Spinoza, l’amendement de l’intellect
Spinoza est un philosophe Hollandais (1632 – 1677), sa famille avait fuit en Hollande à cause des
inquisitions présente en Espagne et au Portugal. C’est d’ailleurs ce qui l’a poussé à avoir dans ça
philosophie une critique de la religion, sujet qu’il traitera d’ailleurs dans Traité théologico-politique.
Il est né dans une famille commerçante ce qui l’intéressait peu. Il pratiquait la philosophie à côté de
son métier de polisseur de verre.
Sa philosophie porte sur de nombreux domaines.
Dans le Traité de l’Amendement de l’Intellect on trouve un certain nombre de réflexion
philosophique.
Il rédige le Traité de l’Amendement de l’Intellect en 1661 et décède d’une pneumonie avant de l’avoir
terminé.
Steven Nalden a écrit une biographie, Spinoza, traduit par J.-F. Sené en 2003.
Dans Traité de l’Amendement de l’Intellect, Spinoza va décrire son projet philosophique et donne
tout d’abord une présentation de son projet.
Il montre d’abord une certaine déception de la vie. Il dit avoir surmonté sa crainte. Il fait, dans son
premier paragraphe, un exposé des sentiments humain. Ses craintes sont infondées mais il les
explique par le fait d’être affecté par les éléments extérieur.
Il réussira selon lui à surmonter ses peurs grâce à une activité. Il va alors se lancer dans une activité
de recherche. Son objet de recherche n’est pas matériel mais se défini plus comme un état de
bonheur est lié à un vrai bien, à une recherche de savoir et de vérité.
Ce vrai bien pourrait également se partager.
Cette vérité pourrait apporter une joie continuelle.
Cette recherche est la même que celle présente dans l’Ethique à Nicomaque d’Aristote.
Spinoza est confronté à une difficulté, un choix irrationnel (§2). Il se lance dans un défi qui présente
un risque.
Il doit abandonner ce que la plupart des gens recherchent lorsqu’ils cherchent à être heureux, soit la
richesse, l’honneur et la lubricité.
Il repasse alors en revu les définitions du bonheur les plus utilisées mais celles-ci ne lui conviennent
pas.
Il veut trouver une définition du bonheur sans avoir recourt à l’acquisition de ce que recherche les
autres.
Cela va l’amener à ne pas suivre la tendance ce qui est propre à la philosophie qui est souvent à
contre courant.
Il recherche le bonheur sans vouloir changer le cours de sa vie.