réponse du second ordre:
s°°(t) + 2z ω0 s°(t) + ω0
2
 s(t) = b0  e(t)
on cherche une solution particulière du type  sp(t) = S∞ (valeur finale)
après dérivation  et  identification  on  trouve: sp(t) = S∞ = b0.E 
ω0
2
la solution complète sécrit: s(t) = sg(t) + sp(t) =   k e-t/τ + S∞
à l’instant t = 0+ la condition initiale vaut: s(0+) = k + S∞fik = s(0+) - S∞
s(t) =  [s(0+) - S∞] e-t/τ + S∞ 
2.2.2 second  membre  fonction  afine  (entrée  rampe):  réponse  tachymétrique
réponse du premier ordre:
s°(t) + 1 s(t) = b0 (At + B) où E = Cte
τ
on cherche une solution particulière du type  sp(t) = at + b
après dérivation  et  identification  on  trouve: a = τ.b0.A  et  b = τ.b0 (.B - τ.A)
réponse du second ordre:
s°°(t) + 2z ω0 s°(t) + ω0
2
 s(t) = b0  e(t)
on cherche une solution particulière du type  sp(t) =  = at + b
après dérivation  et  identification  on  trouve: a = b0.A
ω0
2
b =  b0  (B - 2z.A)
ω0
2ω0
2.2.3 second membre impulsion de Dirac: réponse impulsionnelle
on applique au système une entrée e(t) = d(t) distribution de Dirac définie par:
d(t) = lim θ → 0 (1/ θ)
-∞ ∫ +∞
 d(t) dt = 1   (aire unité)
pour t ∈ [0,θ]on considère que l’entrée est un échelon d’amplitude infinie et de durée nulle
pour t > θon considère que l’entrée est nulle
à partir de t = q = 0+ on  considère  que  le  système  n’est  plus  soumis  à  aucune  sollicitation  extérieure et 
qu’il  va  évoluer  selon  sa  dynamique  propre,  c’est  à  dire  sa  réponse  libre  (sa 
signature); le  rôle  de  l’impulsion  de durée  quasi-nulle  est  d’apporter  au système 
des conditions initiales non nulles
calculons la valeur de la condition initiale apportée par l’impulsion de Dirac:
on peut  assimiler pendant  un temps  aussi court  la réponse du  système à  sa tangente  à l’origine  pour une 
entrée échelon de valeur infinie et de durée nulle