Application. Déterminer les réels x et y tels que (x – 2) +(y – 1)i = 2 – 3i.
A.4. Addition des nombres complexes.
Exemple. z = - 2 + i, z’ = 3 + 2i, calculer z + z’.
Représenter le vecteur ;u image de z, le vecteur ;v image de z’ et le vecteur ;w image de
z + z’. Que remarque-t-on ?
A.5. Multiplication des nombres complexes.
Exemple. Calculer (-3 + 2i)(5 – 4i).
A.6. Conjugué d’un nombre complexe.
Définition. Soit z le nombre complexe a + bi. On appelle conjugué de z et on note z le nombre :
z = a – bi.
Exemple. Soit z = - 2 + i. Écrire z .
Remarque. Les points images de z et de z sont symétrique par rapport à l’axe réel.
Propriété 1. Soit z et z’ deux complexes.
z + z’ = z+z’.
z . z’ = z.z’.
Propriété 2. Soit z = a + bi un nombre complexe, alors z z = a2 + b2.
Le produit d’un complexe par son conjugué est un nombre réel.
Exemple. Soit z = - 2 + i. Calculer z z
A.7. Calcul de l’inverse d’un nombre complexe.
Règle de Calcul. Pour déterminer la partie réelle et la partie imaginaire de l’inverse
d’un nombre
complexe non nul z, on multiplie le numérateur et le dénominateur par le conjugué du dénominateur :
Posons z = a + b i, z 0 alors
=
=
=
–
i.
Exemple. Calculer l’inverse de 2 – 3i.
A.8. Calcul d’un quotient.
Règle de Calcul. Pour effectuer le quotient de deux nombres complexes, on multiplie le numérateur et
le dénominateur par le conjugué du dénominateur.
Exemple. Soit z = -2 + i et z’ = 3 + 2i, calculer
.
B. Forme trigonométrique d’un nombre complexe.
B.1. Module et argument.