4
II. L’éternité (109).
1. La définition thomasienne de l’éternité (109).
a) L’immutabilité divine comme l’horizon de l’éternité (109).
b) La reprise de la définition boécienne (111).
c) L’éternité n’est pas une durée (113).
d) L’exemplification unique de l’éternité : Dieu (115).
2. Le mouvement au sein de l’éternité (117).
a) La vie de Dieu (117).
b) La fécondité de l’esse purus (119).
c) Quidam circuitus (121).
d) Les processions divines (123).
3. L’éternité temporelle ? (126)
III. Les rapports entre l’éternité et le temps (129).
1. L’éternité et le temps comme relation de l’être et de l’étant (130).
a) L’éternité comme ipsum esse (130).
b) La présence de l’ipsum esse subsistens dans l’ens (132).
c) Le temps comme mode d’accès à l’ipsum esse subsistens (135).
d) Le temps comme horizon de l’accomplissement de l’étant (136).
e) L’ens temporel comme participation à l’esse ipsum subsistens éternel.
f) Le rapport de l’éternité et du temps comme la contraction de l’être à
l’égard de l’étant (145).
g) L’éternité comme pouvoir unificateur de la temporalité (147).
2. L’éternité et le temps dans le rapport entre l’intellectualité de l’esse divinum
et la rationalité de l’esprit humain (149).
a) La distinction entre intellectus et ratio (149).
α) Dieu éternel comme intellectus (151).
β) L’homme temporel comme ratio (153).
γ)Intellectus comme ratio (155).
b) La participation de la rationalité humaine à l’intellectualité divine.
c) La ratio humaine face à l’éternité : la constitution du temps à partir
de l’expérience du néant (160).
Chapitre III. L’interprétation de l’être, de l’éternité et du temps
dans la scolastique tardive (164).
I. L’obscurcissement de l’ « esse » dans l’école thomiste (165).
1. « Le fléchissement formaliste » de l’esse (165).
2. La rationalisation de l’esse (167).
3. L’interprétation de la notion de cause efficiente comme raison
suffisante (169).
II. Eternité et temps selon les scolastiques modernes (171).