Daniel Pérez Fernández. Mon travail de Français. Mon travail de Français. Daniel Pérez Fernández. Mon travail de Français LA TROMPETTE ET MOI - MOI ET LA TROMPETTE. Une présentation. Salut mes chers camarades. Je m'appelle Daniel Pérez Fernández, je suis d'Almuña, mais, à cause de mes études maintenant je vis à Oviedo. J’ai 20 ans et je suis espagnol. Je suis étudiant, j’étudie dans le conservatoire de musique "Eduardo Martinez Torner" et aussi à l'université d'Oviedo. Très bien, je veux parler de ma vie, de la vie de la trompette et de ma vie avec la trompette Petite histoire de ma vie comme musicien Petit Maintenant Je commence les études dans le conservatoire d'occident d'Asturies Valdés – Navia. J’avais à l’époque 9 ans. Postérieurement j'entre dans le conservatoire de musique d'Oviedo. J'étudie avec de grands trompettistes. En 1998 j'entre dans la Bande de musique la lire de Luarca. En 2002 j'entre dans la Jeune Bande d'Oviedo. J'ai suivi des cours avec de grands trompettistes comme Vladimir Kafelvinoc, Enrique Rioja, Miguel Angel Navarro… En 2002 j'entre dans la Jeune Bande d'Oviedo. Dans le futur je veux pouvoir me consacrer à l'enseignement de la musique. Mon travail de Français. Daniel Pérez Fernández. Histoire de la trompette Les premières trompettes ont été inventées dans l'antiquité, elles apparurent en Égypte il y a plus de trois mille ans. La trompette a pris sa forme actuelle après l'invention du piston en 1820. Il convient de distinguer trois types de trompettes : 1. Les trompettes naturelles, qui n'ont pas de pistons, et ne peuvent jouer que certaines notes, appartenant à la série harmonique. Les actuelles trompettes de cavalerie sont de ce type. Trompette naturelle du XVIIIe siècle 2. Les trompettes à pistons, le piston est un mécanisme, dont l’invention et son perfectionnement au cours du XIX siècle, a révolutionné la facture des instrument de musique de la famille des cuivres. Ce mécanisme permet de modifier la longueur du tube de l'instrument, fonctionnant comme un robinet à air, ou plus exactement comme un distributeur pneumatique. Par ailleurs il n'agit pas comme convertisseur force/pression, de ce fait la dénomination « piston » n'est légitime que par sa forme et la nature de son mouvement. 3. Il existe également des trompettes à palette, souvent utilisées dans les pays anglo-saxons. Elles ont un son beaucoup plus doux et arrondi que les trompettes à piston qui, elles, ont un son plus clair et brut Mon travail de Français. Daniel Pérez Fernández. Elle produit un son qui est profond et plein avec une grande puissance orchestrale, se mélangeant cependant bien avec les autres cuivres et les bois. Sa sonorité est précise et elle est étonnamment facile à jouer. Caractéristiques de la trompette Instrument de musique à air et à embouchure, composé d'un tube de perce cylindrique replié sur lui-même et terminé par un pavillon.(L'instrument devint définitivement chromatique en 1830 après l'adoption des pistons, inventés par Blühmel et Stölzel.) Description. La trompette naturelle (clairon) est constituée par l'embouchure, le tube (ou perce), le pavillon. Le tube est cylindrique, ce qui lui donne un son brillant, par comparaison au son plus doux de la famille des saxhorns. Dans la trompette à pistons. Un mécanisme est ajouté qui permet d'accroître la longueur du tube, ce qui permet de jouer des notes plus graves et de combler ainsi les notes faisant défaut dans la série harmonique Schéma du fonctionnement du piston dans la trompette. La gamme recommandée. Les petits cuivres dont la partition s'écrit en clef de Sol ont une tessiture qui s'étant d'un Fa# au contre Ut. Seulement toutes ces notes ne sont pas d'égale difficulté. Les notes graves sont souvent fausses, et les aiguës difficiles à produire. Tessiture d'un petit cuivre (écrit dans sa tonalité Mon travail de Français. Daniel Pérez Fernández. Effet. L'action sur chaque piston provoque un allongement de la colonne d'air. De ce fait, la fréquence propre de l'instrument est abaissée d'une valeur qui dépend de la proportion de cet allongement. Il en résulte une note plus basse que la note naturelle de l'instrument depuis un demi-ton jusqu'à trois tons. A partir des combinaisons des positions de pistons, soit huit doigtés, on distingue six intervalles descendants à partir de la note naturelle (sept avec l'unisson). Par exemple à partir du Do (3) (Do grave) on obtient les notes du tableau suivant. Le repérage du doigté donne le numéro des pistons sur lesquels il faut appuyer pendant la production de la note: intervalle exemple illustration repérage naturelle Do 0 1/2 ton Do > Si 2 1 ton Do > Si b 1 1 ton 1/2 Do > La 2 tons Do > Sol# 23 2 tons 1/2 Dol > Sol 13 3 tons 123 ou Do > Fa# 12 ou 3 Mode harmoniques et doigtés combinés. A partir de chacune des notes de la gamme naturelle (pistons relâchés), on obtient en actionnant certains pistons l'ensemble des notes situées en dessous. A partir du Do(3), cela donne l'accès à toutes les notes de la gamme chromatique. Le Do (2) appelé Do pédale est complètement isolé. Sa fréquence basse n'autorise pas de modulation satisfaisante par les pistons. Mon travail de Français. Daniel Pérez Fernández. Plus on monte vers l'aigu, et plus les fréquences propres se resserrent. Alors certains doigtés deviennent obsolètes, et donc seul les deux premiers pistons demeurent utiles en particulier le 2ème (1/2 ton) placé justement en vis à vis du majeur (doigt le plus agile). Dans le suraigu, il est même possible de jouer sans utiliser les pistons. La septième harmonique (correspondant à un Si (4) ) est instable et fausse. C'est pourquoi elle n'entre pas dans le jeu usuel de l'instrument. 0 Do(2) Do(3) Sol(3) Do(4) Mi(4) Sol(4) Si♭ (4) Do(5) 2 * Si Fa# Si Ré# Fa# * Si 1 * Si♭ Fa Sib Ré Fa * Si♭ * La Mi La Do# (Mi) * La 23 * Sol# Ré# Sol# - - * Sol# 13 * Sol Ré - - - * - 123 * Fa# Do# - - - * - 12 ou 3 Notes basses. Sur la deuxième harmonique (soit le Do(3)) on obtient en appliquant les huit doigtés (en réalité sept) toutes les notes basses depuis le Fa# jusqu'au Do. Leur timbre guère esthétique fait que ces notes sont rarement employées. Au delà, le troisième piston n'est plus utilisé. D'ailleurs si, en théorie, son effet est le même que celui des deux premiers pistons cumulés (positions 12 et 3), dans la pratique on préfère la position 12 plus juste. L'usage du troisième piston étant réservé à la production des notes situées au delà de 1 ton et 1/2 en dessous de la note de la gamme naturelle. L'action sur le troisième piston est souvent accompagnée d'un déplacement de la coulisse (avec l'auriculaire de la main droite) apportant une correction de justesse surtout pour les notes tenues. Mon travail de Français. Daniel Pérez Fernández. Note doigté rep. commentaire sur le doigté ou la justesse Do# 123 Tirer la coulisse du 3ème piston Ré 13 Tirer la coulisse du 3ème piston Ré# 23 Tirer la coulisse du 3ème piston Mi 12 Doigté 3 à éviter. Fa 1 commentaire Fa(remplacer le texte) Fa# 2 commentaire Fa#(remplacer le texte) Sol 0 commentaire Sol(remplacer le texte) Fin du registre grave. Les doigtés sont les mêmes qu'à l'octave inférieur, mais reposent sur le quatrième mode harmonique. Ils ne commencent cependant qu'à partir du Sol#, le Sol étant une note de la gamme naturelle. Note doigté rep. commentaire sur le doigté ou la justesse Sol# 23 commentaire Sol# (remplacer le texte) La 12 Tirer la première coulisse Si b 1 commentaire Si b (remplacer le texte) Si 2 commentaire Si (remplacer le texte) Do 0 commentaire Do (remplacer le texte) Registre aigu. Les notes de la gamme naturelle se rapprochant, les combinaisons utiles se raréfient. La modulation des notes repose alors plus sur la maîtrise du mode harmonique (travail des lèvres) que sur la manœuvre des pistons (travail des doigts). La souplesse de jeu requiert alors une synchronisation parfaite des deux solutions de modulation. Beaucoup de travail donc. Daniel Pérez Fernández. Mon travail de Français. Embouchure. Dans tout instrument de la famille des cuivres, l'embouchure désigne la pièce métallique en forme d'entonnoir sur laquelle le musicien pose ses lèvres afin de les faire vibrer pour en émettre un son. L'embouchure est la caractéristique des instruments de la famille des cuivres et non le métal. Quelques trompettistes célèbres Maurice André Wynton Marsalis Louis Armstrong Allen Vizuti. Luis Gonzalez Hakan Handerberger.