TP1 Suite Au cours du TP précédent, nous avons mesuré les variations de l’activité pulmonaire (ventilatoire) au cours d’un effort. Rythme (L/sec) Exemple de résultats : Titre : rythme ventilatoire en fonction du temps et de l’effort Repos Effort Repos Tps (sec) Ø Surlignez un cycle ventilatoire (inspiration + expiration) Ø Construisez un tableau à double entrée indiquant, en fonction de l’effort, - La fréquence ventilatoire : nombre de cycles par unité de temps (minute) - Le volume courant : volume d’air échangé au cours d’un cycle (inspire/expiré) - Le débit ventilatoire :volume d’air échangé par unité de temps (L/mn) = Fréquence X volume courant Effort (x)à Mesures (y) Fréquence ventilatoire (nbr/minute) Volume courant (L) Débit ventilatoire (L/mn) Repos Effort Repos (récupération) 18 22 18 0,5 1ì 0,75 9 22ì 13,5 Ø Conclure :A l’effort, on ventile plus vite (ìfréquence) et plus fort (ìvolume) donc le débit ventilatoire (FXVol) ì. Ce qui permet de répondre aux besoins ì des muscles. Lors du retour au repos la fréquence revient à celle de départ mais le volume reste légèrement plus élevé. Titre : Volume d’O2 consommé en fonction du temps et de l’effort. Histogramme : volume instantané (de 0 à 30 sec, de 30 à 60 sec…) Courbe : volume cumulé Ø Construisez un tableau à double entrée Indiquant le volume total d’O2 consommé en fonction de l’effort. Effort (x)à Repos Effort Repos (récupération) Mesures (y) Volume total d’O2 0,5 (1,75 – 0,5) = 1,25 (2,75 – 1,75) = 1 Consommé (L) Ø Je vois : Que le volume d’O2 consommé augmente avec l’effort Ø Je sais que les muscles qui travaillent ont besoin d’O2 pour oxyder le glucose et produire de l’énergie (respiration cellulaire) Ø J’en déduis que la consommation croissante d’O2 correspond à la consommation ì des muscles. Une limite à la consommation d’O2 ? (Documents projetés, travail en commun) La consommation d’O2 par l’organisme lors d’un effort est limitée, elle atteint un maximum pour une intensité d’effort qui dépend de l’âge, du sexe et de l’entraînement. C’est la VO2 max, elle détermine la performance. BILAN : distribué à coller dans le cahier. 2) Adaptation de l’activité cardiaque Ø Titre : fréquence et volume systolique en fonction du temps et de l’effort. Ø Fréquence cardiaque : nombre de battements par minute ) Ø Volume systolique : Volume de sang éjecté par le cœur à chaque battement Ø Débit cardiaque : Volume de sang éjecté par le cœur en une minute = Fréquence X volume systolique Ø Je vois : Que la fréquence augmente à l’effort (80 battements au reposà120) puis diminue au retour au repos. Le volume systolique augmente aussi (110 mlà130) puis diminue au retour au repos Ø Je déduis : lors de l’effort, le cœur bât plus vite et plus fort, donc le débit (F X VS) augmente ce qui permet d’alimenter les muscles en O2 et Glucose. BILAN : Au cours d’un effort physique, pour répondre aux besoins accrus des muscles en O2 et glucose, - Le débit ventilatoire augmente (Le volume d’air inspiré par minute) grâce à une augmentation de la fréquence ventilatoire (« on respire plus vite ») et du volume courant (« on respire plus fort »). Cela permet d’augmenter l’apport en O2 dans le sang au niveau pulmonaire. - Le débit cardiaque augmente (Le volume du sang circulant par unité de temps) grâce à une augmentation de la fréquence cardiaque (le cœur bât plus vite) et du Volume d’ejection systolique (le cœur bât plus fort) afin de faire circuler plus de sang pour alimenter les muscle en O2 et glucose. – Plus l’effort physique est intense, plus la consommation de dioxygène augmente ; – Il y a une limite à la consommation de dioxygène : VO2max Ce paramètre conditionne ainsi une puissance maximale des muscles, il dépend de l’âge, du sexe de la taille de l’entraînement et de l’hygiène de vie. BILAN : Au cours d’un effort physique, pour répondre aux besoins accrus des muscles en O2 et glucose, - Le débit ventilatoire augmente (Le volume d’air inspiré par minute) grâce à une augmentation de la fréquence ventilatoire (« on respire plus vite ») et du volume courant (« on respire plus fort »). Cela permet d’augmenter l’apport en O2 dans le sang au niveau pulmonaire. - Le débit cardiaque augmente (Le volume du sang circulant par unité de temps) grâce à une augmentation de la fréquence cardiaque (le cœur bât plus vite) et du Volume d’ejection systolique (le cœur bât plus fort) afin de faire circuler plus de sang pour alimenter les muscle en O2 et glucose. – Plus l’effort physique est intense, plus la consommation de dioxygène augmente ; – Il y a une limite à la consommation de dioxygène : VO2max Ce paramètre conditionne ainsi une puissance maximale des muscles, il dépend de l’âge, du sexe de la taille de l’entraînement et de l’hygiène de vie. BILAN : Au cours d’un effort physique, pour répondre aux besoins accrus des muscles en O2 et glucose, - Le débit ventilatoire augmente (Le volume d’air inspiré par minute) grâce à une augmentation de la fréquence ventilatoire (« on respire plus vite ») et du volume courant (« on respire plus fort »). Cela permet d’augmenter l’apport en O2 dans le sang au niveau pulmonaire. - Le débit cardiaque augmente (Le volume du sang circulant par unité de temps) grâce à une augmentation de la fréquence cardiaque (le cœur bât plus vite) et du Volume d’ejection systolique (le cœur bât plus fort) afin de faire circuler plus de sang pour alimenter les muscle en O2 et glucose. – Plus l’effort physique est intense, plus la consommation de dioxygène augmente ; – Il y a une limite à la consommation de dioxygène : VO2max Ce paramètre conditionne ainsi une puissance maximale des muscles, il dépend de l’âge, du sexe de la taille de l’entraînement et de l’hygiène de vie. BILAN : Au cours d’un effort physique, pour répondre aux besoins accrus des muscles en O2 et glucose, - Le débit ventilatoire augmente (Le volume d’air inspiré par minute) grâce à une augmentation de la fréquence ventilatoire (« on respire plus vite ») et du volume courant (« on respire plus fort »). Cela permet d’augmenter l’apport en O2 dans le sang au niveau pulmonaire. - Le débit cardiaque augmente (Le volume du sang circulant par unité de temps) grâce à une augmentation de la fréquence cardiaque (le cœur bât plus vite) et du Volume d’ejection systolique (le cœur bât plus fort) afin de faire circuler plus de sang pour alimenter les muscle en O2 et glucose. – Plus l’effort physique est intense, plus la consommation de dioxygène augmente ; – Il y a une limite à la consommation de dioxygène : VO2max Ce paramètre conditionne ainsi une puissance maximale des muscles, il dépend de l’âge, du sexe de la taille de l’entraînement et de l’hygiène de vie. BILAN : Au cours d’un effort physique, pour répondre aux besoins accrus des muscles en O2 et glucose, - Le débit ventilatoire augmente (Le volume d’air inspiré par minute) grâce à une augmentation de la fréquence ventilatoire (« on respire plus vite ») et du volume courant (« on respire plus fort »). Cela permet d’augmenter l’apport en O2 dans le sang au niveau pulmonaire. - Le débit cardiaque augmente (Le volume du sang circulant par unité de temps) grâce à une augmentation de la fréquence cardiaque (le cœur bât plus vite) et du Volume d’ejection systolique (le cœur bât plus fort) afin de faire circuler plus de sang pour alimenter les muscle en O2 et glucose. – Plus l’effort physique est intense, plus la consommation de dioxygène augmente ; – Il y a une limite à la consommation de dioxygène : VO2max Ce paramètre conditionne ainsi une puissance maximale des muscles, il dépend de l’âge, du sexe de la taille de l’entraînement et de l’hygiène de vie.