Laura Scaperrotta, 2009 Introduction à la psychologie du sport 1) Présentation du cours : 1er objectif : Aperçu des différents travaux en psychologie du sport : recherche, psychologie sociale, cognitive, etc. 2ème objectif : Caractériser l’importance des facteurs psychologiques. Buts à atteindre : sur les connaissances psychologique et apprendre à prendre conscience des facteurs psychologiques + méthode d’imagerie mentale. 1.1) Présentation des thématiques : • L’entraînement mental : vision générale des techniques. • Imagerie, apprentissage et performance motrice : performances. 2) Définition : amélioration des La psychologie du sport est une science. Son but est d’améliorer les performances sportives ou le bien‐être du sportif. Elle essaie de comprendre les athlètes de haut niveau pour les problèmes de stress, d’anxiété. Elle a un double objectif : Des facteurs psychologiques vers le sport : Etude des effets des facteurs psychologiques sur la performance et le sport. Exemple : mesure de l’anxiété d’un lancer franc. Comment la confiance en soi va permettre l’amélioration de l’habileté motrice : ex : natation. Du sport vers les facteurs psychologiques : Etude des effet de la pratique sportive sur les facteurs psychologiques. Exemple : Est‐ce que la pratique sportive permet de diminuer le stress ou est‐ce qu’elle permet d’augmenter l’estime de soi. => Est‐ce que cet effet est bénéfique ou non sur soi ? 1 Laura Scaperrotta, 2009 3) Histoire : Origine : Fin XIXe siècle. C’est une évolution rapide et complexe qui durera un siècle. La psychologie du sport est une discipline scientifique très récente. Elle va atteindre 3 statuts différents : Statut d’une discipline scientifique. Statut d’une profession. Statut d’une reconnaissance mondiale. (dans tous les plans => du monde académique, sportive, etc…) Il va y avoir trois phases historiques principales : • Début de la psychologie du sport : 1895‐1940. ‐ ‐ • • Evénements précurseurs : 1895‐1920 Coup d’envoi : 1920‐1940 Développement de la psychologie du sport : 1950‐1965. Reconnaissance de la psychologie du sport : 1965 à nos jours. (Développement des sociétés scientifiques et revues). 3.1) Début de la psychologie du sport : Evénements précurseurs : (1985­1920) Dans chaques pays, il y a un petit début. Cela a de l’importance car c’est de là que va être mise en place la psychologie du sport. C’est la 1ère sous‐phase de la 1ère phase historique. Il y a deux sources : Les éducateurs physiques, les médecins et les philosophes : ils reconnaissent les bien faits des activités physiques et vont s’attarder sur le mental. 2 Laura Scaperrotta, 2009 La psychologie générale (psychologues) : psychologiques sur la pratique sportive. S’intéressent aux facteurs ‐ 1879 : Wundt : Crée le 1er labo de psychologie expérimental pour la psychologie générale. En effet, la psychologie devient plus moderne et plus expérimentale, c’est pourquoi l’année 1879 est appelé l’ère moderne de la psychologie (générale). Des départements de l’éducation physique se forment, créent des structures et ils commencent à se distinguer de l’éducation en générale. => Une élaboration de laboratoires de recherche en physiologie, biomécanique, etc… Il y a trois pays principaux: • L’Amérique : ‐ ‐ ‐ 1895 : Fitz : Créa le 1er laboratoire de recherche en éducation physiques et activités physiques. 1898 : Triplett : 1ère recherche en psychologie du sport sur l’influence du groupe sur la performance sportive des cyclistes. 1899 : Scripture : Il s’est axé sur la personnalité des sportifs et sur la possibilité de faire des profils de sportifs. • L’Allemagne : ‐ • 1903 : Miesemer : 1ère mesure en psychologie du sport dans l’activité sportive. La Russie : ‐ 1909 : Lesgaft : Publie son livre. Mais il s’intéresse surtout aux observations plutôt que la recherche comme l’Allemagne et l’Amérique. Parle de l‘influence psychologique sur la pratique sportive. Exemple : stress. C’est une importance considérable, car grâce à l’intérêt scientifique de quelques individus , on a pu faire évoluer la psychologie du sport. En effet, si ces personnes n’avaient pas créer de laboratoire, la psychologie du sport n’aurait pas existé. 3 Laura Scaperrotta, 2009 3.2) Début de la psychologie du sport : Coup d’envoi : (1920 – 1940) C’est la 2ème sous‐phase de la 1ère phase historique. Cette période est le grand développement de la psychologie du sport. Bien qu’il n’y ait pas d’échange entre les pays, son développement reste assez similaire entre eux. Un 4ème pays vient s’ajouter aux 3 principaux des événements précurseurs : le Japon. À présent, il y a 4 pays principaux: • L’Amérique : ‐ 1925 : Griffith : Crée le 1er Laboratoire de psychologie du sport ! À cette période, on travaille surtout sur les traits. Le trait est un élément stable de la personnalité. (Exemple : une personne sera toujours anxieuse, elle aura toujours une mauvaise estime de soi, etc…) L’état est un élément instable de la personnalité. En effet, on considère que l’individu varie selon les situations. • L’Allemagne : ‐ ‐ 1920 : Diem : Crée le 1er laboratoire de psychologie dans le domaine du sport. Schulte et Sippel : Succèdent à Diem. Ils s’intéressent au programme moteur => théorie du Gestalt ; on considère l’individu comme une entité. • La Russie : ‐ • Le Japon : ‐ 1920 : Rudik et Puni : Construisent l’institut d’éducation physique à Moscou => Influence de la théorie de Pavlov (Béhaviorisme). 1924 : Matsiu : Fait des travaux sur la psychologie sociale, sur la perspective sociale, contrairement au trois autres pays, qui sont attirés par l’expérimentation. Le Japon a quelques années de retard sur les autres pays. En effet, ce n’est qu’en 1924 qu’ils créent leur institut de recherche en éducation physique (1895 aux USA). Miatsiu est le Père Fondateur de la psychologie du sport au Japon. 4 Laura Scaperrotta, 2009 Le coup d’envoi comporte deux éléments important : a) L’intérêt que les éducateurs physique et les psychologues ont portés sur la psychologie du sport. b) La création d’un institut de recherche, soit en éducation physique, soit en psychologie appliquée qui définit une orientation expérimentale. Pour appliquer la psychologie du sport, les éducateurs et les psychologues vont ammené une double influences qui est basée sur deux orientations différentes : • • Les éducateurs : Ils visent une perspective appliquée, c’est‐à‐dire qu’ils recherchent une application directe, mais elle est très difficile à appliquer sur le terrain. Les psychologues : Ils visent une orientation théorique, c’est‐à‐dire qu’ils veulent vérifier des concepts théoriques, au travers de la théorie de la personnalité par exemple. 3.3) 2ème phase historique : Le développement de la psychologie du sport : (1950 – 1965) Nous avons les même orientations qu’avant : perspective appliquée et orientation théorique. Toutefois, la psychologie du sport va être introduite comme une sous‐discipline de la psychologie générale. Deux facteurs influencent sur l’orientation de la psychologie du sport : a) Le corps de connaissance des disciplines mères : ‐ Les psychologues : connaissances très théorisées => sur le fondement physique. ‐ Les éducateurs physiques : connaissances de terrain => s’occupent de savoir comment améliorer les méthodes d’entraînements. b) L’influence politique et sociale des pays : ‐ Union Soviétique : On va utiliser la psychologie du sport pour la nation, pour la valoriser. En effet, elle va être utilisée pour améliorer les performances 5 Laura Scaperrotta, 2009 ‐ sportives des athlètes et pour leur entraînements => psychologie générale soviétique. Europe de l’Ouest + Amérique du Nord : On va utiliser la psychologie du sport surtout pour les recherches en laboratoire, ce qui entraîne un développement de la théorie psychologique appliquée au sport => influence académique et individualisée. Henry, Lawther, Slater‐Hammel : sont à l’origine de la création de doctorat en psychologie du sport. Ils ont un champs de connaissance spécifique sur les même thématiques de la personnalité et de l’apprentissage moteur. À cette période les publications sont nombreuses : il y a beaucoup d’écrit orienté sur la personnalité. De plus, les échanges internationnaux prennent de l’importance pour le développement de la psychologie du sport. En effet les congrès vont permettre une augmentation de la création d’organismes nationnaux et internationnaux. Le développement de la psychologie du sport est très rapide. En 15 ans, elle recouvre tous les domaines de la psychologie générale. Il existe 4 domaines principaux : 1) 2) 3) 4) La Recherche L’intervention pratique La psychologie clinique (idée du conscient / inconscient) L’apprentissage moteur (théories conceptuelles / mesures variables) Les domaines orientés vont dépendre de qui travaille dessus ; éducateurs, psychologues, pays. Par exemple, à cette époque l’URSS était plus orientée vers la recherche et l’intervention pratique, contrairement à l’Europe ou l’Amérique du Nord qui étaient plus orientés vers la psychologie clinique et l’apprentissage moteur. 3.4) 3ème phase historique : Reconnaissance de la psychologie du sport : ( 1965 à nos jours) On pense que le développement est plus tardif en France. Ce sont des philosophes français qui vont être en premier intéressés par la psychologie du sport. ‐ ‐ ‐ ‐ Guillemain : Ecrit des livres mais qui ne sont pas spécifiques à la psychologie du sport, mais il en parle. Ulmann : ? Bernard : Ecrit des ouvrages sur le corps Bouet : Pointe la psychologie du sport. S’intéresse à la signification du sport, aux motivations des sportifs. 6 Laura Scaperrotta, 2009 ‐ 1973 : Rioux : (SFPSEC) FONDATEUR DE LA PSYCHOLOGIE DU SPORT EN FRANCE. La psychologie du sport va être reconnue en tant que discipline structurée, autonome, scientifique et profession. • La psychologie du sport en tant que discipline structurée : Comme la psychologie du sport devient une discipline structurée, il y a création d’organisme de regroupement nationaux et internationaux, qui vont permettre des rencontres. ‐ ‐ Organisations internationales : En 1965 se crée la ISSP : Société internationale de psychologie du sport. Organisations nationales : Plusieurs sociétés se créent au Canada, en Europe, ou en France, entre 1967 et 2003, tel que la « Canadian Sociéty for Psychomotor Learning ans Sport Psychology (CSPLSP)» ou la « Fédération Européenne de Psychologie des Sports et des Activités Corporelles (FEPSAC) » ou encore la « Société Française de Psychologie du sport et de l’Education Corporelle), transformée en 1988 en la « société Française de Psychologie du sport (SFPS) ». Ainsi, dans tous les grands pays, il y a énormément d’organisations qui se sont formées en 30 ans. Cela est important pour la reconnaissance de la psychologie du sport. • La psychologie du sport en tant que discipline autonome et scientifique : Au travers de la création d’organismes, des revues scientifiques partiellement ou totalement appliquées à la psychologie du sport sont crées et grâce a celles‐ci, on va pouvoir faire diffuser les travaux scientifiques et ainsi faire reconnaître la discipine. (exemple : l’International Journal of Sport Psychology de l’ISSP ; le Journal of Sport & Exercice Psychology de la NASPSPA ; ou encore la Psychology of Sport & Exercice de la FEPSAC). La psychologie du sport a beaucoup changé dans la forme et les sujets de recherches. a) Avant les années 60 : période humaniste : valorisation de l’homme. L’homme est au centre de l’univers => Education physique très pratique. b) Avant les années 66 : Recherche centrée sur l’expérimentation, la recherche véridique. C’est une période scientifique dans l’éducation physique. En effet, on essaie de théoriser l’éducation physique car il faut qu’elle soit cadrée. On passe 7 Laura Scaperrotta, 2009 d’un cheminement PRATIQUE à un cheminement THEORIQUE. (la psychologie générale prend le cheminement inverse c’est‐à‐dire théorique vers pratique). c) Des année 1966 à 1976 : On essaie de développer le corps de connaissance propre à la psychologie du sport. Ainsi, on applique une psychologie plus appliquée sur le terrain et on adapte la théorie qui existait déjà en psychologie générale pour la psychologie du sport. Exemple des thèmes : la facilitation sociale. d) Fin des années 70: Martens : tend vers une perspective appliquée. En effet, il tend vers une application pratique de la psychologie du sport. Remet en question les anciennes théories car elles sont difficilement applicable en vrai. Il fait abstraction des recherches pour être plus sur le terrain et neutraliser les variables. Il y a aussi des changements en Education Physique : • Bouchard : Il veux que l’éducation physique soit une science appart entière, qu’elle soit reconnue en tant que science => « science du sport ». Mais c’est une démarche rigoureuse. L’éducation physique est défini différemment selon les pays : En Amérique du Nord et en Europe de l’Ouest : Elle va être acceptée en tant que « Science du sport ». En URSS + les pays affiliés : C’est plus complexe. En effet, ils freinent la reconnaissance en tant que science car ils sont dans une reconnaissance plus psychologique. Comme la psychologie du sport est reconnue comme science en Europe et en Amérique, elle veut sa propre identité, qui dépend de la psychologie générale et de l’éducation physique : Ainsi, elle va chercher de nouveaux qualificatifs et c’est pourquoi elle va s’appeler Science de l’activité physique ou Science du mouvement, etc… De plus, ils doivent trouver des champs d’interventions, et s’intéressent à l’amélioration du bien‐ être des personnes, à la performance, ils se demandent aussi pour qui vont être appliqué les domaines de recherches. (Ils ne sont pas toujours sur la même longueur d’onde des chercheur). Toutefois, la psychologie du sport devient reconnue en 1965. 8 Laura Scaperrotta, 2009 • La psychologie du sport en tant que discipline professionnelle : Le titre de psychologue du sport arrive dans les années 80. On parle de phase de professionnalisation. Toutefois, on retrouve une difficulté de l’autonomie professionnelle car on se retrouve avec une nature bi­disciplinaire (Educateur ‐ psychologie). En effet, il faut réussir à adapter les deux disciplines mères entre‐elles, en plus de devoir répondre au cursus psychologique demandé. Le problème c’est que la formation de psychologue est très exigent car le titre de « psychologue » est protégé par la filière psychologique et que 70% des psychologues du sport n’ont fait qu’une filière en Science du sport. • En Amérique : En 1986, on met en place un registre qui va spécifier qu’est‐ce qu’un psychologue du sport. => « SPORT PSYCHOLOGY REGISTRY » Ce registre va définir les trois types d’intervenant en psychologie du sport : Educateur Clinitien Chercheur • En France : La même chose se fait en France par la SFPS qui est la « Société française de la psychologie du sport ». Elle définit, contrairement en Amérique, deux types d’intervenant en psychologie du sport : Les psychologues diplômé à la faculté du sport. Les intervenants en psychologie du sport ( préparateurs mentaux). • En Suisse : La psychologie du sport est une profession non réglementée. En effet, aujourd’hui, toutes personnes peut se déclarer psychologue du sport. L’ASPS qui est la « Association Suisse des psychologues du sport » définit les psychologues du sport au travers des membres : Membres ordinaires : Ceux qui ont suivit le cursus de psychologie => ils sont sûr d’être reconnu par les associations. 9 Laura Scaperrotta, 2009 Membres extraordinaires : Qui sont soit des étudiants en psychologie qui n’on pas fini le cursus en psychologie ou alors des personnes qui ont une autre formation. En Suisse, si l’on souhaite travailler avec des sportifs de haut niveau, il faut être reconnu par une association Suisse de sport (Ex : Swiss‐Olympic ou l’ASPS). Si le psychologue est reconnu par celle‐ci, les athlètes qui le choisis reçoivent une aide financière pour les séances. La Suisse va toutefois distingué l’entraîneur mentale qui est (non protégé) à un psychologue du sport qui est (protégé). 4) Les missions du psychologue du sport : Le psychologue peut être demandé soit par un club, une fédération sportive, un grand groupe ou soit de manière individuelle, car les performances ou la motivation chuttent, ou bien on a un niveau d’anxiété trop élevé. Le travail le plus efficace est d’aller chez le psychologue du sport pour la préparation du sport et avant d’avoir les problèmes susmentionnés. Ce travail peut se faire sur le sportif, sur l’équipe ou encore sur l’entraîneur : Travail auprès des sportifs : => Il existe différents degrés de travail : a) Réparation : C’est un travail de soutien chez le sportif sur la tension psychologique, les troubles, la difficulté de concentration). Ce travail se fait dans l’URGENCE et on essaie de régler la crise. b) Prévention : C’est tous l’accompagnement du psychologue du sport. Il soutient dans la période d’adolescence (démotivation, mauvaises performances, peur) ou on essaie de formaliser les échanges. Il traite aussi la réinsertion professionnelle du sportif (cherche à ouvrir des pistes pour l’après). c) Préparation : C’est la préparation à la compétition, la performance. On anticipe tous les problèmes et on travail par exemple sur la fixation d’objectifs pour faire augmenter les motivations et diminuer les craintes. Il est important de voir le psychologue du sport avant les gros problèmes Travail auprès des entraîneurs : le psychologue du sport travaille en tant qu’expértise‐conseil. En effet, il arrive des fois que les entraîneurs ne prennent pas les bonnes solutions pour motiver les jeunes ou les athlètes. Ainsi, le travail du psychologue est d’aider l’équipe d’encadrement à clarifier certains points, en s’expliquant sur les stratégies pédagogiques, la séléction des bons joueurs. Il va conseiller pour que l’entraîneur fasse les bons choix. 10 Laura Scaperrotta, 2009 Les entraîneurs peuvent aussi être formé sur certaines pratiques qu’utilise le psychologue du sport, comme par exemple l’imagerie mentale, la relaxation, etc… Aux Etats‐Unis, il y a 3 catégories de psychologues : Les psychologues clinicien : Ils ont une formation de base en psychologie clinique et conseil. Ils s’intéressent beaucoup à la pratique sportive et règlent tous les problèmes graves de dépression, de troubles alimentaires. (Traitent le psychologique et l’émotionnel) Les psychologues du sport éducateurs : Ils ont une grande connaissance du terrain. C’est une personne qui est du domaine du sport. Il prévient, accompagne et traite les problèmes sur le terrain. N’ont pas forcément de formation en psychologie générale car ce n’est pas obligé. Les psychologues du sport chercheurs : Ils développent des connaissances dans le milieu psychologique. Il travaillent sur la baisse d’anxiété, sur les techniques d’imageries, etc.. En France, il y a 2 catégories de psychologues : Les psychologues spécialisés en sport : Ils essaient d’améliorer les connaissances en psychologie du sport. Ils ne sont pas sur le terrain. Les préparateurs mentaux : Ce sont plus facilement des éducateurs qui deviennent des entraîneurs mentaux car ils ont plus facilement une formation en psychologie du sport et pas en psychologie générale. Ils sont sur le terrain. 5) Les domaines de recherche : Psychologie sociale : influence sociale. Psychologie cognitive : travail sur le fonctionnement du cerveau. Etude sur l’imagerie mentale. Psychologie pathologique : travail sur les troubles obsessionnels compulsifs => annorexie, boulimie etc… Psychologie du développement : Etude du développement comportemental : du fœtus jusqu’au viellissement. Psychologie différentielle : Travail sur le critère héréditaire. Est‐ce que les hommes et les femmes ont la même estime de soi ? Psychologie expérimentale : C’est les recherches en laboratoires. On manipule des variables, on test et on regarde le résultat. Ce sont ces études qui donnent les résultats sur le terrain. Psychologie clinique : travail sur la psychanalyse, c’est‐à‐dire les pulsion. Tous ce qui est subtil et pas visible. 11