Dans le corps humain les cellules ne sont pas indépendantes, elles doivent communiquer pour le bon fonctionnement de l’organisme. Dans chaque communication, il y a une cellule émettrice et une cellule réceptrice Il y a 4 grands types de communication entre les cellules. La première tes la communication par contact. La cellule émettrice apporte à sa surface une molécule signale et cette molécule signale entre en contact avec une autre molécule que l’on appelle la cellule réceptrice ou récepteur La communication paracrine. Cette fois ci les cellules ne se touchent pas mais elles sont très proches. La cellule émettrice envoie un message aux autres cellules émettrices à travers le liquide intracellulaire Communication à longue distance. La communication synaptique La cellule émettrice est un neurone mais cellule réceptrice est d’une nature variable. Le long de l’axone circule un potentiel électrique que l’on appelle le potentiel d’action. Ce potentiel à l’avantage de circuler très très vite, chez l’homme la vitesse du potentiel est compris entre 50 et 100 mètres par seconde. Lorsque le PA arrive au bout de l’axone, il libère un message chimique que l’on appelle le neurotransmetteur. Ce neurotransmetteur va être reconnu par une molécule réceptrice situé a la surface de la cellule réceptrice. La zone de réception de la cellule s’appelle une synapse. La communication est la la fois, électrique et chimique. La communication hormonale La cellule endocrine libère une hormone qui est libéré dans le sang et le sang peut emmener cette hormone très loin jusqu'aux cellules cibles. Ces cellules cibles sont équipées de récepteur spécifique à cette hormone. Dans le sang, le message est transmis à la vitesse du sang (3-4 mètres par heure, dans les plus petits de nos vaisseaux sanguin.) Le neurotransmetteur est détruit assez rapidement, par contre les hormones mettent plus de temps à être éliminer, ils sont éliminer par les reins, il faut plusieurs dizaines de minutes ou plusieurs heures pour détruire une hormone, l’action des hormones est donc plus durables que les neurotransmetteurs. Dans la communication nerveuse, la cellule émettrice envoie le message au contact de la cellule cible. Toutes les cellules reçoivent l’hormone, mais seules les cellules avec les protéines réceptrices vont réagir à ces hormones. La communication par neurotransmetteur, est comme le téléphone et les hormones, comme les ondes radios. Les différents types de synapses Une synapse est une zone de contact entre un neurone et sa cellule cible. Le mot synapse a été inventé au 19ème siècle par Sherrington. Ce mot vient du grec et signifie « qui connecte ». Le fonctionnement du cerveau est essentiellement basé sur les synapses, par exemples les émotions. Beaucoup de maladie psychique et neurologiques sont dues a un mauvais fonctionnement des synapses. Pour soigner ses maladies on utilise des médicaments qui agissent au niveau des synapses. Les drogues qui modifient le fonctionnement du cerveau, perturbent les synapses. Il existe différent trois grand types de synapses en fonction de la nature de la cellule cible. 1. Les synapses inter neuronales : la cellule émettrice est un neurone et la réceptrice aussi, d’ou son nom de neurone inter neuronale. Le neurone post synaptique peut provoquer une excitation du neurone. C’est à dire que le neurotransmetteur fait naitre un potentiel d’action dans le deuxième neurone Le deuxième neurone peut être au contraire inhibé, c’est à dire que le neurotransmetteur inhibe la naissance d’un PA. 2. Le deuxième type est les neurones moteurs. Dans ce cas, la cellule cible est une cellule musculaire. Un motoneurone peut être en contact avec plusieurs cellules musculaires. On appelle unité motrice, l’ensemble des cellules musculaires reliées à un seul motoneurone. On appelle la synapse de la cellule musculaire, une plaque motrice. Les synapses neuroglandulaires. La première cellule est un neurone et la seconde est une cellule glandulaire. Ces cellules se réunissent pour former des glandes. Les glandes exocrines, sont des glandes qui libèrent leur produit de sécrétion à l’extérieur du corps Les glandes libère leur produit à l’extérieur du corps : ex les glandes salivaires. Les glandes endocrines, libère leur produit dans le corps, dans le sang. Les glandes produisent des sécrétions. Nature chimique de la transmission neuromusculaire. Hypothèses Ont utilise une stimulateur pour faire naitre des PA. Celles ci vont circuler le long du nerf et on va pouvoir détecter ces PA, grâce à des électrodes placées sur le muscles, et on regarde avec un oscilloscope . Le PA nerveux est responsable du PA musculaire, et le PA musculaire provoque la contraction. Comment le PA nerveux déclenche le PA musculaire ? Pour certains, la transmission entre le nerf est le muscle est purement electrique. Leur principale argument était que la transmission se fait rapidement. Pour d’autres, la transmission était chimique. Il est possible de provoquer la contraction du muscle en posant de la nicotine dessus. C’est la deuxième école qui avait raison, c’est donc une transmission chimique Donné structurale Donnés sur la jonction entre le nerf et le muscle. En 1950, on a créé un microscope électronique. Celui ci permet d’obtenir des grossissements extrêmement puissants. Il existe plusieurs types de microscopes. Le microscope électronique à balayage, qui permet de voir les reliefs. Les neurones sont recouvert d’une gaine protectrice de myéline, ce qui permet de les isoler les un, les autres. Les gaines permettent aussi d’augmenter la vitesse de propagation du PA. Dans la zone de contact, il n’y a plus de myéline. La zone de contact est le synonyme de la plaque motrice ou encore jonction neuromusculaire. Dans cette zone l’axone se ramifie et ces ramifications portent des renflements, les boutons synaptiques qui sont en contact avec la zone musculaire. La microscope électronique à transition permet de faire des coupes très fines Dans une plaque motrice, il y a trois types de cellule. Tout d’abord la cellule de Schwann (cellule gliale), qui protège la synapse. L’axone, ou plutôt sa terminaison que l’on appelle bouton synaptique. A l’intérieur du bouton, il y a des vésicules synaptiques. Elles font penser à des cellules de sécrétions. En effet, elles contiennent des substances pouvant être libérés (le neurotransmetteur). On voit également à l’intérieur des mitochondries. Ces Mitochondries, fournissent l’énergie et les sécrétions demandent beaucoup d’énergie. La fente synaptique est une fente qui empêche le PA de passer directement au muscle. La fente n’est pas totalement vide, on y trouve un matériel fibreux qui s’appelle la lame basale (mais c’est un détail). Données pharmacologiques La nicotine a la même action que le nerf Avec du curare, on provoque une stimulation et en même temps on dépose du curare sur le nerf moteur pour provoquer une paralysie. Mais cela n’empêche pas la contraction. Il est aussi inefficace si on le pose n’ importe où sur le muscle. Cependant si on met le curare sur la zone de liaison entre le nerf et les muscles. Donnés électrophysiologiques La transmission est unidirectionnelle, c’est à dire qu’elle peut se faire du nerf au muscle mais pas du muscle au nerf Les cinq critères des neurotransmetteurs Critère 1 la substance doit être présente dans le neurone présynaptique Critère 2 les précurseurs et les enzymes de synthèse doivent être présent dans le neurone présynaptique Critère 3 la stimulation des afférences (nerf moteur doit induire la libération de la subsantce candidate Critère 4 existence d’un mécanisme d’inactivation ou d’élimination rapide La substance doit exercer la même action sur les récepteurs postsynaptiques qu’elle soit libérée de façon physiologique ou appliqué expérimentalement Henry Dale a travaillé sur l’ergot de seigle (un parasite) il en a extrait différentes substances. Il a réussit a extraire l’acétylecholine, et il a pu montrer que cette molécule est aussi présente dans le corps humain et il a fait un certain nombre d’expériences. Après stimulation répétée du nerf moteur, dans l’ACh est détectée dans le sang à la sortie du muscle. La stimulation directe du muscle ne libère pas d’ACh (cela correspond au critère 3) L’injection d’ACh dans l’artère afférente d’un muscle provoque la contraction de ce muscle. Ceci peut être reproduit in Vitro sur le muscle isolé. Le dépôt d’ACh au niveau de la jonction neuromusculaire provoque une contraction brève. Aucun effet n’est observé si le dépôt se fait loin de la jonction neuromusculaire Le dépôt d’ACh au niveau de la jonction neuromusculaire provoque une contraction prolongée si la goutte déposée continent de l’ésérine empêche l’inactivation de l’ACh Potentiel e la plaque motrice et du potentiel d’ACh On stimule le nerf en même temps on va piquer le nerf avec une électrode Le PA musculaire est précédé par un autre potentiel que l’on appelle le potentiel de plaque motrice (PPM) Le neurotransmetteur fait naitre le PPM En déposant de l’ACh sur la liaison nerf muscle, cela provoque un potentiel que l’on appelle, potentiel d’ACH. Celui ci ressemble exactement au PPM. Cela vérifie donc que l’ACh a le même effet physiologique que le neurotransmetteur Synthèse et stockage de l’ACh Utilisation d’un poisson ; la torpille, ce poisson se défend en envoyant des décharges électriques grâce à un organe électrique (c’est un muscle transformé) bourré de synapse On broit l’organe électrique et on sépare les différents éléments. On obtient des boutons synaptiques isolés : les synaptosomes En plaçant les synaptosomes dans l’eau pure, ils éclatent Les chercheurs ont découvert que la membrane présynaptique transporteur de choline, capable de faire entrer de la choline dans le bouton. Ce transporteur fait entrer simultanément de la choline et du sodium Ceci est possible car des terminaisons il y a un enzime ; la chonéatransférase. La choline va devenir très concentrée à l’intérieur des vésicules. Il existe une pompe à proton qui grace à l’énergie de l’atp fait entrer des protons dans les vésicules. Ces protons vont ressortir et être échangés contre de l’acétinecholine Il existe donc dans les boutons présynaptiques tout ce qu’il faut pour transporter et stocker l’ACH Transporteur de choline Enzime de synthèse Chat Transporteur d’ACh Inactivation de l’ACh par la cholinestérase La cholinestérase est une enzyme Il existe deux formes de cholinestérase La forme A (allongé avec des têtes globuleuse. la queue allongée sert à fixer l’enzine à la lame basale. Les têtes servent à détruire l’ACh et la forme G (globuleuse) collé à la surface de la membrane pré synaptique et on en trouve aussi au niveau de la membrane post synaptique L’ésérine bloque la cholinestérase. si cela se produit l’ACh pourra agir plus longtemps. La dégradation de l’ACh donne de la choline et de l’acétate. La choline peut être réutilisée, peut de nouveau être pompée. la blocage de la cholinestérase provoque des convulsions musculaires Conclusion, l’ACh est bien le neurotransmetteur libéré par les nerfs moteurs au contact du muscle Origine de l’ACh libérée dans le fente synaptique est ce de l’ACh vésiculaire ou cytoplasmique qui est libéré dans la fente synaptique ? au niveau de la membrane pré synaptique existent des particules qui sont alignées. on a pu démontrer que ces particules sont des canaux perméables au calcium Quand on stimule le nerf moteur on voit apparaître des trous dans la membrane qui correspondent aux sites de la libération de l’ACH, ce sont les endroit ou les vésicules viennent s’ouvrir dans la membrane. On remarque que quand les vésicules fusionnent avec la membrane présynaptique, cela augmente la surface de la membrane ? pour empecher que la surface n’augmente, il y a un mécanisme de compensation (endocytose) exocytose ; libération de l’ACH par la fusion des vésicules et de la membrane. L’endocytose est le phénomène inverse de l’exocytose. Comment distinguer une molécule d’exocytose et une molécule d’endocytose ? Les vésicules d’endocytose on un aspect sombre. C’est parce qu’elles ont un manteau formée d’une protéine appelé la clathrine. on appelle cette vésicule une vésicule mantelé. la vésicule perd son manteau et fusion avec des citernes intracellulaires ou endozomes a partir des endozomes , peuvent bourgeonner des nouvelles vésicules qui vont devenir des vésicules synaptiques, au départ elles sont vides puis qui se chargent en ACh les vésicules ne sont pas libérés tout le temps, l’ACh n’est libéré que lorsqu’un PA arrive. libération de l’ACh : rôle de la dépolarisation et du calcium on a pris des synaptosomes chargés en ACh radioactive. L’ACh libéré va finir dans des tubes ou l’on peut doser la présence ou non d’ACh. Liquide physiologique, on ne retrouve pas d’ACh. KCI si les synaptomes sont baignés dans du KCl, il y a libération d’ACh. l’effet du KCl : un synaptosome est chargé, comme tout cellule, électriquement, si dans le bain, on ajoute du KCl, la mébrane étant perméable au potassium (qui est chargé positivement) Avec l’entrée d’ion +, la membrane se dépolarise. C’est la dépolarisation qui permet la libération d’ACh. si on ajoute du calcium au Kcl, la libération est encore plus forte pour que le calcium entre, il faut dépolariser la membrane. Le KCl provoque une dépolarisation et la dépolarisation fait entrer du calcium dans les synaptosomes. la libération de l’ACh se fait grâce au PA nerveux qui atteint les terminaisons pré synaptiques Mécanismes moléculaires de la libération de l’ACh a la surface des molécules synapatiques, existe des protéines snare. Il en existe également à la surface des membranes présynaptiques. les V snare sont placés sur les vésicules les T snare sont placés sur les vésicules synaptiques. les T snare sont la cible des protéines V snare. les vésicules synatiques, s’accrochent aux vésicules synatiques à cause des protéines SNARE qui s’accrochent les unes aux autres. les canaux calciques sont aussi capable de s’accrocher aux protéines SNARE. cette proximité facilite l’exocytose. les vésicules synaptiques ainsi attachées à la membrane sont appelés vésicules synaptiques amarrées. quand les canaux calciques sont ouvert, ce le calcium va se fixer sur une protéine SNARE. le calcium provoque un mouvement des protéines qui s’enroules les unes autours des autres et grâce à cette entortillement les molécules se déplace et abouti à une fusion avec la vésicule. il existe un poison appelé la toxine botulique prduit par certaines bactéries qu’on trouve dans les aliments avariées. la toxine provoque la mort par paralysie des muscles respiratoire. On a découvert récemment que la toxine botulique est un ciseau moléculaire qui coupe les molécules SNARE. Si les protéines ne fonctionnement plus, il n’y a pus de production d’ACh, or c’est L’ACh qui provoque la contraction des muscles, ils seront paralysés. Les médecins utilisent cette toxine notamment en chirurgie plastique pour paralyser les muscles aux coin des yeux. Vésicules de libération et vésicules de réserve. Seuls les véhicules amarrés participent à l’exocytose. Les vésicules non amarrés sont les vésicules de réservent, elles sont reliées les unes aux autres par un réseau de filaments. Quand le calcium entre, il provoque l’exocytose à partir des vésicules amarrées, il a aussi pour fonction de détacher les vésicules de réserve, une fois libre, elles peuvent venir s’amarrer à la membrane et devenir des vésicules de libération Essentiel à savoir fig 25 1. fait entrer de la choline dans la terminaison pré synaptique 2. grâce à la cholineacétyltransférase, une partie de l’ACh reste dans le cytoplasme 8. provoque l’ouverture des canaux l’ACh provoque le PPM (potentiel d’action musculaire) et pas directement le potentiel d ‘action. Pour étudier le PPM, il faut supprimer le PA et pour cela il y a le curare Première propriété en augmentant la dose de curare, ie PPM diminue jusqu'à disparaître. Cela nous montre que le PPM est un phénomène d’amplitude variable alors que le PA est un phénomène en « tout ou rien » Deuxième propriété, avec deux PPM s’additionne en faisant deux stimulations rapprochées : la sommation des PPM. Ce phénomène n’existe pas avec les PA. le PPM est un phénomène locale alors que le PA est propagé II mécanismes ioniques du PPM Notion de plaque d’équilibre Le ppm est un dépolarisations de la membrane post synaptique Comme toute dépolarisation le PPM est provoqué par un mouvement d’ions Quels sont les ions responsables du PPM ? Notion de potentiel d’équilibre d’un ion Potentiel d’équilibre d’un ion sodium. Au repos il existe une différencre de potentile entre l’intérieur et l’extérieur de la membrane. Cette différence est de -90 millivolt. C’est le potentiel de repos. Le gradiant de concentration c’est la Sous l’effet du gradian, le sodium va avoir tendance à entrer, seulement au repos les canaux ioniques sont fermés et donc le sodium ne rentre pas. Le sodium (positif) va être attiré par l’intérieur négatif) La stimulation électrique vont ouvrir les canaux sodiques. Le sodium peut donc entrer. L’entré de sodium provoque une dépolarisation de la cellule. La cellule devient moins négative. Puisque le potentiel se rapproche de zéro, le gardian électrique diminue pour finir par ne plus en avoir. Au bout d’un certain temps et à cause du gradian de concentration, la membrane devient positive. Le potentil d’équilibre du sodium c’est l’état dans lequel il n’y a plus d’entré sodium. Car les forces s’équilibrent. Le PPM a un aspect différent selon le potentiel de membrane de la cellule musculaire (VM) Quand VM = -15 millivolt, le PPM s’annule et s’inverse.c’est le potentiel d’inversion du PPM L’ACh ouvre des canaux à la fois accessible au sodium et au potassium Ce sont des canaux cationiques non sélectifs. A -15 autant de sodium entrent que de potatium sortent. Il y a plus de sodium qui entre que de potentils qui sortent Du PPM au PA musculaire. A la suite du ppa on va observer un PA musculaire. Les mécanismes ionique du PPM ne sont pas les même que celle des PA Les canaux soniques s’ouvrent sous l’effet du PA Il y a les canaux chimio-dépendant qui sont ouvert pas l’ACh. Ces du PA, sont potentiel différent. La repolarisation est du à l’ouverture de canaux potassiques. Récepteurs post synaptiques de l’ACh. Il y a deux hyppothèses. L’ACh se fixe sur un récepteur qui est en même temps un canal (récepteur = canal) L’ACh se fixe d’abord sur un récepteur qui ouvre le canal (récepteur =/= canal) L’alpha bungarotoxine. Se poison se fixe sur les récepteurs de l’ACh. Et de les bloquer. On détache les récepteurs et on les récupère dans des tubes. On obtient donc des récpetur purifiés . on s’aperçoit que le récepteur est composé deplusieurs récepteur (alpha, beta, gamma, delta). Il y a un trou au millieu du récepteur, c’est un canal, c’est donc la première hypothèse qui était bonne. La nicotine peut très bien prendre la place de l’ACh et il aura les même effets. On parle de récepteur nicotiniques. Les protéines sont des enchainement d’acides aminés. Les acides aminés ne sont pas dans n’importe quel ordre, on appelle cela une séquence. Chaque unité comprend 4 hélinces membranaires, reliés par des petites boucles. On les appelle, M1, M2, M3 et M4. Il une grand boucle entre M4 et M3, la grande boucle intracellulaire. Toute ces sous unitiés sont construites sur le même modèle. il y a donc 20 hélices membranaire par protéine. Les bords du canals sont formés par les cinq hélices M2 Les récepteurs sont capables de supporter plusieurs substances Agoniste est une molécule qui se fixe sur le récepteur en prenant la place du neurotransmetteur normal. Il a le même effet, il ouvre le canal La transmission synaptique dans les systèmes végétatifs Dans le système nerveux on va distinguer le système nerveux central (cerveau plus moelle épinière) et le système nerveux périphérique, qui est principalement composé de nerf et de ganglions. Ils servent à la communication avec le cerveau et la moelle épinière Ce SNP peut être divisé en deux parties le système nerveux somatique assure la commande des muscles squelettiques. Ils véhiculent les informations provenant de la peau et les muscles vers les SNC. C’est le système qui permet les mouvements volontaires. Le système nerveux autonome (ou automatique). On l’appelle aussi système nerveux végétatif. Ce système nerveux autonome commande les organes internes, c’est à dire les viscères. Ce système nerveux autonome peut être sub Système orthosympathique Système parasympathique L’orthosympathique commande les organes durant les périodes de stress alors que le parasympathique intervient durant les périodes de repos Si l’individu perçoit un danger, c’est le système orthosympathique. Il envoie un message d’urgences aux organes internes pour faires faces à la situation 1) L’innervation et son rôle physiologique. L’automatisme cardiaque Le cœur peut fonctionner tout seul, on absence de lien avec le système nerveux. Il est possible de sortir du cœur, et celui ci continu encore de battre. Si le cœur bas de lui même c’est qu’il existe un ou plusieurs centres d’automatismes (voir schéma) La zone sinusale émet d’elle même des potentiels d’actions qui se propagent dans le reste du cœur. Les PA vont être suivis d’une contraction. Le nœud septal peut remplacer le nœud sinusal si celui ci ne fonctionne plus. La double innervation cardiaque Innervation parasympathique. Cette innervation est composé par le nerf vague ou le nerf X(10), ou le nerf pneumogastrique. Ces deux nerfs vagues naissent dans le bulbe rachidien. Le nerf vague se termine à proximité du cœur dans un ganglion. Dans ces ganglions, il y a des synapses avec des neurones très couts Il y a un neurone long suivit d’un neurone court Le long s’appelle neurone préganglionnaire et le court, neurone post ganglionnaire Innervation orthosympathique Le premier neurone est court. Il part de la moelle épinière et se termine dans un ganglion qui fait parti de la chaine de ganglions para-vertébraux. On a un neurone orthosympathique qui innerve le cœur et les autres organes. Les effets de la stimulation du nerf cardiaque. On peut stimuler les nerfs électriquement. Quand on stimule les nerfs orthosympathiques, les nerfs battent plus vite et les battements du cœur sont plus fort. Si on stimule les nerfs parasympathiques, le cœur ne bat presque plus. Les effets pharmacologiques Expérience de Lewi Cette expérience a montré que les nerf libéraient des substances. Il utilise deux cœurs de grenouille, qu’il isolent. Il battent normalement. Seul l’un des cœurs est transfusé, et ce cœurs tranfusent l’autre cœur. On stimule le nerf vague du cœur a de façon répété. Le cœur ralenti et s’arrête même. On remarque que les cœurs s’arrêtent également alors que l’on n’a pas stimulé son nerf. Si le cœur B s’arrête cela signifie que le liquide de perfusion contient une substance capable d’arrêter le cœur. Le nerf vague du cœur A à libérer une substance qui a agis sur le nerf B, il l’a appelé la substance vagale. Dans le cas du cœur l’ACh n’est pas excitatrice, elle est inhibitrice dans ce cas. C’est possible car l’ACh agit sur deux types de récepteur. 2) neurotransmetteur et récepteurs des voies sympathiques Figure 4, poly 2 A CONNAÎTRE PAR CŒUR Le parasympathique est composé de deux neurones, un long et un cours. Le premier libère de l’ACh et cet ACh agit sur des récepteurs nicotiniques qui se trouvent à la surface du neurone post ganglionnaire. Le second neurone libère lui aussi de L’ACh. A la surface du cœur, il existe non pas des récepteurs nicotiniques mais des récepteurs muscariniques. L’agoniste du cœur n’est pas l’ACh mais la muscarine. Le premier neurone libère de l’ACh qui agit sur des récepteurs nicotiniques du neurone post ganglionnaire. Le deuxième neurone libère la Noradrénalye qui agit sur des récepteurs noradrénalgiques. Dans le cas du cœur il s’agit de récepteurs de type Beta (il en existe des Alpha) La noradrénaline est voisine de l’adrénaline qui est une hormone. L’adrénaline est libérée par la glande surrénale qui est situé au dessus des reins. Ces glandes contiennent des cellules chromaffine (qui sont bourrés d’adrénalines) Les neurones orthosympathiques préganglionnaires commandent les cellules chromaffines qui libèrent de l’adrénaline Les cellules chromaffines sont l’équivalent des neurones orthosympathique post ganglionnaire. L’adrénaline fait durer les effets de la noradrénaline Les deux systèmes agissent en permanences au niveau du cœur, mais l’un va prédominer par rapport à l’autre selon les circonstances. En période de repos, il y a d’avantage d’ACH libéré que de Noradrénaline, le cœur va donc battre lentement. Au contraire en cas de stress, il y aura plus des noradrénalines et la fréquence cardiaque sera élevée. 3) Base moléculaire des effets de l’ACh et de la noradrénaline. Récepteur métabotropes et protéines G ; Les récepteurs de l’ACh et de la noradrénaline sont appelés des récepteurs métabotropes (ils n’ont pas de canaux) Un récepteur métabotropes contient toujours sept domaines transmembranaires reliés par des petites boucles du coté extracellulaire mais aussi du coté intra cellulaire. Les récepteurs Métabotropes fixes une cellule de neurotransmetteur contrairement aux récepteurs ionotropes qui en fixent deux. C’est n’est pas parce que le métabotrope n’a pas de canal qu’il ne peut pas en ouvrir Quand un neurotransmetteur arrive, récepteurs s’active et active à son tour une protéine G qui se trouve sous la membrane. Cette protéines est composé de trois parties (alpha, beta et gamma) on les appelle des protéines G trimériques La protéine G activé, va ouvrir un canal membranaire Deuxième possibilité. Le récepteur active une protéine G qui n’agit pas directement sur le canal. La protéine G va permettre la création d’un messager dans le cytoplasme qui va ensuite ouvrir le canal en se fixant dessus Les récepteurs métabotropes sont également appelés RCPG (récepteurs couplés aux protéines G) Comment l’ACh ralenti le cœur. Le nœud sinusal met spontanément des PA. A la surface du muscle cardiaque récepteur muscariniques quand l’ACH s’y fixe. Cela active une protéine G La protéine G activé va se divisé en deux parties. La partie Alpha et d’autre part le dimère Betagamma. Ce dimère va se fixer à un canal potassique. La gradient de concentration explique que ions potassiums vont sortir de la cellule. La sortie des ions provoque une négativisation de la cellule. On appelle cela une hyperpolarisation. Les potentiels d’actions sont déclenchés a partir de -40 millivolts. Et la cellule ce retrouve a -80, cela diminue la fréquence des PA. Un effet chronotropes négatifs, et un effet de ralentissement du cœur. Le cas de la Noradrénaline. La noradrénalique vas se fixer sur les récepteurs noradrénaliques Beta. Une fois le récepteur activé, il agit sur une protéine G. elle se scinde en deux parties. Alpha d’un coté et Beta-gamma de l’autre. La sous unité alpha, va venir activer une enzyme membranaire, l’adénylate cyclase qui transforme l’ADP en AMC (messager intracellulaire). L’AMP cyclique va se fixer sur le canal sodique. Une fois le canal ouvert, le sodium va rentrer dans la cellule et par conséquent la membrane va se dépolariser. Donc on se rapproche du seuil d’activation des PA, le seuil sera atteint plus rapidement et donc le cœurs va battre plus vite. Hyperpolarise les cellules cardiaque, d’ou le ralentissement du rythme, alors que la noradrénaline dépolarise les cellules cardiaques d’ou une accélération du rythme cardiaque Remarque : voir figure 10 Une molécule de noradrénaline se fixe sur un récepteur beta qui va activer plusieurs protéines G. chaque protéine G est capable à son tour d’activer de très nombreuse molécules L’AMPc cyclique. L’AMPc est aussi capable d’activer la PKA (enzyme). Chaque molécule de PKA est capable de phosphoriser les canaux. Quand les canaux sont phosphorilés, ils s’ouvrent d’avantage et laissent passé d’avantages d’ions. Il n’y a pas besoin de beaucoup de noradrénaline pour avoir de nombreux canaux ioniques ouverts. Les autres effets physiologiques de l’orthosympathique et du parasympathique (FIG 11) En cas de danger, deux possibilités, soit on se bat, soit on fuit. L’orthosympathique va favoriser le fonctionnement des muscles squelettiques. La noradrénaline est capable de modifier le diamètre des vaisseaux sanguins qui se trouvent dans les muscles squelettiques. Par contre les vaisseaux au niveau de la peau et du tube digestif diminuent. L’orthosympathique agit sur le cerveau et favorise l’attention et donc l’apprentissage Le parasympathique est activés durant les périodes de repos. Dans le cerveau il existe deux grands types de synapses, les chimiques et les électriques (95% de chimiques) Les synapses axo-axoniques servent à moduler la diffusion chimique de la synapse. Il y a une fente synaptique qui sépare le neurone pré et pot synaptique. On trouve toujours des Des vésicules au niveau présynaptique Des récepteurs membranaires post synaptiques. 2) les synapses électriques La fente synaptique est quasiment inexistante, elle est très étroite Absence de vésicules synaptiques Donc absence de neurotransmetteurs La synapse électrique est formée d’une juxtaposition de canaux. Chaque canal est en fait formé de deux demi canaux. o Un demi canal est appelé connexion o Il est formé de six molécules de connexines Si les ions passent, les PA peuvent passer également. Les synapses électriques permettent aux PA de passer aux neurones électriques très facilement. Dans les neurones chimiques la communication est unidirectionnelle alors que dans les synapses électriques, elle est bidirectionnelle Délai synaptique = temps entre le PA pré et post synaptique. Cas particuliers : les synapses chimiques réciproques. C’est une exception à la règle qui dit que les synapses chimiques sont unidirectionnelles. Les synapses mixtes. Dans quelques cas, les synapses sont chimiques et électriques. Sur le plan fonctionnel, les synapses peuvent être soit chimiques soit inhibitrices. Dans les synapses excitatrices, le neurotransmetteur est en général le glutamate (acide aminé). Lorsque de glutamate se fixe sur des récepteurs cela provoque une entré de ions sodium. Les synapses inhibitrices, ont le GABA (acide Gamma aminobutyrique) pour neurotransmetteur. Cela entraine la libération d’ions chlorure. Les deux types de synapses diffèrent par la nature de leur neurotransmetteur mais aussi par la nature d’ions au niveau post synaptique. Si des ions sodiums entre dans l’épine, l’intérieur de la cellule poste synaptique devient moins négatif (dépolarisation). Cette faible dépolarisation est appelé PPSE (potentiel post synaptique excitateur). Le PPSE permet au neurone de se rapprocher du seuil d’excitation Dans le cas de la synapse inhibitrice, l’interrieur de la cellule post synaptique devient un peu plus positif. Il y a donc une hyperpolarisation. On appelle cela un PPSI (potentiel post synaptique inhibiteur) Somation temporelle et spatiale, notion d’intégration synaptique. Dans le cerveau la transmission n’es tpas toujours efficace. Un PA présynaptique, ne donne pas forcement un PA post synaptique. Cela donne un PPSE, mais celui ci ne suffit pas à donner PA post synaptique. Il va donc falloir additionner les PPSE La somation spatiale : la somation de plusieurs PPSE générés simultanément au niveau de plusieurs synapses La somation temporele : somation de PPSE généré au niveau d’une seule synapse lorsque ces PPSE se répètent rapidement au cours du temps Chaque neurone fait en permanence la somme algébrique des PPSE et des PPSI et c’est que l’on apelle l’intégration synaptique. C’est la capacité d’un neurone à faire ce calcul algébrique des PPSE et des PPSI Importance de la localisation des synapses. L’influence d’une synapse dépend de sa localisation sur le neurone. Les PA ne naissent pas n’importe où dans un neurone. Les PA naissent dans une zone que l’on appelle, site d’initiation des PA qui se situe juste après le corps cellulaire. Introduction Notions sur des pathologies liées à des anomalies du système nerveux central (SNC) et/ou périphériques (SNP) Savoir expliquer… Le cerveau : la plus complexe structure produite par l’évolution du vivant Facultés confèrent sa spécificité à l’homme : Conscience Intelligence Usage du langage Mémoire Émotions … D’aborde comprendre l’organisation et l’activité physiologiques normale du système nerveux Produit de l’évolution, notre cerveau est construit par un ensemble de gènes qui vont déterminer de nombreuses propriétés Maladies neurodégénératives : l’élévation de l’espérance de vie à fait apparaître ces maladies Dysfonctionnement cérébraux héréditaires Pathologies comportementales ou psychiatriques (mutations sociétales) Pathologies du système nerveux Pathologies dégénératives : démences séniles, maladie d’Alzheimer, Sclérose en plaque, maladie de Parkinson Dépression Épilepsie Schizophrénie Pathologies traumatiques (crânien, spinal) Pathologies vasculaires (AVC –Hémorragie cérébrales) Encéphalopathie spongiforme subaigües transmissibles (prion) Tumeurs du cerveau Maladie bactérienne (lyme) – virale (herpès) Pathologies toxiques : alcool, drogue Maladie d’Alzheimer : Maladie dégénérative progressive du cerveau entrainant la sénilité et la démence. Caractérisée par des pertes de mémoire, des troubles de jugement et de raisonnement. Maladie de Parkinson : maladie dégénérative du cerveau se traduisant par des difficultés de déclenchement du mouvement volontaire. Schizophrénie : Maladie psychotique grave caractérisée par des hallucinations, des idées délirantes et un comportement étrange. Dépression trouble sévère de l’humeur caractérisée par l’insomnie, la perte d’appétit et un sentiment de découragement Pathologies nées du dérèglement du fonctionnement cérébral ; nul doute que les variations génétiques ténues et invisibles ainsi réaffirmées par la biologie. Les perturbations comportementales ou psychiatriques des individus s’expliquent le plus souvent par des anomalies biochimiques ou structurales du SNC Mais la prédisposition à une maladie, comme la réponse à un traitement médicamenteux, tient à des variations relativement simples sur très peu de gènes. Alors que les capacités cognitives reposent, elles sur une équilibre extraordinairement subtil entre l’inné et l’acquis. Équilibre dont nous ne savons aujourd’hui presque rien Innée et acquis (responsabilité des gènes et/ou du milieu de vie) Facteurs héréditaires dans les maladies mentales ; identifier d’éventuelles anomalies du code génétique responsable des manifestations cliniques des troubles mentaux. Plusieurs gènes impliqués : psychose maniaco-dépressive, trouble obsessif compulsif et schizophrénie Facteurs psychosociaux et environnementaux : type de relations sociales, les perceptions et la personnalité de chaque sujet. Résultat de l’expérience, de l’apprentissage individuel englobant les comportements complexes, la faculté de raisonnement, le vécu émotionnel et les perceptions (cognition) Les facteurs environnementaux jouent un rôle majeur dans la complexité de l’élaboration de la personnalité et certaines données moléculaires doivent être interprétées avec prudences (caractère préliminaires et controversée de certaines données : homosexualité masculine) Le danger d’une interprétation simpliste est de limiter l’inné à ce qui se conçoit avant la naissance et l’acquis à ce qui influence l’individu au cours de sa vie. Or un individu es constitué de matière et constante évolution, depuis sa conception, sous l’influence de l’effet tant des gènes que de l’environnement. Ces deux effets interagissent précocement, et de manière ç se modifier mutuellement d’une manière dynamique. Le comportement, l’apprentissage et les facteurs psychosociaux ont aussi le pouvoir de modifier l’expression dès gènes, et donc de modifier la fonction des cellules Dilemme éthique (récupération à des idéologiques de hiérarchisation) Traitement par la voie psychothérapeutique et/ou médicamenteuse ? Prévalence (nombre de personnes atteintes d’une certaine maladie à un moment donné dans une population donnée) et facteurs de risque (caractéristique liée à une personne, à son environnement, sa culture ou son mode de vie qui entraine pour elle une probabilité plus élevée de développer une maladie) Les neurosciences aujourd’hui Approche la plus classique : approche réductionniste Niveau d’analyse : Neurobiologie moléculaire Neurobiologie cellulaire Neurosciences intégrées Neurosciences comportementales Neurosciences cognitives Les chercheurs en neurosciences fondamentales (méthodologie) : dans l’histoire des neurosciences, la valeur heuristique de la technologie fut considérable Neuroanatomie Neurophysiologiques Neuropharmacologiste Biologie moléculaire Neuroscientifique (informaticien) Neurobiologiste du comportement Neurochimiste Ethologiste Psychobiologiste Psychophysicien Expérimentation animale en neurosciences : neuropharmacologie De l’escargot au singe Choix de l’espèce en fonction du processus étudié Souris et rat : >50% des animaux utilisés (mutants et OGM) Protection des animaux : notion juridique de l’animal comme être sensible (« vertébré ») Règle des 3R : Reduce, Refine, Remplace « responsabiliser) C’est le mode de communication entre les neurones de notre SNC. Elle se fait entre deux neurones dans des sites spécialisés. Les deux neurones ne sont pas jointifs. Une faible espace les sépare et les échanges d’information se font sur des petits espaces (on considère 1000 synapses entre chaques neurones. On a 1000 synapses sur chaque neurone C’est une communication chimique Neurotransmetteur Neuromodulateurs Neurohormones Les neurones utilisent un mode de transmission très rapide. Le SN va servir à analyser l’… suite à l’analyse il y aura une réaction. Dans un neurone on distingue le corps cellulaire avec son noyau et les dendritiques le cours cellulaire analyse et intègre les signaux synaptique et des PA vont apparaitre à une fréquence qui varie. Les PA progressent à travers l’axone et libèrent des NT à l’arrivé la quantité de molécule libérées dépende de la fréquence des PA Neurotransmetteur Substance chimique, fabriquée par l’organisme et permettant aux neurones de transmettre l’influx nerveux entre elles ou entre un neurone et une autre variété de cellules de l’organisme (muscles, glandes) Les neurotransmetteurs constituent donc le langage du système nerveux. La colère, la faim, la douleur, la motricité, le sommeil, mais également la pensée, la réflexion sont des résultat de l’action de ces modèles de communication Le concept de la transmission chimique entre deux celllules implique l’existence d’au moins deux éléments Neurotransmetteur : aspect pré synaptique Récepteur : protéine transmembranaire : aspect post synaptique Le neurotransmetteur est un peu comme une clé. Si sa forme est la bonne, le neurone suivant (ici la serrure) alors il produira un effet dans celui ci On dénombre au total plus de 1000 molécules à effet biologique, dont plus de 60 sont des neurotransmetteurs. Parmi les plus connus L’acétylcholine L’adrénaline La noradrénaline La dopamine La sérotonine L’acide gamma-aminobutyrique (GABA) Les endorphines Les enképhalines Pour être considéré comme un neurotransmetteur, une molécule doit répondre à plusieurs critères Elle doit être produite à l’intérieur d’un neurone, retrouvée dans ses boutons terminaux Relâchées à l’arrivée d’un potentiel d’action Doit produire un effet sur le neurone post synaptique Après libération elle doit être désactivée rapidement Son application expérimentale sur le neurone post-synaptique doit avoir le même effet que lorsqu’elle est relâchée par un neurone Chaque neurotransmetteur est présent dans des parties bien précises du système nerveux et assurent des fonctions particulière par exemple : L’acétylcholine est un excitateur entre les neurones et les muscles du squelette mais aussi un frein du muscle cardiaque Les endorphines ou l’enképhaline agissent comme des opiacés ou des euphorisants naturels en réduisant la perception de la douleur. Relâchées dans la fente synaptique, les neurotransmetteurs peuvent avoir des effets opposés sur le neurone suivant Certains favorisent la propagation de l’influx nerveux à l’intérieur de celui-ci. On dit alors qu’ils sont excitateurs => excitateur PPSE D’autres diminuent la probabilité que le neurone suivant envoie un influx. On parle alors de neurotransmetteurs inhibiteurs. => Inhibiteur PPSI