La lettre du spécialiste N°1
Spécialiste du financement des équipement médicaux
cchwastek@infimed.eu
06 12 63 02 05
1. http://francais.medscape.com/voirarticle/3602064?nlid=97084_2401
2. http://francais.medscape.com/voirarticle/3601551?nlid=82544_2401
3. http://francais.medscape.com/voirarticle/3602158?nlid=100391_2401
Dr Lazescu Daniel
Ancien Interne des Hôpitaux de Grenoble
Ancien Assistant des Hôpitaux de Iasi
Ancien Chef de Clinique à la Faculté
Ancien Maître de conférence à la Faculté
DIU Cancérologie
CHIRURGIE GENERALE
COELIOSCOPIE
Comme techniques chirurgicales, deux ont fait leurs preuves au fil du temps. La première opération et la plus pratiquée
est celle de Nissen avec ses variantes. Son alternative reste l’opération de Toupet. L’opération de Nissen, surtout la
variante de Nissen Rossetti s’est imposée car la plus facile à faire et la plus reproductible. Son souci est le fait qu’après
celle-ci les patients ne peuvent plus roter ni vomir. L’opération de Toupet, dépourvue de ce genre de suites, reste une
alternative valable mais un peu plus longue à faire. Les autres opérations du genre Mark-Belsey IV, la fermeture de l’angle
du Hiss ou l’opération de Dorr sont très rarement pratiquées soit à cause de leurs complexité (l‘opération Mark-Belsey
nécessite un abord thoracique) soit à cause d’absence de résultat sur le long terme.
Les deux opérations les plus pratiquées peuvent être faites par un abord cœlioscopique. Celui-ci exige trois ou quatre
trous en losange dans la région épigastrique, dure entre 60 et 120 minutes et nécessite une hospitalisation de deux nuits.
La rémission des symptômes est immédiate et définitive. Seulement les gros efforts physiques sont susceptibles de
produire des récidives, la plupart sont suite à une déchirure des piliers du diaphragme et au passage du montage
chirurgical dans le thorax. Cette récidive est douloureuse et pousse le patient à consulter rapidement mais le reflux est
absent dans la majeure partie des cas parce que le montage reste efficace malgré son changement de position. La
reintervention se fait par l’installation d’une plaque prothétique, toujours sous cœlioscopie, comme pour les autres hernies,
pour empêcher le passage vers le thorax.
Les manifestations cliniques persistantes malgré le traitement de longue durée et bien conduit représentent une deuxième
indication pour la prise en charge chirurgicale. Normalement, au bout de six mois d’évolution sous IPP on doit arrêter ce
traitement car sa prolongation indéfinie n’est pas dépourvue d’effets adverses (1, 2, 3). Si la symptomatologie récidive
rapidement ou elle ne disparaît avec le traitement il faut envisager un geste chirurgical. La même attitude s’impose devant
une hernie hiatale par roulement douloureuse.
La lettre du sp
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1
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://francais.medsca
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Dr Lazescu Danie
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