- Que le produit ne puisse pas pouvoir être acheté à ce prix
- Que les clientèles de ce marché doivnt avoir des élasticité prix différentes
Donc les marchés doivent être cloisonnés.
Ces conditions expliquent pourquoi la monopolisation est plsu fréquente dans des marchés
où les produits sont individualisables.
C’est pouvoir s’approprier le surplus du consommateur unité après unité = situation de
discrimination du consommateur.
II – Le duopole, situation entre le monopole et l’oligopole
C’est lorsque deux producteurs indépendant s’approvisionnent le marché et cherchent
à maximiser leur profit. Les producteurs peuvent influer par les quantités offertes le prix du
marché mais ils ne sont pas en situation de monopole parce qu’ils se concurrencent
mutuellement et doivent tenir compte du comportement des autres. Les idées que se font
chacun des agents sur les autres, c'est à dire des conjectures, sont très importants.
Cournot, deux sources s’affrontent pour vendre de l’eau minérale à des qualités
similairs = situation d’équilibre non coopératif. Chaque producteur prend en compte s
décision en fonction de l’autre, c’est une anticipation passive. Chaque entreprise suppose que
le prix de production du concurent n’ets pas affecté par ses chgts propres de production. Ce
sont des anticipations passives parce qu’ils ne réagissent pas à des. Deux producteurs se
livrent à une concurre,ce par la quantité en considérant le comportement de l’autre comme
un facteur exogène. Donc pour chaque niveau de production B, l’entreprise A décide de sa
production qA qui maxise sont profit : c’est la fonction de réaction du duopoleur A par rapport
au duopoleur B. Un équilibre de Nash existe lorsque les deux courbes de réaction se coupent :
les quantités anticipées sont exactement gales aux quantités produites, ce qui leur permet de
maximiser leur profit. Le modèle du duopole de Cournot est très classique mais du point de
vue de la portée heuristique est assez faible : il suppos que chacune des 2 entreprises est
incapable d’anticiper l’attitude de la firme rivale même après avoir étudié cette attitude sur
un grand intervalle de temps long. Lhypothèse adoptée ici, d’adaptation passive.
Il y a aussi le duopole de Stackelberg : une entreprise est en situation de dominance par
rapport à l’autre : un duopole est le leader par rapport à l’autre qui est le suiveur. Le leader a
des infos que n’a pas son concurrent. Cette connaissance permet au leader permet d’anticiper
parfaitement le comportement du suiveur. En général, le leader obtient des profits supérieurs
à celui de Cournot et le suiveur, inférieur. De la même manière, le suiveur n’apprend ici jamais
de ses erreurs.
Duopole de Bertrand : une situation où le duopoleur ne se fait qu’une guerre des prix.
Ici, les conjectures portent sur le prix qui va être prit par l’autre. Chacun considère la décision
de l’autre comme une donnée et on peut montrer que si les deux firmes ont le même coût
marginal, l’équilibre est atteint lorsque les deux firmes pratiquent un prix égal à son coût
marginal. On retrouve ici les situations concurrentieles mais ce n’ets valable que si les prix
sont égaux aux coûts marginaux.
III – l’oligopole
Les entreprises peuvent se livrer à une guerre des prix pour gagner des parts de
marché ou s’entendre pour créer des cartels. Lorsque les entreprises ne coopèrent pas entre
elles, on arrive rarement à une situation optimale. Les entreprises passent un accord qui est
implicite entre elles en s’entendent sur les quantités et donc sur les prix. Exemple : l’OPEP, ils
s’entendent sur les quantités produites pour impacter les prix. Chacun essaie de maximiser