DU
BON
USAGE DE L’INTERLINÉAIRE
Ne pas oublier que l’hébreu se lit de droite
à
gauche et qu’au-
dessous, le mot
à
mot français doit se lire parallèlement
à
l’hébreu, c’est-à-dire vers la gauche.
Quand un mot n’existe pas en français, nous plaçons au-
dessous trois étoiles
:
***.
Par exemple la particule eth
(ils),
introduisant le complément d’objet direct défini.
Quand un mot n’existe pas en hébreu, par exemple le verbe
être au présent, nous avons mis entre parenthèses le terme fran-
çais.
Quand la traduction de certaines prépositions hébraïques n’a
pas de sens en français, nous avons mis le mot en italique,
comme par exemple
h
dans certains cas.
Un nom singulier peut parfois s’accorder au pluriel, un nom
pluriel au singulier. Le nom en hébreu est parfois d’un genre
opposé en français. Dans ce cas, nous avons été contraints de
respecter les accords du français.
Nous ne mettons l’article en français que lorsque le nom est
déterminé en hébreu, ce qui est possible sans la présence de
l’article. Quand il
y
a deux noms en construction (génitif),
l’ensemble bénéficie de la détermination du second, le premier
nom ne prend jamais l’article. Si le deuxième terme est un nom
propre, il est déterminé sans article, de même s’il porte un
suffixe possessif.
Dans les cas de complément de nom (deux noms en cons-
truction), l’hébreu n’a pas de déclinaison (génitif) affectant le
deuxième terme, ni de particule comme
de
en français. Mais il
existe, lorsque le mot le permet, une flexion (contraction)
portant sur le premier terme.
Nous avons choisi, dans le mot
à
mot français, d’inscrire la
préposition
de
(absente en hébreu) sous le deuxième terme et
nous l’avons mise entre parenthèses.
En hébreu biblique, le sujet vient souvent après le verbe.
Nous avons mis un point d’exclamation après un verbe
à
l’impératif, pour éviter toute confusion avec d’autres modes. De
même, nous avons mis un point d’interrogation pour rendre la
particule interrogative
(;I)
préfmée.
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