices sur less faibles risq
ques.
Elles sont
s
égalemeent moins suusceptibles d’être obèses.
Tabagism
me en fonctio
on de la
Le tabaagisme est een baisse maais les amélioorations ne ssont pas
situation sociodémog
graphique
distribu
uées de façoon équitable dans l’ensem
mble de la poopulation. Les
L
membrres d’un bonn nombre de groupes de la population n’ont pas
profitéé dans toute lla mesure duu possible dees activités vvisant à
restrein
ndre le tabaggisme. Les taaux de tabaggisme sont pplus élevés daans
les voiisinages à faiible revenu, chez les perrsonnes néess au Canada,
celles ayant
a
fait dees études posstsecondaires et celles quui habitent dans
d
des rég
gions ruraless. Ces modèlles sont sem
mblables pourr les nonfumeurrs exposés à la fumée seecondaire.
Les ad
Comporteements des adolescents
a
à
dolescents soont plus suscceptibles d’addopter des comportemen
nts
l’égard des facteurs modifiables
m
de
d
de sédeentarité et d’’être davantaage actifs phhysiquementt que les
risque
adultess.
Dépistagee du cancer
Participattion au dépisstage du can
ncer Le pou
urcentage dee femmes quii passent dess examens dde dépistage du
du sein (m
mammograp
phie)
cancerr du sein se rrapprochera en 2011 de lla cible provvinciale de
70 %. Une proporttion croissannte de femmees passent dees examens
dans lee cadre du Prrogramme oontarien de ddépistage du cancer du seein
(PODC
CS), qui connstitue le proogramme de dépistage sttructuré de laa
provin
nce.
Participattion au dépisstage du can
ncer Les tau
ux de particiipation aux eexamens de dépistage duu cancer
colorectaal (TSOF)
colorecctal à l’aide du test du saang occulte ffécal (TSOF
F) ont augmeenté
de prèss de 50 % deepuis la périoode visée paar le dernier rapport, maiis
restentt en-deçà de la cible provvinciale.
Participattion au dépisstage du can
ncer La parrticipation auux examens dde dépistagee du cancer ddu col de
du col dee l’utérus (tesst Pap)
l’utéru
us chez les feemmes admiissibles n’a qque légèremeent augmentté et
reste so
ous la cible pprovinciale. Des différennces importaantes en
fonctio
on de l’âge oont été obserrvées dans lees taux de paarticipation.
Suivi dess examens dee dépistage
Indicateur
Examens de dépistage du cancer du
sein anormaux (PODCS) et
résolution
Suivi des coloscopies et temps
d’attente après un test du sang
occulte fécal (TSOF) anormal
(positif)
Qualité des chirurgies et des
rapports de pathologie du cancer :
échantillonnage des ganglions
lymphatiques en cas de cancer
colorectal
Qualité des chirurgies et des
rapports de pathologie du cancer :
état des marges en cas de chirurgie
contre le cancer de la prostate
Rapports sur le stade du cancer au
moment du diagnostic
Rapports synoptiques de pathologie
Constatations principales pour 2011
Le pourcentage de femmes ayant des résultats anormaux lors d’une
mammographie et dont le cas a été résolu au cours d’un intervalle de
cinq semaines (lorsqu’une biopsie n’était pas nécessaire) se
rapproche de la cible nationale de 90 %. Le pourcentage de femmes
qui doivent passer une biopsie et dont les mammographies anormales
ont été résolues dans un intervalle de sept semaines est en-deçà de la
cible nationale de 90 %.
Le pourcentage de citoyens de l’Ontario qui passent une coloscopie
après un test du sang occulte fécal (TSOF) anormal (positif) est trop
faible. Le pourcentage de patients qui passent une coloscopie dans
l’intervalle recommandé de huit semaines après le TSOF positif a
augmenté, mais une variabilité régionale trop importante persiste.
La grande majorité (87 %) des rapports chirurgicaux rédigés après
une chirurgie du côlon et du rectum (rapports de résection)
confirment qu’au moins 12 ganglions lymphatiques ont été examinés.
Cette intervention est conforme aux lignes directrices sur les
meilleures pratiques de qualité de Action Cancer Ontario.
De nouvelles mesures de la qualité des soins de cancérologie en cas
de chirurgie et de pathologie indiquent de très bons taux d’efficacité
pour les chirurgies contre le cancer et qui surpassent les cibles
provinciales pour le cancer de la prostate. Le taux général pour la
province touchant les marges positives en cas de chirurgie contre le
cancer de la prostate est de 20 %, alors que l’objectif de la province
est d’atteindre un taux de marges positives inférieur à 25 %.
Le pourcentage de cas de cancer en Ontario pour lesquels nous
disposons d’un rapport valable sur le stade continue de s’accroître et
a presque atteint l’intégralité pour les quatre formes les plus
courantes de cancer (poumons, colorectal, sein et prostate).
La qualité des rapports de pathologie en Ontario s’est améliorée de
façon marquée, les rapports de pathologie étant aujourd’hui
présentées sous une forme électronique standard. Les rapports
structurés ou synoptiques font appel à des normes communes
adoptées partout en Amérique du Nord et fondées sur les listes de
contrôle du cancer du College of American Pathologists, qui
représentent la norme idéale pour les rapports.
Indicateur
Constatations principales pour 2011
Temps d’attente avant une chirurgie Dans l’ensemble, la capacité de respecter les cibles d’accès prioritaire
contre le cancer
pour les chirurgies les plus urgentes (priorité 2 et 3) est
significativement moindre que pour les chirurgies moins urgentes
(priorité 4). En 2010, un plus grand nombre de cas de priorité 2 ont
été traités conformément aux cibles, par rapport à 2009. Dans
l’ensemble, les trois quarts des patients reçoivent leur chirurgie dans
les délais recommandés.
Conférences multidisciplinaires sur La qualité des CMC signalées s’est améliorée, plus du trois quarts
le cancer (CMC)
d’entre elles répondant aux critères minimaux établis dans les normes
sur les CMC.
Normes touchant les chirurgies en
La régionalisation fructueuse des chirurgies contre le cancer
cas de cancer thoracique
thoracique (poumons et œsophage) dans des centres « désignés » très
spécialisés est presque entièrement réalisée, ce qui accroît la qualité
de ces chirurgies et améliore la sécurité et les résultats pour les
patients.
Normes pour les chirurgies contre
Presque toutes les chirurgies contre le cancer hépatique, pancréatique
le cancer hépatique, pancréatique et et biliaire en Ontario ont lieu dans un hôpital qui répond aux
biliaire (HPB)
conditions minimales de volume pour la réalisation de chirurgies
sûres et de grande qualité.
Délais d’attente avant une
Les temps d’attente pour l’intervalle entre « prêt au traitement » et
radiothérapie
« début du traitement » se rapprochent de la cible de 85 % établie par
Action Cancer Ontario, mais les délais pour l’intervalle « orientation
et consultation » sont encore très loin des cibles. On constate une
variation régionale importante pour les patients traités en ce qui
concerne les deux cibles pour les délais d’attente.
Utilisation des radiothérapies
Radiothérapie par modulation
Le recours à la RMI est en hausse dans la province, près du tiers des
d’intensité (RMI)
centres de cancérologie de l’Ontario ayant administré cette forme
idéale de radiothérapie au cours de la deuxième moitié de 2010.
Presque tous les cas de cancer de la tête et du cou sont traités par
RMI même si l’on constate une variation significative entre les
régions pour toutes les formes de cancer.
Efficacité des appareils de
L’utilisation efficace des appareils de radiothérapie s’est accrue au
radiothérapie
cours des exercices 2008-2009 et 2009-2010.
Temps d’attente avant un traitement Les temps d’attente ont été améliorés pour l’intervalle entre
systémique (chimiothérapie)
l’orientation et la consultation, et ils s’approchent de la cible de 60 %
du programme même si d’importantes variations persistent entre les
régions. Le temps d’attente entre la consultation et le traitement est le
même que l’an dernier, soit bien en-deçà de la cible de 60 % du
programme.
Indicateur
Temps d’attente entre une chirurgie
et une chimiothérapie adjuvante.
Traitement du cancer du poumon
non à petites cellules conformément
aux lignes directrices
Visites dans un service d’urgence
après une chimiothérapie
Sécurité des traitements
systémiques
Expérience des patients qui
reçoivent des soins de cancérologie
en clinique externe
Évaluation des symptômes
Fin de vie
Constatations principales pour 2011
Presque tous les patients ont entrepris une chimiothérapie adjuvante
dans les 90 jours (13 semaines) de leur chirurgie.
Des données convaincantes indiquent que nous pouvons et devrions
vraisemblablement traiter plus agressivement certaines formes de
cancer du poumon afin de sauver des vies : seulement la moitié des
patients présentant un cancer du poumon non à petites cellules de
Stade II ou III et ayant une subi une résection (qui ont reçu une
chirurgie afin d’extraire la tumeur) et moins d’un tiers des patients
aux stades ultimes inopérables ont reçu le traitement recommandé
dans les lignes directrices sur la pratique. Aucune augmentation n’a
été enregistrée entre 2007 et 2008 au plan du pourcentage de patients
atteints d’un cancer du poumon non à petites cellules de Stade IIIA
ou IIIB et n’ayant pas subi de résection et qui ont été traités
conformément aux lignes directrices
Plus du tiers des femmes recevant l'un des nouveaux régimes de
chimiothérapie adjuvante (après une chirurgie) en cas de cancer du
sein effectuent une visite dans un service d’urgence (SU) ou sont
admises à l’hôpital au moins une fois dans les quatre semaines
suivant la chimiothérapie. Pour un peu plus de la moitié de ces
femmes, cette visite s’explique par une neutropénie (baisse de la
numération des globules blancs), une infection ou une fièvre.
La mise en œuvre dans les hôpitaux de systèmes de prescriptions
automatisés pour les médicaments chimiothérapeutiques se poursuit à
un rythme réduit. Un plus grand nombre d’hôpitaux de la province
ont adopté des politiques et méthodes à jour se rapportant à la
manipulation sans danger des agents cytotoxiques.
Les patients traités dans le cadre des soins ambulatoires continuent
d’indiquer un degré raisonnable de satisfaction pour la majorité des
aspects des soins. Les notes touchant le soutien affectif restent
significativement plus faibles que celles se rapportant à d’autres
dimensions.
L’accès à l’évaluation des symptômes par les patients atteints d’un
cancer a été élargi de façon constante et bon nombre de régions
affichent des taux très élevés d’évaluation, plus particulièrement pour
les patients atteints d’un cancer du poumon. Lest taux restent
cependant dans l’ensemble sous les cibles du programme.
Indicateur
Soins en fin de vie
Chimiothérapie dans les deux
dernières semaines de la vie
Constatations principales pour 2011
Les patients atteints d’un cancer et qui sont en fin de vie ainsi que
leurs familles ne profitent peut-être pas d’un accès approprié aux
ressources et mécanismes de soutien nécessaires pour vivre et mourir
dans le milieu de leur choix. Nous avons besoin de toute urgence de
données plus récentes en vue de soutenir les initiatives visant
l’amélioration de la qualité
Environ 6 % des patients qui sont décédés d’un cancer ont reçu une
chimiothérapie au cours de leurs deux dernières semaines de vie. Ce
pourcentage est vraisemblablement trop élevé et présente une
variabilité en fonction des régions de l’Ontario.
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