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D) Chariot d’urgence sur place.
Une personne au massage cardiaque externe.
Une personne à la ventilation.
Une personne à la voie veineuse et au Soluté.
Une personne préparant le matériel d’Intubation et d’aspirations.
Les drogues d’urgence : adrénaline, Atropine, lidocaïne…
E) La réanimation cardio-pulmonaire spécialisée.
1) défibrillation précoce Manuelle.
Défibrillation manuelle, choc électrique externe, une palette en sous-claviculaire droite, une
palette en sous-mamelonaire gauche.
Utilisation si fibrillation ventriculaire (80 % des arrêts cardiaques).
Reconnaissance du rythme par l’opérateur = médecin.
Mise en charge et délivrance du choc par l’opérateur.
On commence par 200 J 2x, si inefficace → 360 J ensuite.
Permet de rétablir une activité électrique coordonnée.
Principal mode de défibrillation par les médecins en France.
2) Défibrillateur semi-automatique.
Une électrode en sous claviculaire droite.
Une électrode à la ligne sous mamelonaire gauche.
Dans l’alignement du cœur.
F) Le médecin arrive.
Intubation, Ventilation O2 à l’ambu, puis sous ventilation mécanique.
Cathéter central.
Thérapeutique médicamenteuse :
o Adrénaline.
o Atropine.
o Lidocaïne (fibrillation ventriculaire réfractaire, bolus de 100 mg en Intraveineux ou 1
à 1,5 mg/ kilo, lidocaïne sans adrénaline Flacon de 200 ml à 20 % = 400 mg)
o Amiodarone : Cordarone (antiarythmique, Δ risque d’hypotension artérielle et de
Bradycardie…).
o Magnésium (torsades de pointe avec hypokaliémie, tachyarythmie ventriculaire).
o Bicarbonate de sodium (acidose importante, hyperkaliémie préexistante,
Intoxication : tricycliques, barbituriques ; arrêt cardiaque prolongé).
o Calcium (Dissociation électromécanique causée par une hyperkaliémie, ou
hypocalcémie).
V) LE PATIENT VIENT DE RECUPERER UNE ACTIVITE CARDIAQUE SPONTANEE.
Evaluation clinique et Paraclinique : ECG (12 Dérivation).
Traitement des problèmes immédiats.