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OMS AFRO/63ème SESSION du Comité régional
COMPTE RENDU DU 03/09/2013
 Point 10 de l’ordre du jour : Renforcement du rôle de la médecine
traditionnelle dans les systèmes de santé : une stratégie pour la région
africaine
Benin : Le pays appui la résolution sur la médecine traditionnelle. Il travail directement avec
le ministère de la recherche scientifique. 5000 plantes sont recensées sur 62 jardins où sont
produites ces plantes. Le pays redoute les risques liés à la consommation.
Tanzanie :Créer une structure au sein du ministère de la santé qui devra promouvoir la
médicine traditionnelle. Envisager la collaboration avec les pays industrialisés dont la chine.
L’adoption d’une loi par le parlement depuis 1992. Un cadre réglementaire protège les droits
de la propriété intellectuelle.
Nigeria :Révision des pratiques visant l’amélioration de la médecine traditionnelle. Renforcer
la formation des tradipraticiens dans tous les pays. Existence d’une commission présidentielle
sur le développement de la médecine traditionnelle. Cette commission a effectué une mission
en Inde dans le but de sceller une collaboration. Lutter contre les charlatans. Depuis 2006, le
pays célèbre une journée nationale de la médecine traditionnelle.
RDC :Un programme national de la médecine traditionnelle entre dans le plan d’action 20102015. le traitement est plus court par rapport aux médecine traditionnelle que moderne : le
cas du paludisme et des hémorroïdes. Une campagne de recensement des tradipraticiens et
des médicaments ont été menée. Il tienne des réunions de collaboration entre les hôpitaux et
les tradithérapeutes.
Niger :Depuis Janvier 1997, une ordonnance présidentielle autorise la pharmacopée. A
l’université, certains étudiants
finalistes font des recherches parfois focalisées sur la
médecine traditionnelle. Le pays suggère l’introduction des modules de formation sr la
médecine traditionnelle. Appuyer l’action des associations sur la recherche de la médecine
traditionnelle.
Malawi :Une loi a été adoptée concernant la pharmacopée. La population attend la
confirmation de la médecine traditionnelle par le Ministère de la santé. Toutefois, le
gouvernement doute de sa capacité scientifique et techniquepour officialiser la médecine
traditionnelle.
Par conséquent, le Malawi sollicite un appui de scientifique et technique
recherche.
en matière de
Gabon :Le pays est très avancé en médecine traditionnelle. Il approuve l’initiative faite sur le
renforcement des capacités prise
par l’OMS.
Le pays dispose d’un institut de la
pharmacopée. D’une cartographie des tradipraticiens. Une loi sur le développement de
l’éthique national. Un répertoire botanique. Cependant, le Gabon reconnait les limites de la
médecine traditionnelle dans le traitement de certaines pathologies.
Afrique du Sud : Plusieurs publications en matière de la médecine traditionnelle sont
disponibles. Le pays pense qu’il faut mettre un accès sur la qualité, l’efficacité et l’innocuité
comme normes et prendre en compte la santé publique.
Zambie :Exploiter plus clairement les potentielles psychothérapeutiques qui existent. Le pays
réalise des recherches sur certaines plantes parmi lesquels un module soutand le traitement
du VIH/SIDA. La réglementation inter-état de la médecine traditionnelle. Non discrimination
de la médecine traditionnelle.
Tchad :La réglementation inter-état qui prendre en compte la circulation des produits
médicaux locaux. Créer une instance africaine sur la médecine traditionnelle à l’image de
l’OMS dans l’approbation des Produits modernes.Le pays encourage l’initiative d’intégrer les
filaires de la médecine traditionnelle à l’université.
Ghana :Homologuer la pharmacopée. Insérer un module à l’université sur la formation des
guérisseurs. Dans la réglementation, établir la différence entre les médicaments et les
compléments alimentaires.
Guinée :La médecine traditionnelle demeure le premier recours. Un institut existe et travail
en collaboration avec plusieurs instituts internationaux. Le pays accuse les difficultés dans la
publicité et la répartition des produits. Il faut cela promouvoir les meilleurs pratiques.
Guinée Bissau :Penser à la conservation des plantes médicinales encours de disparition. Le
pays salut et soutient les efforts de l’OMS dans la lutte contre le VIH/SIDA. Une bonne
politique sur la médecine traditionnelle attend la mise en disposition des fonds.
Conclusion :
Tous les intervenants sont unanimes pour la prise en compte effective de la médecine
traditionnelle à côté de la médecine moderne. La question sur le congé maladieà un caractère
juridique d’où la nécessité de la réglementation du secteur de la médecine traditionnelle.
Pour le Directeur Régional de l’OMS, chaque pays en fonction de ses réalités devrait s’inspirer
des expériences des pays ayant une longueur d’avance sur les autres.
Le secrétariat du comité a partagé entièrement l’importance accordée à la recherche pour
tous les pays.
Plus de 80% des pays utilisent la médecine traditionnelle qui avait été approuvé par les
études qu’ils ont faites en 2008 et 2012. L’abordabilité en matière de prix constitue un atout
majeur dans l’utilisation de la médecine traditionnelle.
 Point 11 de l’ordre du jour : Renforcement de la capacité de réglementation
des produits médicaux dans la région africaine
Algérie :Le pays reconnait les médicaments contrefaits par le faible coût.
Côte d’Ivoire :Il faut mutualiser les énergies et renforcer les capacités dans la lutte contre
les faux produits. Existence d’un laboratoire de santé publique avec certification ISO depuis
quelques années.
Congo Brazzaville :L’accès aux médicaments constitue un frein. Il faut envisager la création
des laboratoires des contrôles qualités
RDC :La multiplicité des frontières (neuf) expose la RDC aux médicaments contrefaits.
Niger :Renforcer le partenariat pour lutter contre les médicaments contrefaits.
Nigeria :Collaboration et partenariat dans la lutte contre les médicaments contrefaits. Mise
en place d’une politique de pharmacovigilance.
Rwanda :Veille à la mise en disposition des médicaments de meilleurs qualités et à des prix
abordables.
Rwanda : Le Pays Veille sur la mise à disposition des médicaments traditionnels
meilleure qualité et à de Prix abordables ;
de
Cameroun : propose la reformulation du Point 24 ;
Tchad : Inscrire une réglementation
éviter que l’Afrique soit un dépotoir ;
dans la gestion de l’Industrie Pharmaceutique, pour
Sénégal : Le Pays propose la mise en place des Pharmacovigilances. Car la Région dit-il,
est caractérisée par un marché de faux médicaments. Le SENEGAL s’inscrit dans une
dynamique de développement du secteur de la médecine traditionnelle ;
Botswana : Le Pays est victime des Produits contrefaits ;
Guinée Equatoriale : Le Pays souffre de la présence des Produits de qualité inférieure.
Ainsi, le gouvernement a mis en place une Cellule de Surveillance de ces Produits qui
doivent être harmonisés le moment venu.
Togo : Propose l’établissement d’un réseau efficace de Partage des Informations en matière
de médecine traditionnelle. Un comité de lutte contre les faux médicaments existe ;
Mali : le Pays intervient sur le Point 22 relatif au renforcement des Capacités
qu’il
encourage.
De même que la mise à disposition d’un Statut Juridique et la Collaboration
entre les Pays(point 24) ;
Malawi : Le Pays organise
des inspections des établissements Pharmaceutiques. Par
ailleurs, il encourage le renforcement des capacités, la Promotion et la Publicité des
Produits ; de même qu’il entrevoit l’Homologation des médicaments ;
Benin : Le Pays souhaite que soit renforcé le contrôle des médicaments. Il constate avec
amertume que 1% seulement des antirétroviraux(ARV) est fabriqué sur le Continent, alors
que l’on pouvait en faire un peu plus ;
Gabon : Un cadre Juridique est déjà mis en Place, mais des efforts restent à faire. Le Pays
Propose aussi la création et la mise en œuvre d’une Pharmacovigilance ;
Gambie : Les Produits traditionnels sauvent certes des Vies humaines et allègent les
Souffrances, mais de mauvaise qualité, ils exposent aux menaces Sanitaires graves. Une
Collaboration sectorielle doit être pratique ;
Tanzanie : La réglementation des Produits est mise en œuvre par les autorités. Cependant,
reste une Collaboration et une Coordination au niveau régional. Le Pays Propose l’élaboration
d’une feuille de route sur l’Opérationnalisation des Laboratoires des médicaments ;
Zambie : Il faut avoir des réglementations fortes, pour lutter contre la fabrication des
Produits inférieurs. Un Laboratoire est en Place, de même qu’un groupe de travail sur les
médicaments essentiel existe. La ZAMBIE soutient le document, dont il faudra toutefois veiller
sur l’opérationnalisation ;
Ouganda : Envisager la mise en œuvre des mécanismes susceptibles de Signaler l’entrée
de faux médicaments, ainsi que nous savons déjà le faire en ce qui concerne les épidémies.
Contributions du Secrétariat
IL faudra renforcer l’autorité nationale en matière de Lutte contre la distribution
Produits contrefaits. Il sied toutefois de noter qu’il s’agira de tout un Processus ;
des
L’OMS prend en compte toutes les préoccupations des Etats Membres, mais en priorité les
points suivants :
 renforcer le partage des Informations sur le Commerce des Produits Inférieurs ;
 renforcer les autorités nationales en matière de réglementation.
ANNONCES :
1-Mise en réseaux des Institutions de recherche en Santé ;
2-Prise en charge des malades du Cancer ;
3-Travaux en Carrefours
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