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18-avr.-17 - Page 4 sur 5
a) On choisit un élève au hasard. Cette information indique que l’expérience est une situation
d’équiprobabilité. Il y a 30 élèves dans la classe, donc 30 choix possibles, tous les élèves
ayant la même probabilité d’être choisis.
L’événement F « cet élève est une fille » compte 8 choix favorables, donc :
p(F) = =
b) Sur les 30 élèves de la classe, il y a 18 garçons de 15 ans donc la probabilité de l’événement
H « cet élève est un garçon de 15 ans » est : p(H) = =
c) On choisit une élève au hasard. Dans ce cas, on ne s’intéresse qu’au groupe (à l’ensemble)
des filles. Il y a donc 8 choix possibles.
L’événement K « c’est une fille de 15 ans » compte 6 cas favorables, donc :
p(K) = =
IV. FREQUENCES ET PROBABILITE
La notion de fréquence est importante dans le domaine statistique car c’est un indicateur
intéressant pour comparer des éléments d’un même ensemble.
Si un événement se produit plus fréquemment qu’un autre, il est plus important.
Exemple :
Dans une classe, lors d’un contrôle (de maths, bien sûr !), on a relevé les notes suivantes :
11 ; 9 ; 12 ; 13 ; 12 ; 10 ; 14 ; 13 ; 11 ; 13 ; 12 ; 1 ; 12 ; 11 ; 10 ; 9 ; 12 ; 13 ; 8 ; 14 ;
8 ; 13 ; 19 ; 12 ; 13 ; 9 ; 11 ; 10.
L’ensemble de ces constatations représente la statistique de ce contrôle.
Pour faciliter l’analyse des résultats obtenus, on regroupe les notes de même valeur dans un
tableau en indiquant l’effectif (le nombre) de chaque note.
On constate que certaines notes sont plus représentées que d’autres. Leur fréquence est plus
grande.
On calcule la fréquence d’une note en calculant le quotient de l’effectif de cette note par le
total de l’effectif.
Par exemple : la note 12 apparaît 6 fois, donc sa fréquence est égale à : = 0,214 au millième
près.