vépécistes, qui ont l’avantage de posséder des bases de donnée suffisamment riches et par
conséquent facilement exploitables.
Il est également possible d’alimenter sa BBD grâce à des listes d’accès publique telle que les
page jaunes, les listes professionnelles (de médecins, d’avocats …). Mais ce type de sources
d’informations n’est pas riche en éléments très utiles et très rentables dans le cadre d’une
exploitation commerciale de la BDD. En effet, il y a simplement le nom et l’adresse du client,
on ne connaît rien d’autre.
Il existe encore des entreprises loueurs de données, mais le coût peut être très élevé pour un
fichier que l’on ne va utiliser qu’une seule fois.
Avec le développement du Web et de l’e-mailing toutes les entreprises peuvent facilement
créer leurs BDD grâce à leurs propres sites internet. Les entreprises utilisent des stratégies
pull et/ou push pour attirer les client potentiels et établissent petit à petit une relation
interactive.
L’e-mail dispose dans le monde de 225 millions d’utilisateurs dont 50% l’utilisent au moins
une fois par jour. Les projections montrent que 60% des foyers européens disposent d’un
compte e-mail, cela montre qu’il existe un grand nombre de personnes pouvant alimenter les
BDD utilisant comme source le Web.
1.4.2. Le processus d’enregistrement des informations
Avant , ce sont les personnes qui choisissent des informations utiles récupérées suites aux
opérations de marketing direct (mailing, encart presse …) et qui les enregistrent
manuellement dans les BDD. C’est un travail long qui a un coût élevé en main d’œuvre.
Aujourd’hui, grâce à l’internet, il n’y a plus d’obstacle entre les BDD et les données des
clients, l’ordinateur enregistre les infos automatiquement.