Quel avenir pour les
interfaces
homme-machine ?
F. Clarac, F. Chavane, 17 novembre 2007
APF, IRME, ALARME, AFIGAP
Réparer ou substituer!
La politique de L’IRME
a été depuis plus de vingt
ans de soutenir les recherches
qui tentaient de trouver les
moyens de vaincre la cicatrice
Gliale et de faire repousser
les fibres nerveuses.
Les progrès des neurosciences
pour comprendre le
fonctionnement
nerveux et remplacer les parties
défaillantes par des systèmes
de robots devient aujourd’hui
possible.
Ce nouveau domaine de
recherche
est prometteur.
La presse internationale s’est emparée du sujet:
Le journal scientifique Anglais « Nature »
dans un numéro spécial du 13 juillet 2006
posait la question
«allons-nous vers l’Homme bionique ? »
On est capable
aujourd’hui de réaliser
non seulement des
neuroprothèses
sensorielles auditives,
visuelles….mais aussi des
neuroprothèses motrices.
«L'homme bionique, c'est pour demain »
Alexandra Echkenazi et Laure Pelé
Le Parisien
mardi 06 novembre 2007
« Pallier une
déficience, ce n'est
pas faire un
surhomme »
L'exemple le plus récent
est... français. Il y a
quelques jours en effet, le
professeur José Sahel, de
l'hôpital des Quinze-
Vingts à Paris, s'est vu
décerner le prix Altran
pour l'innovation. Son
mérite ? Avoir conçu une
rétine artificielle qui
pourrait bien être capable,
d'ici quelques années, de
redonner la vue... aux
aveugles !
Deux exemples ont eu la une des
journaux
Jesse Sullivan est le
premier homme à
avoir reçu deux bras
artificiels et à les
utiliser (2005).
En 2001, électricien travaillant
sur des lignes à haute tension,
J. Sullivan a reçu une telle décharge
électrique qu’il a du être amputé des 2 bras.
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