1) L’insertion d’un mince cathéter-aiguille dans la veine peut causer un
certain inconfort, tout comme l’immobilité dans le lit.
2) L’étude à laquelle on vous demande de participer repose en partie sur
l’injection d’un agent radioactive dans votre organisme. L’agent employé
[introduire ici le nom de l’agent et de l’atome radioactif utilisé] n’est pas
normalement retrouvé dans le corps humain et vous recevrez suite à cette
injection une faible dose de radiations (exprimée en une unité appelée
millisievert, mSv), qui s’ajoutera à celle que vous recevez
immanquablement dans la vie quotidienne (éléments radioactifs dans le sol,
rayons cosmiques, etc…), ou que vous pourriez recevoir dans le cadre de
tests ou traitements médicaux (radiographies, traitements de radiothérapie,
…). Une limite nationale pour la dose radioactive pouvant être administrés
lors d’un protocole de recherche a été définie (50 mSv/année), et il est
important, afin d’éviter que vous ne receviez une dose excessive, que vous
nous fassiez savoir si vous avez participé au cours de la dernière année à
d’autre protocole de recherche impliquant des doses de radiations. Il faudra
aussi, si dans l’avenir vous participez à une telle étude, que vous avisiez les
chercheurs impliqués de votre participation à la présente étude.
La plus grande partie de la radioactivité que vous allez recevoir aura disparu
de votre corps en quelques heures [Note aux chercheurs : si vous utilisez un
agent marqué par un atome autre que le 11C, le 13N, l’ 15O ou le 18F, il
faudra possiblement modifier cette déclaration; si vous n’êtes pas certain de
ce qu’il faut inscrire ici, prière de communiquer avec le responsable du
« PET Working Committee », le Dr Jean-Paul Soucy, au 514-398-8515, ou
par courriel : jean-paul.soucy@mcgill.ca]. Le risque principal lié à
l’exposition à des radiations du type et du niveau de celles employées dans
les études TEP (et, pour la présente étude, la dose radioactive est évaluée à
… mSv) est de développer un cancer dans l’avenir, qui ne se serait pas
développé si vous n’aviez pas reçu la radiation liée à l’étude. Cependant,
bien que les radiations sont définitivement responsables de certains cancers,
ce risque n’a jamais été formellement établi aux doses prévues dans la
présente étude, ce risque est certainement au plus très faible, et pourrait
même être nul.