Symposium La psychologie positive en français La psychologie positive est bien vivante du côté francophone! Ce symposium présente des communications sur la recherche et de la pratique en psychologie positive. Les présentatrices et les présentateurs sont tous des francophones qui travaillent au Québec, au Nouveau-Brunswick ou en France dans des domaines divers : psychothérapie, psychologie générale, éducation, psychologie communautaire ou du sport, etc. Cette activité vise à partager le fruit de leur réflexion, mais aussi à générer un sentiment d’appartenance entre francophones qui ont un intérêt pour la psychologie positive. Présentations 1. Quelques implications sociales et politiques de la psychologie positive, Jacques Lecomte 2. L'expérience vécue du stress-coping chez des étudiants universitaires: avenues prometteuses en psychologie positive, Renée Guimond-Plourde 3. Promouvoir l’épanouissement des personnes handicapées. Exploration du bien-être et des conditions favorables en ressources d’hébergement, Simon Coulombe 4. L’intégration de la psychologie positive dans les institutions scolaires, Julie Bazinet PAUSE 5. Comment maximiser la mobilisation de connaissances en psychologie positive lorsque transmises dans un contexte d’enseignement, Caroline Marion 6. Optimisme, quelle place et quelle réalité? Charles Martin-Krumm 7. Description de ma conscience réflexive dans ma pratique de psychothérapie, Karine Morin 8. L’art-thérapie et la psychologie positive: ensemble pour favoriser une expérience humaine positive, Jacinthe Lambert PAUSE 9. Évaluation développementale d’un atelier visant l’intégration de principes de psychologie positive dans le quotidien des participants, Martin Benny et Jean-François Villeneuve 10. Mesure de l’utilité du fil d’Ariane : un instrument visant à favoriser la résilience en réadaptation, Gabriel Mélançon 11. Le rôle des besoins psychologiques fondamentaux de la théorie de l’auto-détermination auprès des personnes vulnérables au suicide en recherche d’aide virtuelle, Marie-Josée Girard 12. L’expérience subjective du bonheur chez les gens heureux, Mélanie Veilleux 13. Malade et… heureux? Lucie Mandeville Description détaillée Titre : Quelques implications sociales et politiques de la psychologie positive Présentateur : Jacques Lecomte, PhD en psychologie, est présentement en préparation d'Habilitation à diriger des recherches en sociologie. Il a été chargé de cours à l'université Paris Ouest Nanterre la Défense. Il est président d’honneur de l’Association française et francophone de psychologie positive. Description : Cette communication s’appuie sur la définition tridimensionnelle de la psychologie positive proposée par Gable et Haidt (2005) : « l’étude des conditions et processus qui contribuent à l’épanouissement ou au fonctionnement optimal des individus, des groupes et des institutions ». Elle résumera des recherches empiriques montrant l’impact 1) de l’empathie en médecine et en justice, 2) de la coopération à l’école et dans le respect de l’environnement, 3) de la confiance en entreprise. Une double conclusion sera formulée : 1) en amont, concernant une anthropologique philosophique, selon laquelle l’être humain est un être de relation, ayant une appétence vers la satisfaction conjointe des intérêts d’autrui et de ses intérêts propres ; 2) en aval, sur la possibilité que les connaissances acquises puissent servir de fondements à des politiques publiques. Titre : L'expérience vécue du stress-coping chez des étudiants universitaires: avenues prometteuses en psychologie positive Présentatrice : Renée Guimond-Plourde, PhD, est professeure-chercheure au secteur éducation et lettres de l’Université de Moncton campus d’Edmundston. Ses principaux thèmes d’enseignement, de recherche et de publication gravitent autour de l’éducation pour la santé, du stress chez les élèves et les étudiants et de l’utilisation de la visualisation en milieu éducatif. Description : Cette communication s’inspire d’une étude conduite auprès de jeunes (22-24 ans) inscrits dans un parcours d’études universitaires de premier cycle. Plus spécifiquement, cette recherche phénoménologique-herméneutique met l’accent sur la compréhension du sens que les jeunes en santé donnent à leurs multiples expériences du stress vécues et comment ils les gèrent. Suite à l’analyse/interprétation de leur récit de vie, la dimension de la spiritualité permet d’enrichir la compréhension du phénomène du stress-coping en ouvrant une fenêtre sur une réalité humaine dans son unicité mouvante. Elle permet, entre autres, de gérer les évènements déstabilisants par les réponses qu’elle offre à leur question de sens. Bref, ces jeunes savent être les artisans de leur destinée. Leurs paroles contribuent à la fécondité du discours en psychologie positive éclairant les dimensions de la résilience et du bonheur. Titre : Promouvoir l’épanouissement des personnes handicapées. Exploration du bien-être et des conditions favorables en ressources d’hébergement. Présentateurs : Simon Coulombe est candidat au PhD en psychologie, à l’Université du Québec à Montréal. Il s’intéresse à la contribution de l’environnement résidentiel au fonctionnement optimal de personnes handicapées en ménage familial ou en ressource d’hébergement. Les forces de caractère et projets personnels sont aussi au cœur de ses travaux. Sylvie Jutras est professeure en psychologie à l’UQAM. Elle étudie le bien-être des personnes vivant avec une incapacité physique ou un problème de santé, dans une optique de psychologie positive et en partenariat avec le milieu professionnel ou communautaire. Kathleen Taupier est formée en travail social. Elle est adjointe clinico-administrative au programme des ressources sociorésidentielles du Centre de réadaptation Lucie-Bruneau. Elle collabore à des recherches sur le bien-être des personnes vivant dans les ressources d’hébergement du Centre. Description : Le bien-être des résidents est visé en ressource d’hébergement (Zimmerman et al., 2008). Cependant, on ignore comment il est perçu par les intervenants auprès de résidents handicapés. Méthode. Des entrevues (1 h) avec 22 intervenants, sur leur conception du bien-être des résidents et les conditions favorables à l’épanouissement, ont fait l’objet d’une analyse de contenu. Résultats. Dans la conception, les états émotionnels dominent, suivis des relations sociales, des manifestations physiques, des projets et des forces (Peterson & Seligman, 2004). Comme conditions favorables, les intervenants évoquent leur soutien et leurs qualités, et des caractéristiques organisationnelles et environnementales. Les chi-carré montrent que les conditions perçues varient selon la conception du bien-être. Conclusions. L’étude fait ressortir les similitudes et distinctions de la conception des intervenants avec les modèles courants (Keyes, 2002; Seligman, 2011) et les perceptions de résidents (étude en cours). Dans un partenariat, ces résultats serviront à améliorer des ressources d’hébergement. Titre : L’intégration de la psychologie positive dans les institutions scolaires Présentatrice : Julie Bazinet, M. Ed., enseignante depuis 18 ans, co-auteure du matériel pédagogique « Les Multibrios », approche intégrant les intelligences multiples, formatrice auprès d’enseignants, titulaire d’une formation en gestion mentale et d’une maîtrise en éducation portant sur l’intégration de la psychologie positive auprès des élèves et des enseignants. Description : Les ressources intellectuelles ne suffisent plus pour mener une vie épanouie et satisfaisante (Yeager, Fisher et Shearon, 2011) et les recherches scientifiques démontrent que nous avons du pouvoir sur notre degré de bien-être jusqu’à l’ordre de 40% (Lyubomirsky, 2008). De ce fait, l’augmentation de cas d’élèves anxieux, stressés ou dépressifs prouve le besoin grandissant d’offrir des outils développant les compétences de bien-être et de fonctionnement optimal chez les élèves. Depuis maintenant deux ans, j’interviens auprès des élèves du préscolaire et de 4e, 5e et 6e année afin de les aider (et aider les enseignants par le fait même) à intégrer la psychologie positive dans leur vie quotidienne. Dans cette présentation, je dresserai un portrait global des activités réalisées suscitant des émotions positives et reposant sur les forces de caractère de Peterson et Seligman (2004) afin d’augmenter le degré de bien-être de chacun et ainsi favoriser la réussite éducative. Titre : Proposition et validation d’un modèle de transfert de connaissances issues de la recherche en éducation Présentatrice : Caroline Marion est candidate au PhD en éducation, à l’Université du Québec à Montréal. Outre des cours dispensés sur le thème du bonheur, elle enseigne en contexte universitaire l’exploitation de stratégies pédagogiques et de techniques SAS maximisant l’intégration de connaissances pour des apprenants. Description : La psychologie positive est définie par Gable et Haidt (2005) comme « l’étude des conditions et processus qui contribuent à l’épanouissement ou au fonctionnement optimal des individus, des groupes et des institutions ». La transmission des connaissances reliées à ce champ en contexte de cours peut être particulièrement porteuse pour des personnes. Or, des données provenant du domaine des sciences de l’éducation et de la thématique associée au transfert de connaissance (TC) rendent compte des limites des formations axées sur une perspective de transmission. À cet effet, l’utilisation de stratégies pédagogiques ainsi qu’une prise en compte des facilitateurs du TC peuvent permettre de maximiser l’enseignement de connaissances en psychologie positive. L’idée étant qu’elles soient intégrées de manière plus approfondie et mobilisables plus directement dans l’action pour le mieux-être des personnes. Titre : Optimisme, quelle place et quelle réalité ? Présentateur : Charles Martin-Krumm, PhD, est maître de conférences à l’Université de Bretagne Occidentale. Il a enseigné l’éducation physique et sportive au sein d’établissements scolaires difficiles. Ses recherches portent sur la motivation, l’optimisme, la capacité de l’individu à rebondir après échec, ainsi que l'épuisement professionnel, l’espoir et le bien-être. Il est l’actuel président de l’Association française et francophone de psychologie positive et membre du conseil d’administration de l’International positive psychology association. Description : L’optimisme est une variable à laquelle on se réfère souvent dès lors qu’il est question de confiance en l’avenir, dans les domaines de l’éducation, de la politique, de l’économie, du sport ou de la santé. Elle semble aisée à appréhender. Pourtant, elle peut s’avérer complexe, à la fois dans ses conceptualisations, et dans ses effets. L’objet de cette présentation est de proposer différentes conceptions de cette variable, selon deux approches, directe et indirecte, et de proposer différents types d’effets montrant qu’elle peut être parfois effectivement déterminante, même si elle s’avère aussi difficile à capturer selon les cadres d’analyse. Titre : Description de ma conscience réflexive dans ma pratique de psychothérapie Présentatrice : Karine Morin est candidate au DPs en psychologie clinique, à l’Université de Sherbrooke. À titre d’enseignante, de formatrice et de conférencière, Karine est reconnue pour sortir des sentiers battus avec humour, créativité et authenticité. Description : À partir d’une recherche praxéologique menée à la première personne, il m’a été possible d’observer mon processus de conscience réflexive dans ma pratique de psychothérapie et de le décrire. Cette courte présentation me permettra de présenter les principales dimensions qui composent mon processus de conscience réflexive et ce, à partir d’exemples concrets. Ma conscience réflexive s’est révélée être une démarche orientée vers une meilleure cohérence personnelle, relationnelle et professionnelle ainsi qu’un outil de développement personnel et professionnel. Ces aspects seront abordés sous l’angle du développement professionnel pour toute personne qui travaille en relation d’aide. Titre : L’art-thérapie et la psychologie positive: ensemble pour favoriser une expérience humaine positive. Présentatrice : Jacinthe Lambert, DPs, ATPQ. Psychologue et art-thérapeute professionnelle. Professeure et coresponsable aux programmes de deuxième cycle en art-thérapie à l’Université du Québec en Abitibi-Témiscamingue (UQAT). Vice-présidente à l’Association des art-thérapeutes du Québec (AATQ) Description : La communication vise à décrire, à l’aide de vignettes cliniques, des stratégies artthérapeutiques qui suscitent une expérience humaine positive et à exposer comment appliquer ces stratégies auprès des personnes qui consultent en psychothérapie. Les stratégies artthérapeutiques sont regroupées autour des trois composantes de l’expérience humaine positive : la vie plaisante, la vie engagée et la vie significative. Les interventions art thérapeutiques positives mettent en valeur les émotions positives (vie plaisante), les forces de caractère et les expériences optimales (vie engagée) ainsi que le sens à la vie (vie significative).Tout comme les tenants de la psychologie positive, l'art-thérapie mise sur ce qu’il y a de meilleur chez l’être humain. Ensemble, elles offrent des alternatives intéressantes et des opportunités efficaces pour améliorer la qualité et la satisfaction de vie. Ainsi, la personne qui utilise les médias artistiques pour exprimer ses expériences, ses émotions, pour développer ses talents et se sentir mieux, s’engage dans un processus de changement positif et vers un déploiement de ses forces de vie. Titre : Évaluation développementale d’un atelier visant l’intégration de principes de psychologie positive dans le quotidien des participants Présentateurs : Martin Benny, PhD, est professeur de psychologie au Collège Montmorency. Il a aussi enseigné la prévention et la promotion de la santé au département de psychologie de l’Université de Montréal. Jean-François Villeneuve, MPs. Candidat au DPs en psychologie clinique, à l’université de Sherbrooke. Il est psychologue clinicien. Il anime aussi depuis plus de 15 ans des ateliers et des conférences sur la santé psychologique, l’équilibre de vie et la modification des habitudes de vie. Description : Sin et Lyubomirsky (2009, p. 483) notent que la poursuite d’exercices après une intervention prédit de plus grandes améliorations dans le niveau de bien-être et dans les symptômes dépressifs. Par ailleurs, Boniwell (2012, p. 185) observe que plusieurs recherches ont mesuré l’efficacité d’exercices isolés, mais plus rarement une combinaison d’activités visant à favoriser le bien-être par divers mécanismes. L’atelier développé (8 rencontres de 2h30 chacune) repose sur une telle combinaison tout en visant non seulement l’enseignement, mais aussi l’intégration dans le quotidien de principes de psychologie positive. Nous présenterons une évaluation développementale (Patton, 2008) visant à améliorer l’atelier par l’analyse qualitative de témoignages des participants aux premières cohortes de l’atelier. Titre : Mesure de l’utilité du fil d’Ariane : un instrument visant à favoriser la résilience en réadaptation Présentateur : Gabriel Mélançon est candidate au DPs en psychologie clinique, à l’Université de Sherbrooke. À travers son parcours académique, il en est venu à s’intéresser, entre autres, à la notion de résilience auprès des victimes d’accidents routiers ou du travail auprès de personnes souffrant de blessures orthopédiques graves. Dans le cadre de sa pratique, il travaille actuellement au Centre de réadaptation Estrie, à Sherbrooke, où il intervient auprès de cette clientèle. Description : À la suite d’accidents, les victimes de traumatismes physiques graves doivent souvent faire des deuils importants dans différentes sphères de leur vie, dont au niveau physique, psychologique, occupationnel et interpersonnel. La réadaptation qui s’ensuit peut paraitre dénuée de sens pour plusieurs d’entre eux, ce qui contribue au développement de différentes difficultés psychologiques. Toutefois, d’autres victimes semblent faire preuve de résilience, définie comme le résultat d’un processus adaptatif d’une personne qui maintient un niveau de fonctionnement relativement stable et sain après avoir été exposé à l’adversité. Dans le prolongement des études récentes sur le sujet, le Centre de réadaptation Estrie (CRE) a créé un instrument, le Fil d’Ariane, afin de favoriser la résilience de leurs usagers et, plus particulièrement, de faciliter la recherche de sens, soit la démarche visant à trouver une utilité, une mission, un but ou une importance à leur existence. Cette présentation a pour but de présenter les résultats d’une thèse ayant comme objectif d’explorer les impacts du Fil d’Ariane sur la résilience chez une population adulte en réadaptation souffrant d’une blessure orthopédique grave suite à un accident routier ou du travail. Titre : Le rôle des besoins psychologiques fondamentaux de la théorie de l’auto-détermination auprès des personnes vulnérables au suicide en recherche d’aide virtuelle. Présentatrices : Marie-Josée Girard est candidate au PhD en psychologie communautaire, à l’Université du Québec à Montréal. À titre de formatrice et chercheure-étudiante en prévention du suicide, elle utilise l’approche orientée vers les solutions. Cette année, elle anime les webinaires francophones de l’Association Canadienne de Psychologie Positive. Liesette Brunson, PhD, est professeure en psychologie communautaire à l’UQAM. Elle s’intéresse au développement d’environnements favorables au bien-être des enfants et des familles en explorant les stratégies qui favorisent la participation des individus aux changements positifs dans leur communauté. Description : Depuis quelques années, l’utilisation des nouvelles technologies en santé permet aux individus de chercher de l’aide d’une façon autonome. Quel est le processus menant à cette recherche d’aide proactive? Qu’est-ce qui les protège? Certaines personnes vulnérables au suicide choisissent de dévoiler leur détresse et d’obtenir de l’aide exclusivement au sein d’une communauté virtuelle. Une étude de besoins auprès des personnes vulnérables au suicide nous permet d’explorer leurs stratégies de recherche d’aide sur Internet. À partir de la théorie de l’auto-détermination, nous proposons que la recherche d’aide sur Internet favorise la satisfaction des besoins psychologiques fondamentaux (autonomie, compétence, sentiment d’appartenance). Les résultats de cette étude permettent de mieux comprendre les comportements sains adoptés par des personnes vulnérables au suicide dans un contexte de recherche d’aide virtuelle. Titre : L’expérience subjective du bonheur chez les gens heureux Présentatrice : Mélanie Veilleux est candidate au DPs en psychologie clinique, à l’Université de Sherbrooke. Son coup de cœur pour la psychologie positive a marqué sa vie personnelle et professionnelle. Captivée par la recherche du but et de la finalité de l’existence humaine, elle a fait du bonheur l’objet de sa thèse de doctorat. Description : Ma présentation portera sur ma thèse de doctorat. J’aborderai à la fois la recherche que j’ai menée ainsi que les résultats qui en découlent. Ma thèse a pour objet l’un des concepts clé de la psychologie positive, soit le bonheur. Son objectif est de répondre à la question suivante : comment les gens heureux font l’expérience du bonheur? Pour y répondre, une recherche qualitative et descriptive qui s’appuie sur une méthode phénoménologique a été menée auprès de dix participants reconnus comme des modèles de personnes heureuses. Les données ont été recueillies à partir d’entrevues semi-structurées et analysées à l’aide de la méthode d’analyse thématique (Paillé & Mucchielli, 2008). Les résultats porteront notamment sur les trois composantes du bonheur définis par Seligman (2002), c’est-à-dire vivre une vie plaisante, engagée et significative. Titre : Malade et… heureux? Présentatrice : Lucie Mandeville, PhD, est professeure titulaire au département de psychologie de l'Université de Sherbrooke. Elle est aussi psychologue depuis 20 ans. Elle a publié, aux Éditions de l’Homme, Le bonheur extraordinaire des gens ordinaires (2010), Soyez heureux sans effort, sans douleur, sans vous casser la tête (2012) et Malade et… heureux? (2014). Description : Qu’ont en commun le journaliste Norman Cousins, le psychiatre David ServanSchreiber et l’homme d’affaires Eugene O’Kelly? Au moment où ils étaient gravement malades, ces trois hommes ont découvert à quel point une attitude positive pouvait exercer une influence sur leur état physique et psychologique. Mieux encore, cette épreuve leur a servi de tremplin vers une vie plus authentique. Et ils ne sont pas les seuls… De ces histoires, ainsi que des données scientifiques, nous pouvons tirer des leçons pour améliorer notre propre condition physique et psychologique, ainsi que celles de nos clients. Cette présentation se veut une conclusion de ce symposium.