Le Développement du Modèle Néoplatonicien [017]

Les Églises Chrétiennes de Dieu
[017]
Le Développement du Modèle
Néoplatonicien [017]
dition 3.2 19940415-19991027)
Cette étude retrace l'évolution du système néoplatonicien trinitaire provenant de la
philosophie grecque dans la synthèse post-chrétienne. Elle montre l'origine du système
Cappadocien utilisant autant la philosophie antique que la théologie Catholique moderne
dans l’admission de l'origine de la doctrine.
Christian Churches of God
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Le Développement du Modèle Néoplatonicien [017]
Le concept de Dieu en tant que trois hypostases
de l'entité supérieure est développé à partir de
la pensée grecque. Il n'a aucun rapport avec la
Bible. Platon a développé le concept de formes
dans ses œuvres. Platon utilise le philosophe
Parménide en tant que son modèle. Parménide
est le premier des monistes grecs. Il n'était pas
monothéiste. Les concepts ont été développés
encore plus par ceux qui ont suivi Platon.
Plotin a développé un procédé métaphysique
relativement simple :
prévoyant seulement trois hypostases l’Un,
l’Intelligence, et l’Âme - [cet agencement] semble
avoir déjà subi une élaboration aux mains de son
principal élève Amelius (qui avait un faible pour les
triades), mais du point de vue de l'École d'Athènes,
c’est Iamblichus (vers 245-325) qui a commencé le
principal système d'élaboration scolaire qui est la
marque du Néoplatonisme postérieur (Proclus'
Commentary on Plato's Parmenides, Introduction
Générale, p. xv, Morrow et Dillon, Princeton
University Press, 1987).
Ainsi, la Trinité est préfigurée comme l'Un, la
Sagesse ou Intelligence, et l'Âme devenant l'Un
comme Père, la Parole synonyme de la Sagesse
et l'Esprit comme l’Âme fonctionnelle. Cet
Esprit, comme Âme fonctionnelle, est
considéré comme étant capable
d'individualisation mais demeure complète
comme une entité séparée et égale aux deux
autres hypostases.
Proclus a développé le concept d'une Âme
Divine Non-Participée. Dillon dit :
Une fois de plus, la sphère psychique doit avoir sa
propre monade (ou hénade), l’Âme Divine Non-
Participée, qui participe elle-même dans le Nous et
préside transcendentalement sur son propre
domaine. Dans les éléments de théologie, lorsque
Proclus discute de l’Âme (props. 184-211), nous ne
trouvons aucune mention d'une telle entité,
seulement des âmes au pluriel, mais c’est clairement
supposé, et c’est en fait mentionné plus tôt, dans
prop. 164. Là, il nous montre que l’âme non-
participée préside principalement sur le cosmos'
[prootoos huper tou kosmou esti], mais le fait
transcendentalement et est ainsi distincte de l'Âme
Universelle immanente, aussi bien que des âmes
individuelles (ibid., p. xxiii).
Proclus maintient que toutes les monades (les
unités ou unités individuelles, hénades en
philosophie Platonicienne) dans le cosmos et
au-dessus du cosmos, intelligibles et
intellectuelles sont attachées à leurs propres
monades et ordonnées l’une en relation de
l’autre, avec l’Un comme chef des monades
secondaires (ibid., p. 81). De même, l'Un est la
source et la base de la triade. Proclus dit :
Parménide trouve son confort dans l’Un
transcendant, Zeno considère une pluralité comme
l'Un, et Socrate revient même à cette pluralité à l’Un
de Parménide, puisque le premier membre dans la
triade est un analogue de repos, le deuxième de
procession et le troisième de réversion, et la
réversion créer une sorte de chemin circulaire reliant
la fin avec le commencement (op. cit., P. 86).
Les concepts des trois commencent à émerger,
mais la première étape est nécessairement celle
de la dyade (une unité de deux parties), mais la
dyade est une copie de l'Unité. Ainsi, le second
est inférieur à l’Un de Parménide qui est appelé
par Zeno lui-même comme logos ou discours.
L’Un est supérieur à la pluralité et le paradigme
supérieur à la copie (ibid., p. 87). Ainsi, le
concept de logos de la philosophie grecque est
attribué à l'Un plutôt qu’au second. Ceci est
contraire à la Bible, mais l'origine du concept
est ainsi évidente. Le concept important des
Grecs était de montrer, comme l'a fait Proclus
sur l'amélioration des arguments de Zeno, que
la pluralité exempte de l'unité est impossible.
Ainsi, la Divinité devait logiquement être une
pluralité unifiée (voir Intro to Book II, p. 93),
mais les premiers Grecs n'avaient pas de
concept Agape. Agape est une translittération
du terme hébreu 'ahabah du Cantique des
Cantiques dans la Septante. Ainsi, le concept de
l'amour de Dieu par dérogation est limiparmi
les premiers Grecs. En conséquence, le partage
de divinité qu’ils ont donc considéré,
accidentellement acquis, comme vol ou
appropriation divine (Commentary, p. 90)
n'ayant aucun concept réel d’un plan de salut
comme c’est présent dans l’Hébreu (voir
l’étude Le Cantiques des Cantiques (No. 145)).
La théorie des Idées existait aussi tôt que les
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Pythagoriciens et a été reprise par Platon dans
le Sophiste (248a). Socrate postule l'existence
du soi par soi-même qui est pris comme étant la
simplicité et la pureté non mélangées des Idées
(ibid., p. 106). Le langage hébraïque combine
ce concept comme étant présent avec Dieu
(Prov. 8:22). La Sagesse a été créée par Dieu
comme le début de Sa voie, la première de Ses
œuvres d’antan. Ceci a conduit les rabbins à
supposer que la loi était la sagesse mentionnée
vu qu’elle a créé l'ordre au lieu du chaos (voir
Soncino et aussi Ecclésiastique. 24:23 f). Les
Idées étaient distinguées des attributs basés
notamment sur des choses particulières. Ainsi,
pour les Grecs, le logos comme expression
d'idées, a été pris comme étant approprié à la
première cause plutôt qu'un attribut de la cause.
D'où la logique de la négation d'un logos
subordonné. De ceci aussi est venu le concept
que Dieu est la pensée pure. Il est intéressant de
noter qu’à partir d’Actes 7:29 logos, est
simplement un énoncé ou une locution. Voir
aussi logoi de Dieu traduit par dabar Yahovah
ou Oracle(s) de Dieu dans la LXX (Septante) et
dans le Nouveau Testament (voir l'étude Les
Oracles de Dieu (No. 184)).
Platon dit qu’Orphée a dit (Dans Tim. I, 312,26
et suiv., 324,14 et suiv., Cf. Proclus ibid., p.
168).
...que toutes choses sont venues à l’existence en
Zeus, après l'ingestion de Phanes, parce que, bien
que les causes de toutes choses dans le cosmos sont
apparues d'abord et dans une forme unifiée en lui
(Sc. Phanes), elles semblent être en second lieu et
dans une forme distincte dans le Démiurge. Le
soleil, la lune, le ciel lui-même, les éléments, et Eros
l'unificateur - tout est venu à l’existence comme une
unité "mélangée ensemble dans le ventre de Zeus"
(Orph. fr. 167b.7 Kern).
Les formes de Démiurgie ont donné lieu à
l'ordre et à l'arrangement des choses sensibles
(ibid.). Toutes choses provenant du Père ont
donné lieu à l'animisme, la nature de la
divinité était immanente dans toute matière.
Les Grecs, à partir de Parménide, ont
transformé le concept au Monisme, rendant
l'Un immanent. Mais Proclus montre que ces
concepts, en particulier les Idées qui découlent
de la Volonté du Père, ont leur origine dans les
Oracles Chaldéens (fr. 37 Des Places).
L'intelligence du Père surgit, concevant avec son
infatigable volonté
Les Idées de toute forme, et elles ont surgi de cette
unique source
Car ceci a été le conseil et l’accomplissement du
Père.
Mais elles ont été divisées par le feu de l'intelligence
et réparties parmi d'autres êtres intelligents. Car
leur Seigneur avait placé
Devant ce cosmos multiforme un modèle intelligible
éternel et le cosmos s'est modestement efforcé de
suivre ses traces,
Et a paru dans la forme qu’il a et a bénéficié de
toutes sortes d'Idées.
De celles-ci, il y avait une source, mais lorsqu’elles
ont jailli, d'innombrables autres ont été détachées et
dispersées
A travers les corps du cosmos, essaimant comme des
abeilles
Près des grandes cavités du monde,
-Et tourbillonnant dans diverses directions
Ces Idées intelligentes, émises par la source
paternelle,
Prennent prise sur le grand jaillissement du feu.
Au premier moment du temps éveillé
Cette source primaire et auto-suffisante du Père
Ont jailli ces Idées génératives primaires.
Proclus remarque ainsi :
Dans ces termes, les dieux ont clairement révélé
les Idées ont leur fondement, dans quel dieu leur
unique source est contenue, comment leur pluralité
procède de cette source, et comment le cosmos est
constitué conformément à eux, et aussi qu'ils sont
des agents en mouvement dans tous les systèmes
cosmiques, tous intelligents en substance et
extrêmement diversifiés dans leurs propriétés (op.
cit., p. 169).
Le concept du Père, comme créateur qui est le
modèle biblique est clairement compris dans
les systèmes Chaldéens et dans les textes
originaux Grecs. L'application des fonctions de
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Dieu, cependant, devient mal appliquée par
eux. Toutefois, les anciens concepts du Père en
tant que Dieu suprême étaient compris par
toutes les nations. Ce sont les néoplatoniciens
qui l’ont perverti.
L'introduction au Livre III du Commentaire de
Proclus soutient que le résumé (831,25 ff.)
montre Proclus comme précisant :
trois attributs de base de formes - Bonté, Essentiel,
Eternité, dérivant respectivement, de l'Un (la
Première Cause), l’être Unique et l’Aeon. Toutes les
formes paradigmatiques tirent leur existence de ces
trois (p. 155).
La nécessité ressort donc de ces trois attributs,
soit la Bonté, l’Essentiel et l'Éternité étant
basée sur le système Tripartite. Les Grecs ont
ainsi affirmer que Christ était coéternel avec
Dieu en dépit du fait que la Bible dit clairement
qu'il ne l'est pas et que Dieu seul est immortel
(1Tim. 6:16). L'aspect du Christ en tant que
l'Ange de YHVH est également nécessaire
comme étant des trois primaires, compte tenu
des exigences perçues de l'adéquation de la
réconciliation des hommes avec Dieu par
l’entremise de Christ. Les Grecs étaient eux-
mêmes limités par leurs concepts d'amour aux
rapports primaires d'amours filial et érotique.
Par conséquent, ils ne pouvaient pas
comprendre les paradigmes bibliques.
Le concept de l'omniscience appliqué à Christ,
contrairement aux Écritures (par exemple Apo.
1:1), suit de la nécessité des attributs, en
particulier d’Essentialité. Proclus développe
l'argument à partir du Livre IV.1047, op. cit., p.
cit., p. 406. Dans le traitement de la
connaissance comme étant unique ou multiple,
Proclus montre que celle-ci doit donc être
unique. Donc, les néoplatoniciens devaient
affirmer l'omniscience du Christ pour assurer
les autres attributs de la nature divine. Une telle
affirmation était, en soi, bibliquement absurde.
Si, toutefois, nous devons exposer le principe unique
de la connaissance, nous devons fixer sur l'Un, qui
génère Intelligence et toute la connaissance tant à
l'intérieur que ce qui est perçu aux niveaux
secondaires de l'existence. Car ceci, transcendant les
Plusieurs comme il fait, est le premier principe de la
connaissance pour eux, et n'est pas le même que
ceux-ci, comme l’Égalité l’est dans le royaume
intelligible. C’est d'assurer la coordination avec son
Altérité et inférieure à l'Être. L’Un, d'autre part, est
au-delà de l’Être intellectuel et y accorde la
cohérence, et pour cette raison, l'Un est Dieu et il en
va de même de l’Intellect, mais non pas en raison de
l’Égalité, ni de l’Être. Et en général l'Intellect n'est
pas dieu en qualité de l'Intellect, car même l'intellect
particulier est un intellect, mais n'est pas un dieu. En
outre, c'est le rôle approprié de l'Intellect de
contempler et de rendre intelligible et de juger l’être
vrai, mais celui de Dieu pour unifier, générer, pour
exercer la providence et autres choses de ce genre.
En vertu de cet aspect de lui-même qui n'est pas
l'intellect, l'intellect est Dieu, et en vertu de cet
aspect de lui-même qui n'est pas Dieu, le dieu en lui
est l'Intellect.
L'Intellect divin, dans son ensemble, est une essence
intellectuelle ainsi que son sommet et sa propre
unité, tout en sachant dans la mesure où c'est
intellectuel, mais étant 'intoxiqué sur le nectar,'
comme cela a été dit et produisant toute la
connaissance, dans la mesure c'est 'la fleur' de
l'Intellect et un supra-élément-essentiel hénade.
Une fois de plus, en cherchant le premier principe de
la connaissance, nous sommes remontés à L’Un.
De même, le premier principe a été retenu
comme étant l’Un (ibid.) et Socrate (Phaedrus
245d) dit que le premier principe est non
engendré.
Ici, le Trinitarisme devient confus parce qu'il
maintient Christ comme étant une génération
du Père. Les plus récents théologiens de
processus maintiennent l'unité transcendante de
la Divinité, il y avait une unité essentielle
non engendrée coéternelle qui considère
l'individualisation comme illusoire. Cela est
correctement du Monisme et non pas du
monothéisme. De là, cela est correctement une
forme de théologie de libération semblable au
Bouddhisme et à l'Hindouisme plutôt qu’au
Christianisme. Logiquement, elle est populaire
avec le Mysticisme. En effet, l'évolution
récente du Trinitarisme cherche à rendre Dieu
immanent comme une pure pensée, présent
dans la matière, par exemple, pierre, bois,
verre, etc. Ce n'est non seulement pas Chrétien,
mais ce n'est même pas du monothéisme
transcendantal. C’est du Monisme.
Les exigences logiques de la forme
philosophique grecque de raisonnement doivent
affirmer la divinité égale avec Christ afin
d’avancer l’ascension inconditionnelle à l’Un.
Le Développement du Modèle Néoplatonicien [017] Page 5
Cet objectif de l’ascension vers Dieu par la
détermination individuelle plutôt que par
l'assignation de Dieu est le motif sous-jacent du
Trinitarisme Cappadocien (voir aussi les études
L'Esprit Saint (No. 117) et Consubstantiel avec
le Père (No. 081).
La conclusion est confirmée à partir d'un
examen de l'histoire.
C M LaCugna (God For Us, Harper, San
Francisco, 1973) affirme que les Cappadociens,
malgré le fait qu'ils ont rarement utilisé les
termes oikonomia et theologia, avaient
considérablement modifié les concepts et leur
signification est devenue résolument établie.
La théologie est la science de Dieu en Lui-
Même'. L'économie est la sphère de la
condescendance de Dieu envers la chair. La
doctrine de la Trinité est de la théologie
strictement parlant. Dans la théologie
postérieure Patristique Grecque, l'usage
restera généralement le même. Le concept
biblique de oikonomia [économie] comme
le dévoilement progressif du mystère caché
de Dieu dans le plan de salut, est
graduellement restreint comme désignant la
nature humaine de Christ, ou l'Incarnation.
Theologia, non plus un concept biblique,
acquiert en Athanasus et dans les
Cappadociens, le sens de l’existence
intérieure de Dieu au-delà de la
manifestation historique du Verbe incarné.
Theologia, dans ce sens, spécifie
maintenant les hypostases en Dieu, mais
non la manière de leur propre révélation ad
extra. Si la théologie Chrétienne avait
abandonné l'insistance de l’impassibilité
de Dieu et affirmé que Dieu souffre dans
le Christ, cela aurait pu conserver,
contre l'Arianisme, l'unité et l'identité
fondamentales entre l'existence de Dieu
et l'existence du Christ (p. 43) (l’emphase
est ajoutée).
Nous sommes donc maintenant rendus à la
position illogique le processus de la
philosophie grecque a guidé les théologiens. Ils
ont développer la théologie en dehors de la
sotériologie (voir ibid.). En d'autres termes, ils
ont considéré la théologie séparément et sans
tenir compte du plan du salut, ce qui s'est avéré
fatal pour le christianisme.
Les théologiens mènent la Bible à la dérive de
la théologie et, par conséquent, elle a atteint
même des niveaux plus élevés d'incohérence.
Plus particulièrement, l’exigence que Dieu a
souffrir dans le Christ n'est pas une exigence
biblique. C'est une exigence de la philosophie
grecque qui place des mauvaises limites sur
l'adéquation d'un sacrifice subalterne. Les
premiers auteurs de l'Église Chrétienne étaient
tous des subordinationistes. Aucun des
premiers théologiens n’a jamais prétendu que le
Christ était Dieu dans le sens que Dieu le Père
est Dieu. C’était une invention postérieure de la
philosophie grecque importée dans le
Christianisme (voir aussi l'étude Le But de la
Création et du Sacrifice du Christ (No. 160)).
LaCugna dit que :
Les Cappadociens étaient des théologiens spéculatifs
très compétents. Ils ont brillamment synthétisé des
éléments du néoplatonisme et du stoïcisme, de la
révélation biblique et des intérêts pastoraux pour
argumenter tant contre Arius que contre Eunomius.
Leur préoccupation centrale est restée
sotériologique. Ils ont vu que leur tâche de clarifier
la façon dont la relation de Dieu à nous dans le
Christ et l'Esprit dans l'économie de l'Incarnation et
de la déification, révèle l'unité essentielle et l'égalité
du Père, du Fils et de l’Esprit. Dans le processus,
Basil et les deux Grégoire ont produit une
'métaphysique de l'économie du salut' sophistiqué
(ibid.).
Malheureusement, ce n'était pas, en fait,
l'objectif de Basil et des deux Grégoire comme
Gregg l’a démontré à partir des textes
composés dans sa Consolation Philosophy etc.,
Philadelphia Patristic Foundation Ltd, 1975.
Basil essayait de se séparer complètement du
monde dans une fuite unique (Basil EP., 2 tr.
Defarrari, I, 11, Gregg, p. 224). Les passions
devaient être enlevées de l'âme. L'âme doit être
perfectionnée pour la séparation de la chair.
Dieu Lui-même devient visible à ceux qui ont
vu le Fils, Son image.
Illuminées par l'Esprit, les âmes deviennent elles-
mêmes spirituelles [psuchai pneumatikai] et sont
initiées à la vie future dans laquelle le futur est
connu, les mystères deviennent clairs, et tous les
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