Groupe de travail 7 : Alimentation chez les enfants de 0 à 3 ans

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Groupe de travail 7 : Alimentation chez les enfants de 0 à 3 ans
A) Identification et situation de la problématique :
Sous-groupe 1 : allaitement maternel
La protection, la promotion et l’aide à l’allaitement maternel sont une priorité majeure de
santé publique. L’allaitement maternel est une façon naturelle pour nourrir les nourrissons
et les jeunes enfants. L’allaitement maternel exclusif pendant les six premiers mois de la
vie assure la croissance optimale, le développement et la santé.
De plus, l’allaitement maternel a un impact positif sur la santé de la femme et des enfants,
ceci conduit à abaisser les coûts de santé et à des niveaux plus bas d’inégalité sanitaire.
En Belgique, les données disponibles suggèrent qu’approximativement 70 % des femmes
nourrissent leurs enfants à la naissance et que près de 25% d’entre elles continuent à les
allaiter après trois mois, tant de façon occasionnelle qu’exclusive.
Tout porte à croire que - si un certain nombre de mesures ciblées sont mises en application
- les taux d’allaitement maternel, en termes de déclenchement et de durée, pourraient être
considérablement augmentés jusqu'aux niveaux actuellement observés dans les pays
européens nordiques.
Cependant, la collecte des données en Belgique dans ce domaine de santé publique est
incomplète et non standardisée. De plus, il n’y a pas de réelle politique nationale
concernant l’allaitement maternel.
Sous-groupe 2 : l’alimentation de substitution
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L'alimentation au cours des premiers mois de vie est très importante pour l'individu à
court et à long terme. Beaucoup de structures d’organes se développent encore vers
leur composition et leur fonction définitives au cours des premiers mois de vie.
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Il n’y a pas suffisamment de connaissance de la situation actuelle sur le plan de
l'alimentation de substitution chez les nourrissons (il y a bien sûr l’enquête sur les
habitudes alimentaires de la population belge dont les résultats seront bientôt
disponibles mais on a tenu compte des personnes de plus de 15 ans). Ceci a aussi pour
conséquence que l’adéquation entre les recommandations en la matière et la réalité est
insuffisante voire inexistante.
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L'alimentation de substitution n'est actuellement pas sous prescription médicale, ce qui
occasionne l’absence de conseils pertinents en la matière. En outre, l’information
disponible est incomplète pour le consommateur et le personnel soignant quant à
l’hygiène, comment utiliser le produit, quand donner le produit, etc. Le consommateur
recherche (et trouve) par conséquent lui-même l'information via les canaux alternatifs
(comme l'internet) qui n'est souvent pas exacte ou validée. En outre, dans ce domaine,
Important:
Les conclusions et recommandations reprises dans ces fiches sont le résultat des discussions qui ont eu lieu dans le cadre des travaux des
différents groupes de travail. Elles traduisent le consensus qui a été atteint au sein des groupes de travail par les experts délégués par les
différents acteurs de la société civile.
Il sera tenu compte de ces conclusions et recommandations lors de la rédaction du texte du Plan national Nutrition et Santé belge pour arriver
à une politique cohérente. Elles fixent la base qui repose sur l’engagement des différents acteurs de la société civile.
Ces conclusions et recommandations ne peuvent donc pas être considérées comme des recommandations concrètes pour la politique
nutritionnelle des Autorités belges. Le texte du Plan national Nutrition et Santé belge sera présenté en octobre aux acteurs de la société civile
afin qu’il soit soumis à une large consultation.
il y a une grande influence de la publicité et il n’y a pas de contrôle suffisant du
contenu de cette publicité.
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En ce qui concerne la qualité de l'alimentation (composition, fabrication, quantité,
hygiène...) l'incertitude règne.
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Il y a des imprécisions en ce qui concerne la supplémentation en vitamines (lesquelles,
combien, combien de temps, etc.).
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La formation et la formation permanente des prestataires de soins concernés
(médecins, diététiciens, infirmiers, pharmaciens, etc.) ont été développées
insuffisamment sur le plan de l'alimentation, ce qui engendre une mauvaise
implémentation des directives formulées par les experts par ces derniers qui sont de ce
fait moins bien armés pour formuler un avis critique sur les messages véhiculés par la
publicité.
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Il est un fait que les canaux de distribution (les grands magasins ou les pharmacies)
ont une forte influence sur le choix de l’alimentation.
Sous-groupe 3 : diversification de l’alimentation
L'alimentation dans les premières années de la vie, a de l'influence sur la santé à court et à
long terme. Il est maintenant acquis que l'alimentation à un âge précoce a un rôle à jouer
dans la prévention de maladies non-transmissibles (comme les affections cardiovasculaires, l’obésité, les diabètes, l’ostéoporose,…)
Les études épidémiologiques (au niveau belge et à l’étranger) ainsi que les observations
faites dans la pratique clinique des médecins de famille, des pédiatres et des diététiciens
tentent à montrer que :
- les jeunes enfants souffrent souvent d’une anémie due à une carence en fer. Il n'est
pas clair dans quelle mesure, des carences en d'autres micronutriments existent.
- le nombre d'enfants avec un surpoids entre 2 et 6 ans augmente rapidement
- le schéma alimentaire des jeunes enfants montre déjà des différences souvent
importantes vis-à-vis des recommandations, aussi bien sur le plan des produits
alimentaires, par exemple les légumes et les fruits, que sur le plan de nutriments.
Toutefois, pour une analyse approfondie de la situation, il y a un manque structurel de
données concernant les schémas alimentaires et également concernant les déterminants du
comportement de consommation.
Important:
Les conclusions et recommandations reprises dans ces fiches sont le résultat des discussions qui ont eu lieu dans le cadre des travaux des
différents groupes de travail. Elles traduisent le consensus qui a été atteint au sein des groupes de travail par les experts délégués par les
différents acteurs de la société civile.
Il sera tenu compte de ces conclusions et recommandations lors de la rédaction du texte du Plan national Nutrition et Santé belge pour arriver
à une politique cohérente. Elles fixent la base qui repose sur l’engagement des différents acteurs de la société civile.
Ces conclusions et recommandations ne peuvent donc pas être considérées comme des recommandations concrètes pour la politique
nutritionnelle des Autorités belges. Le texte du Plan national Nutrition et Santé belge sera présenté en octobre aux acteurs de la société civile
afin qu’il soit soumis à une large consultation.
B) Identification des facteurs causals les plus importants :
Sous-groupe 1 : allaitement maternel :
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Il n’y pas de politique nationale concernant l’allaitement maternel
Les mères et leur famille n'ont pas assez accès à une information de qualité élevée et
indépendante sur l'alimentation des bébés avant et après la naissance.
Il n’y pas assez de consultations en tête-à-tête fournie par le personnel soignant, les
conseillers en santé et les ONG actives auprès des futures mères, avant et après la
naissance.
la formation pour les professionnels de la santé sur les enjeux de l’allaitement
maternel est insuffisamment développée. Un espace important dans la formation
concerne des interventions pratiques efficaces pour prévenir et traiter les problèmes
qui peuvent survenir pendant l’allaitement.
les recommandations et les directives pratiques concernant l’allaitement maternel publiés par les associations professionnelles de santé – ne touchent pas suffisamment
les professionnels de santé concernés par cette matière.
Il n’y a pas assez d'information, d'éducation et de communication par les médias pour
favoriser l’allaitement maternel.
Il n’y a pas de législation qui permette aux mères qui travaillent, d’allaiter leurs bébés
exclusivement aux seins pendant les six premiers mois, et de continuer à allaiter audelà de six mois si elles le souhaitent.
Sous-groupe 2 : alimentation de substitution
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L’alimentation de substitution est une problématique complexe, qui évolue rapidement
et qui dès lors nécessite un suivi structurel spécifique
L’alimentation de substitution n’est momentanément pas sous prescription médicale
La formation des professionnels de santé montre souvent des lacunes dans le domaine
de l'alimentation. Il y a d'une part, un manque dans la formation initiale et dans la
formation continue, d'autre part.
Il y a un contrôle insuffisant de la publicité et/ou des allégations faites pour sur les
produits de ce type.
Il y a une connaissance insuffisante des prestataires de soins et a fortiori des
consommateurs.
Il n’y a pas d’autorité existante claire ou d'institution qui s'occupe spécifiquement et
suffisamment de cette question.
Sous-groupe 3 : diversification de la nourriture
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Il y a un manque de données nationales concernant le patron alimentaire des enfants
de cet âge et une cartographie des déterminants en jeu.
Important:
Les conclusions et recommandations reprises dans ces fiches sont le résultat des discussions qui ont eu lieu dans le cadre des travaux des
différents groupes de travail. Elles traduisent le consensus qui a été atteint au sein des groupes de travail par les experts délégués par les
différents acteurs de la société civile.
Il sera tenu compte de ces conclusions et recommandations lors de la rédaction du texte du Plan national Nutrition et Santé belge pour arriver
à une politique cohérente. Elles fixent la base qui repose sur l’engagement des différents acteurs de la société civile.
Ces conclusions et recommandations ne peuvent donc pas être considérées comme des recommandations concrètes pour la politique
nutritionnelle des Autorités belges. Le texte du Plan national Nutrition et Santé belge sera présenté en octobre aux acteurs de la société civile
afin qu’il soit soumis à une large consultation.
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Il semblerait que les enfants en dessous de trois ans consomment des produits
alimentaires qui ne sont pas appropriés à ce groupe d’âge. Les causes supposées de
cette mauvaise adéquation sont entre autres la grande diversité des produits
alimentaires disponibles et la publicité qui en est faite.
Il y a une connaissance insuffisante des notions de l’alimentation saine par les parents
qui sont responsables de l'alimentation de l’enfant.
Les enfants ont rarement un patron alimentaire clairement défini (moment et fréquence
des repas, le nombre de repas, le lieu et l'entourage où les repas sont consommés, etc..)
Important:
Les conclusions et recommandations reprises dans ces fiches sont le résultat des discussions qui ont eu lieu dans le cadre des travaux des
différents groupes de travail. Elles traduisent le consensus qui a été atteint au sein des groupes de travail par les experts délégués par les
différents acteurs de la société civile.
Il sera tenu compte de ces conclusions et recommandations lors de la rédaction du texte du Plan national Nutrition et Santé belge pour arriver
à une politique cohérente. Elles fixent la base qui repose sur l’engagement des différents acteurs de la société civile.
Ces conclusions et recommandations ne peuvent donc pas être considérées comme des recommandations concrètes pour la politique
nutritionnelle des Autorités belges. Le texte du Plan national Nutrition et Santé belge sera présenté en octobre aux acteurs de la société civile
afin qu’il soit soumis à une large consultation.
C) Objectifs dans le cadre du PNNS
Sous-groupe 1 : allaitement maternel
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Maximiser le taux de déclenchement d'allaitement maternel et la durée de celui-ci en
fonction des recommandations internationalement admises.
Augmenter le taux d'allaitement maternel à 3 mois de 25% à 50% d’ici 2010.
(L’objectif final étant d’atteindre les taux actuellement observés chez les Suédois aussi
tôt que possible et de toute façon par l'année 2015).
L ‘implémentation complète de la loi du 27 septembre 1993 sur la commercialisation
du lait de substitution au lait maternel.
L’établissement du statut de "Baby Friendly Hospital" dans au moins 25% des
hôpitaux d’ici 2010 (actuellement, il n'y a aucun hôpital comme tel en Belgique).
Sous-groupe 2 : alimentation de substitution
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L’information tant vers les professionnels que vers les parents, doit venir d’une source
scientifique indépendante du secteur commercial
Mettre sous le régime de la prescription médicale, l’alimentation de substitution pour
les premiers mois de vie (0 jusqu'à 6 mois) (ou une alternative serait d’autoriser le
"secteur préventif" à prescrire cette alimentation).
Optimaliser la qualité et la sécurité de l’allaitement maternel
Modifier l’étiquetage concernant le volume des biberons
Fournir des directives claires reposant sur une base scientifique large
Sous-groupe 3 : diversification de l’alimentation
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Répertorier les habitudes alimentaires de ce groupe d'âge, rechercher les points
critiques et prendre les initiatives nécessaires pour corriger ces points. Une activité
semblable doit se faire de façon systématique et continue.
Restauration des modèles de repas classiques en lien avec la famille
Améliorer la connaissance concernant l'alimentation (saine) auprès de tous groupes
professionnels qui entrent en contact avec les enfants de ce groupe d'âge
Important:
Les conclusions et recommandations reprises dans ces fiches sont le résultat des discussions qui ont eu lieu dans le cadre des travaux des
différents groupes de travail. Elles traduisent le consensus qui a été atteint au sein des groupes de travail par les experts délégués par les
différents acteurs de la société civile.
Il sera tenu compte de ces conclusions et recommandations lors de la rédaction du texte du Plan national Nutrition et Santé belge pour arriver
à une politique cohérente. Elles fixent la base qui repose sur l’engagement des différents acteurs de la société civile.
Ces conclusions et recommandations ne peuvent donc pas être considérées comme des recommandations concrètes pour la politique
nutritionnelle des Autorités belges. Le texte du Plan national Nutrition et Santé belge sera présenté en octobre aux acteurs de la société civile
afin qu’il soit soumis à une large consultation.
D) Recommandations pour atteindre les objectifs
Sous-groupe 1 : allaitement maternel
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Développer une politique nationale complète sur l’allaitement maternel
Créer une agence responsable du développement, de l'exécution et du suivi de cette
politique nationale (de préférence en collaboration directe avec K&G et ONE)
Mettre sur pied un système standard pour la collecte et la diffusion précises, adéquates
et complètes des données sur les taux d’allaitement maternel à différents âges, en
utilisant des définitions universellement reconnues. Ce système devrait également
monitorer les déterminants en cause dans le comportement d'allaitement maternel dans
la population générale.
Encourager les associations professionnelles à publier des recommandations
spécifiques et des directives pratiques basées sur les politiques nationales et à
encourager leurs membres à les suivre.
Développer des campagnes de promotion de l’allaitement maternel efficaces dans les
médias (l'influence des spots publicitaires sur certaines femmes est importante).
Développer dans les programmes des cours universitaires des professionnels de la
santé, une norme minimum (contenu, méthodes, temps) concernant la formation sur la
gestion de l’allaitement maternel et de la lactation.
Permettre au personnel soignant et aux ASBL actives dans les soutiens des mères
d'augmenter leurs qualifications et connaissances dans l’information fournie en tête-àtête.
Intervenir dans les frais liés à la consultation de professionnels de l’allaitement
maternel par les mères.
Surveiller les actions commerciales des firmes vers les professionnels de santé pour
s'assurer que l'information qu'elles obtiennent est effective, objective et scientifique.
Le but final étant d'obtenir la pleine exécution du Code International du marketing des
produits de substitution du lait maternel.
Prolonger et augmenter les mesures pour s'assurer que les hôpitaux ont les moyens
d'obtenir le label "hôpital ami des bébés" et assurer une reconnaissance des efforts
faits par les maternités essayant d'obtenir ce label.
Rendre le système de congé parental plus accessible à tous les travailleurs, hommes et
femmes, dans tous les secteurs d'activité, en réduisant les conditions pour en
bénéficier, en augmentant sa longueur (minimum 6 mois) et en augmentant l'allocation
donnée au travailleur.
Donner aux parents avant et après une information factuelle et précise sur un régime
équilibré
Créer des incitants pour une consultation diététique pré- et postnatale.
Important:
Les conclusions et recommandations reprises dans ces fiches sont le résultat des discussions qui ont eu lieu dans le cadre des travaux des
différents groupes de travail. Elles traduisent le consensus qui a été atteint au sein des groupes de travail par les experts délégués par les
différents acteurs de la société civile.
Il sera tenu compte de ces conclusions et recommandations lors de la rédaction du texte du Plan national Nutrition et Santé belge pour arriver
à une politique cohérente. Elles fixent la base qui repose sur l’engagement des différents acteurs de la société civile.
Ces conclusions et recommandations ne peuvent donc pas être considérées comme des recommandations concrètes pour la politique
nutritionnelle des Autorités belges. Le texte du Plan national Nutrition et Santé belge sera présenté en octobre aux acteurs de la société civile
afin qu’il soit soumis à une large consultation.
Sous-groupe 2 : alimentation de substitution
Une attention plus poussée sur cette problématique dans la formation et la formation
continue des prestataires de soins aussi bien dans le secteur préventif que curatif
(médecins, infirmiers, pharmaciens, diététiciens, etc.).
L'information des parents, dans le cadre de la législation (vb. pas de sucrose, les
informations au sujet de la fréquence et du volume alimentation). Pas d’information sur
les produits.
Règlementer la prescription médicale (la prescription pour l’alimentation de départ est un
"acte médical", mais accessible au secteur préventif)
Ces recommandations doivent reposées sur une connaissance théorique et pratique, et
doivent être formulées par un conseil indépendant scientifique ("nutrition board").
Ce « nutrition board » doit donc disposer des moyens financiers pour pouvoir informer et
pour acquérir une connaissance épidémiologique.
Le « nutrition board » doit être supporté par une large base, y compris Kind en
Gezin/ONE et d'autres associations qui défendent l'alimentation et la santé de ce groupe
d'âge
("Folia Farmaceutica" est un bel exemple concernant les médicaments, on pourrait
imaginer quelque chose dans le genre "Folia Alimentaria ..." pour l'alimentation.)
Sous-groupe 3 : diversification de l’alimentation
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Collecte standardisée systématique des données en ce qui concerne le patron
alimentaire des enfants et les déterminants définissant ce patron
Recherche systématique et standardisée des dysfonctionnements et des déficits dans
l'alimentation et la prise des mesures pratiques nécessaires pour corriger ceux-ci
Informer de façon détaillée la population sur ce qu’est une alimentation saine pour cet
âge
Former les professionnels du secteur de santé de la petite enfance et le personnel
éducatif sur les principes de l'alimentation équilibrée saine, selon l'âge, de manière
adaptée en intégrant cette formation dans les différents programmes de cours (aussi
bien dans la formation initiale que dans l'enseignement qui suit).
Intensifier le contrôle de la publicité pour les denrées alimentaires
Diminuer le seuil des consultations chez les diététiciens pour le suivi alimentaire des
enfants
Fonder un "Nutrition board" composé de pédiatres avec une expérience dans le
domaine de la nutrition, de diététiciens pédiatriques, d’experts en communication,
d’experts en Santé Publique, … qui peuvent formuler des recommandations sur
l'alimentation des enfants et la manière adéquate pour les implémenter.
Important:
Les conclusions et recommandations reprises dans ces fiches sont le résultat des discussions qui ont eu lieu dans le cadre des travaux des
différents groupes de travail. Elles traduisent le consensus qui a été atteint au sein des groupes de travail par les experts délégués par les
différents acteurs de la société civile.
Il sera tenu compte de ces conclusions et recommandations lors de la rédaction du texte du Plan national Nutrition et Santé belge pour arriver
à une politique cohérente. Elles fixent la base qui repose sur l’engagement des différents acteurs de la société civile.
Ces conclusions et recommandations ne peuvent donc pas être considérées comme des recommandations concrètes pour la politique
nutritionnelle des Autorités belges. Le texte du Plan national Nutrition et Santé belge sera présenté en octobre aux acteurs de la société civile
afin qu’il soit soumis à une large consultation.
E) Parties prenantes (stakeholders)
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Autorité publique
Consommateurs
Professionnels de la santé dans le secteur préventif et curatif
L’industrie alimentaire
Les instituts scientifiques
Les centres de formation pour les professionnels de la santé
Les organisations professionnelles (tant publiques que privées) qui ont des activités
dans le domaine de la nutrition et de la santé des enfants
Important:
Les conclusions et recommandations reprises dans ces fiches sont le résultat des discussions qui ont eu lieu dans le cadre des travaux des
différents groupes de travail. Elles traduisent le consensus qui a été atteint au sein des groupes de travail par les experts délégués par les
différents acteurs de la société civile.
Il sera tenu compte de ces conclusions et recommandations lors de la rédaction du texte du Plan national Nutrition et Santé belge pour arriver
à une politique cohérente. Elles fixent la base qui repose sur l’engagement des différents acteurs de la société civile.
Ces conclusions et recommandations ne peuvent donc pas être considérées comme des recommandations concrètes pour la politique
nutritionnelle des Autorités belges. Le texte du Plan national Nutrition et Santé belge sera présenté en octobre aux acteurs de la société civile
afin qu’il soit soumis à une large consultation.
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