Les indices ne sont pas gérés et sont fournis à titre de comparaison uniquement. Il est impossible d’y investir directement. L’investissement dans des fonds communs de
placement peut donner lieu à des commissions, commissions de suivi, frais de gestion et autres dépenses. Veuillez lire le prospectus avant d’investir. Les taux de rendement
indiqués correspondent aux rendements globaux composés annuels historiques tenant compte des variations de la valeur des parts et du réinvestissement des sommes distribuées
et ne prenant pas en considération les commissions de souscription ou de rachat, les frais de placement, les frais optionnels et l’impôt sur le revenu payables par les porteurs de
parts, qui auraient eu pour effet de réduire le rendement. Les fonds communs de placement ne sont pas garantis, leur valeur fluctue souvent et les rendements passés pourraient
ne pas se répéter. MCSérie Portefeuilles Sélect est une marque de commerce de CI Investments Inc.
Le 30 septembre 2013
Revenu
Après avoir sous-entendu qu'ils réduiront le soutien procuré à la
reprise économique, la Réserve fédérale américaine a annoncé
en septembre qu'elle ne déviera pas de sa position, étant donné
les données décourageantes sur l'emploi et l'économie.
Précédant l'annonce de la Réserve fédérale, le rendement des
obligations du Trésor américain à dix ans a pratiquement atteint
3,0 %, mais est redescendu à 2,7 % suite au changement de
l'orientation de la politique monétaire. La Banque du Canada
a aussi laissé les taux inchangés, mais le gouverneur, Stephen
Poloz, avait une vision des choses plus optimiste, basée sur la
confiance accrue qu'il perçoit dans l'économie canadienne. Les
cours des catégories d'actifs sensibles aux fluctuations du taux
d'intérêt, comprenant les obligations d'État, les obligations de
sociétés de bonne qualité et à haut rendement, et les fiducies de
placement immobilier ont fortement baissé au cours de l'été
dans l'optique d'une augmentation des taux d'intérêt, avant de
remonter quelque peu à la fin du troisième trimestre. L'indice
obligataire universel DEX a gagné 0,1 % sur la période de trois
mois, même s'il a perdu 1,6 % depuis le début de l'année.
Actions canadiennes
L'indice composé S&P/TSX a affiché, au cours du troisième
trimestre, un gain de 6,3 % suite à l'annonce de la Réserve
fédérale américaine du maintien de son plan de relance qui a
propulsé brièvement l'indice à des sommets de deux ans. Cela
a ramené les gains de l'indice de référence canadien à 5,3 %
pour les neuf premiers mois de 2013. Malgré les résultats très
négatifs réalisés par le secteur des matières premières à la suite
d'une chute des cours des marchandises et de la hausse des
coûts pendant la plus grande partie de l'année, les cours des
actions ont augmenté tard dans le troisième trimestre et cela a
fait émerger des perspectives plus optimistes. Les actions du
secteur des services financiers ont aussi affiché des résultats
positifs, en raison surtout des bons bénéfices réalisés par les
principales banques canadiennes. Les secteurs des soins de
santé, des biens de consommation discrétionnaire et des services
financiers ont réalisé les meilleurs gains, alors que le secteur des
services publics a été le seul à avoir affiché des résultats négatifs
sur les trois mois.
Actions américaines
Le marché boursier américain a continué à afficher de bons
rendements pendant le trimestre. Après avoir atteint des
sommets en septembre, à la suite de la décision de la Réserve
fédérale de prolonger son programme d'assouplissement
quantitatif, l'indice de référence S&P 500 a terminé la période
avec un gain de 5,2 % et une augmentation de 19,8 % pour les
premiers neuf mois de 2013, en dollars américains. Les cours de
plusieurs actions donnant droit à des dividendes et celui des
actions plus sensibles aux taux d'intérêt ont baissé plus tôt
durant la période, mais ils ont été alimentés par la décision de
la Réserve fédérale vers la fin du trimestre. Les initiateurs des
gains réalisés par l'indice S&P 500 étaient les secteurs des
matières premières, des industries et des biens de
consommation discrétionnaire, alors que les secteurs des biens
de consommation de base, des services publics et des
télécommunications sont restés à la traîne.
Actions internationales
Les marchés boursiers internationaux ont aussi obtenu
d’excellents rendements au troisième trimestre. Malgré les
incessantes difficultés politico-fiscales auxquelles fait face la
zone euro, les indices boursiers européens, y compris ceux de
l'Allemagne, de la France et de l'Angleterre ont réalisé des gains
additionnels pour l'année. L'indice Nikkei au Japon a connu
une hausse de 5,7 % pendant le trimestre et a affiché les
meilleurs rendements parmi les principaux marchés mondiaux,
soit une hausse de 39,1 % depuis le début de l'année. D'autres
marchés asiatiques comme la Chine, Hong Kong et la Corée du
Sud ont aussi enregistré de bonnes performances, ce qui a
contribué à compenser les pertes subies plus tôt cette année.
Dans l'ensemble, l'indice mondial MSCI a enregistré un gain
de 6,0 %, en dollars canadiens.
Rendement du marché
Rendements globaux au 30 septembre 2013 en $ CA Cumul annuel 1 mois 3 mois 6 mois 1 an 3 ans 5 ans 10 ans
Indice DEX Universe Bond -1,6 % 0,5 % 0,1 % -2,3 % -1,3 % 3,5 % 5,6 % 5,2 %
Indice composé S&P/TSX 5,3 % 1,4 % 6,3 % 1,9 % 7,1 % 4,1 % 4,8 % 8,4 %
Indice S&P 500 23,8 % 0,5 % 3,0 % 9,7 % 24,8 % 16,2 % 9,4 % 4,7 %
Indice MSCI EAEO (Europe, Australie, Extrême-Orient) 20,5 % 4,7 % 9,2 % 12,2% 30,0 % 8,9 % 6,2 % 5,6 %
Thème mondial - Signature Gestion mondiale d'actifs
Portés par l'idée que la Banque centrale européenne a stabilisé les marchés de la dette souveraine, que l'Union européenne sort de
l'austérité et renoue avec la croissance, et que des progrès concrets ont été réalisés en ce qui concerne l'union fiscale, les investisseurs
ont lourdement investi dans les actions européennes, durant le trimestre. À Signature, nous sommes préoccupés par la dette
européenne qui a augmenté depuis deux ans et par l'exposition croissante du système bancaire à celle-ci. Entretemps, les risques
sociaux et politiques s'intensifient avec la réticence grandissante des pays qui forment le noyau dur économique à participer à la dette
des pays périphériques. Cette complaisance des investisseurs a réduit la pression pour des réformes supplémentaires.