La schizophrénie
au canada
rapport national
Considérations
thodologiques
Remerciements
Le présent rapport a été rédigé par les directeurs exécutifs des diverses associations canadiennes
de schizophrénie, sous légide de Chris Summerville, directeur général, Société canadienne
de la schizophrénie.
Pour obtenir de plus amples renseignements sur la schizophrénie, visitez le site
www.schizophrenia.ca (en anglais seulement pour le moment). Le sondage à l’origine
du présent rapport a été mené par la maison de sondage Léger Marketing, grâce à une
contribution inconditionnelle à visée éducative de Pfizer Canada Inc.
Portée
Ce rapport examine différents aspects de la schizophrénie d’un bout à l’autre du pays, afin de
tirer d’importantes conclusions au sujet des soins qui sont donnés au Canada aux personnes
atteintes de cette maladie. Il ne sagit pas de résultats d’une recherche révisée par des experts.
Les diverses associations canadiennes de schizophrénie espèrent que les conclusions de ce
rapport ainsi que les mesures réclamées susciteront des débats, sensibiliseront la population
et déclencheront l’adoption de mesures et de nouvelles politiques qui pourront répondre plus
adéquatement aux besoins des malades, de leur famille et des intervenants en santé mentale.
Méthode de sondage
Le sondage mené aux fins du présent rapport a été confié à l’agence Léger Marketing qui, depuis
sa fondation en , est devenue la plus importante maison de sondage indépendante au
Canada. Cest ainsi que des renseignements dordre primaire et secondaire ont été recueillis.
Trois sondages ont été menés d’août à octobre  auprès d’échantillons représentatifs de
Canadiens âgés de  ou plus sélectionnés au hasard. Par ailleurs, certaines provinces ont
fait l’objet dun suréchantillonnage destiné à rendre compte de leur réalité propre. La taille de
l’échantillon et les dates de sondage sont précisées au besoin dans ce rapport.
Des données secondaires ont également été obtenues auprès dune variété d’intervenants,
incluant les diverses associations canadiennes de schizophrénie, la Commission de la san
mentale du Canada, l’Institut canadien d’information sur la santé (ICIS) et l’Institut Fraser.
Les recherches secondaires citées comme références ont été publiées au cours des  dernières
années.
Remarques : Les statistiques relatives au temps d’attente et aux dépenses publiques dont il est question
dans le présent rapport concernent la santé mentale en général, et non pas seulement la
schizophrénie.
Les spécialistes auxquels on fait référence à la section consacrée au temps dattente en
psychiatrie sont membres de l’Association médicale canadienne.
Le terme généraliste englobe tous les médecins de famille à l’échelle du Canada et des
provinces respectives.
La médiane du temps dattente en semaines correspond à la valeur centrale des divers temps
d’attente. On la calcule à laide de la formule suivante : ([nombre de données simples] + 1) ÷ 2.
Résumé ...................................................... 4
Partie I:
Comprendre la schizophrénie ........................................ 6
Quest-ce que la schizophrénie?
Qui est touché par la schizophrénie?
Peut-on guérir de la schizophrénie?
Partie II:
Stigmatisation et discrimination ..................................... 12
Quest-ce que la stigmatisation et en quoi est-elle discriminatoire?
Comment les Canadiens perçoivent-ils les personnes atteintes de schizophrénie ?
En quoi la stigmatisation entrave-t-elle laccessibilité aux soins?
Partie III:
Solutions .................................................... 18
Meilleures pratiques en matière de rétablissement
Appel lancé à tous les Canadiens
Appendices ................................................... 24
sommaire du rapport
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