Enquête réalisée via Internet auprès de 253 médecins généralistes libéraux et 250 spécialistes hospitaliers (dont 43 cardiologues, 36
diabétologues, 27 urgentistes, 37 pneumologues, 39 oncologues, 30 gériatres, 38 pédiatres) entre le 11 et le 23 janvier. Échantillons nationaux
représentatifs interrogés selon la méthode des quotas sur les données de sexe, âge, région d’exercice et spécialité médicale (données issues
de la DREES « Les médecins au 1er Janvier 2013 », série statistique n°179, avril 2013).
LA PLACE DU NUMÉRIQUE DANS L‘ENVIRONNEMENT DE TRAVAIL
LA PLACE DU NUMÉRIQUE DANS LES PRATIQUES
LES PRINCIPAUX RISQUES IDENTIFIÉS
L’ATTITUDE ET LES ATTENTES DES MÉDECINS VIS À VIS DU NUMÉRIQUE
PENSENT
que la place des technologies numériques
a fortement augmenté ces dernières années.
PENSENT
que les technologies numériques
n’engagent pas davantage leur responsabilité.
S’ESTIMENT
très bien formés pour l’utilisation
de leur propre système ou
logiciel informatique
ATTENDENT DU NUMÉRIQUE
la diminution de la redondance de
certains actes ou examens médicaux.
ATTENDENT DU NUMÉRIQUE
l’amélioration de la coopération
entre la ville est l’hôpital
DÉCLARENT
disposer d’un logiciel informatique
pour la gestion des patients.
DÉCLARENT
pouvoir accéder au dossier patient
informatisé (DPI) dans
leur établissement.
DÉCLARENT
être des utilisateurs fréquents
des outils numériques.
DÉCLARE
utiliser des technologies numériques
dans la relation avec ses confrères.
LES TECHNOLOGIES NUMÉRIQUES
ET LA PRATIQUE MÉDICALE
2/3
LA PERTE DE CONFIDENTIALITÉ DÉSHUMANISATION DE LA RELATION MÉDECIN-PATIENT
1 MEDECIN SUR 2
(49%)
DES MEDECINS
1/3
DES MEDECINS
POUR
POURTANT
S’ESTIMENT
très bien formés pour l’utilisation
des technologies numériques dans
les échanges avec leurs confrères.
ET SEULEMENT
accéder aux résultats d’analyse d’un patient 84%
68%
transmettre les données d’un patient
à un autre professionnel de santé
POURPOUR ET
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