Per opératoire :
- présence de l’anesthésie (anesthésie courte qui s’élimine vite, dure environ 10 min)
- souvent le patient est attaché
- bien nettoyer les tempes du patient
- puis on applique un gel conducteur sur les tempes et on lui colle une électrode sur
chaque tempe
- le psychiatre appuie sur le bouton et envoie la quantité favorable au patient
- l’IDE chronomètre
Post opératoire :
- le patient se réveil en général dans les 10 min.
- rassurer le patient (amnésie de quelques heures)
- lui ré expliquer ce qui vient de se passer, le patient est dans un état sub-confusionnel
- l’IDE doit évaluer cet état
Repère :
Redonner au patient ses repères : lui expliquer ou il se trouve, resituer le contexte,
lui repréciser que cela fait partir intégrante de son traitement et enfin ré ouvrir le dialogue
avec le patient.
NB : vérifier les paramètres vitaux toutes les 10 minutes
→ le patient peut être bradycarde ou tachycarde
→ c’est l’anesthésiste qui donne son feu vert ½ heure ou une heure après pour que
le patient retourne dans sa chambre
→ ramener le patient en chambre avec un fauteuil ou un lit roulant
→ si le patient à nausée, vomissement, maux de tête c’est une urgence
= trouble cérébraux
Les incidents qui peuvent survenir lors d’une séance de sysmothérapie :
- brûlures : si l’on ne met pas assez de gel sous les électrodes
- morsure : si le morse n’est pas adapté
- fracture des dents : si le morse n’est pas adapté
- autres chocs/contracture musculaire : si le patient est trop agité
Donner le repas au patient une à deux heure après son retour de sa séance.
Evaluer l’efficacité du traitement :
- écouter
- observer
- échanger
- attitude
- comportement
- le patient se prend en charge pour les auto-soins
- l’intérêt du patient augment pour les activités de la vie quotidienne
- le patient ne rejette pas la présence des soignants