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ZOT HABERAKHA 5771
Devarim 33,1-2 : « Or, voici la bénédiction dont Moïse, l'homme de Dieu, bénit les enfants
d'Israël avant de mourir. Rashi : Et ceci est la bénédiction […] avant sa mort Peu de temps
avant sa mort, car si ce n’est pas maintenant, quand sera-ce ?
2 "L'Éternel est apparu du haut du Sinaï, a brillé sur le Séir, pour eux ! S'est révélé sur le
mont Pharan, a quitté les saintes myriades qui l'entourent, dans sa droite une loi de feu,
pour eux! » Rashi : Il commence par décerner des éloges à Hachem et l’éloge contient le rappel
des mérites d’Israël, cela dans un but d’apaisement, comme pour dire : « Ils sont dignes, ceux-là,
que tombe la bénédiction sur eux.
Car D.ieu a commencé par s’adresser aux enfants du Sé‘ir pour qu’ils acceptent la Tora, ils n’en
ont pas voulu, aux descendants de Yichma‘el ils n’en ont pas voulu., aux enfants d’Yisraël ils ont
voulu. C’est pour cela que Moshé les bénis parce qu’ils n’ont pas voulu être un peuple comme les
autres.
Zot haberakha est une immense bénédiction. Mais avant cette bénédiction Moshé révèle au
monde entier les grandeurs du peuple Juif qui résident dans le fait qu’il n’a pas voulu être un
peuple comme les autres, une langue en plus, une culture en plus, une religion en plus, car il n’y a
pas d’hébreu, il n’y a pas de judaïsme, il n’y a pas de religion Juive, il y a la Tora.
Les autres peuples parce qu’ils ont dit non, n’ont aucune part dans la Torah, pas même dans la
Torah écrite. Ils n’ont donc aucune capacité, aucun droit, aucun pouvoir de commenter ou
d’expliquer quoi que ce soit, et encore moins de s’en servir pour instituer une religion. Rien de la
bible ne leur appartient, aucun mot, aucune syllabe, aucune lettre ou voyelle.
La Torah les 613 mitsvot n’a été donnée qu’à nous, et selon comment nous l’expliquons elle est, et
comment nous agissons elle agit et ce depuis le jour où nous l’avons acceptée.
Mais bien que les non Juifs aient refusé la Torah, Noah et ses enfants ont reçu et accepté sept
mitsvot, 7 principes de foi pour l’humanité entière, 7 piliers de la civilisation humaine. Aucun
homme ne peut les refuser sous prétexte qu’il ne se sent pas concerné, car tous descendent de
Noah.
N'importe quel non-juif qui suit ces lois parce que le Tout-Puissant les a ordonnées et pas par
moralité a une place dans le Monde à venir il est appelé “'Hassid des nations du monde” ou Ben
Noah car D-ieu jugera tous les personnes qui ne sont pas juives en fonction du respect qu'elles
accordaient de leur vivant à ces lois.
Même les sept mitsvot des bné Noah, qui ont rendu le monde viable, c’est la Torah qui les a
dévoilées et ordonnées. L’universel à une origine juive. Les tabous universels proviennent de la
Torah.
Ces sept mitswoth doivent nous interpeller car comment jouer le Juif quand on ne s’est pas
encore efforcé d’être au moins aussi bien qu’un ben noah ! Elles ne doivent pas être prises comme
simplement quelque chose de “bien”, quelque chose que l'éthique nous demande de faire car il
s'agit de Lois divines, très précises et essentielles pour un Juif à partir de quoi tout commence
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pour lui, ce sont donc des “halakhoth qui doivent être suivies de manière appropriée, être
respectées selon la halakha. De même qu’il n’y a pas d’universel sans la Torah il n’y a pas de Torah
sans l’universel. Aussi, comment nous mêmes on les appliquera les non Juifs les appliqueront sur
nous !
1 L'interdiction de l'idolâtrie. La foi en un D-ieu unique. Tout individu se doit de croire en un
unique créateur de l’univers, qui exerce sa providence et juge les humains en fonction de leurs
actes. 2 L'interdiction de blasphémer. Le respect à D-ieu. Ne pas jurer au nom de D-ieu.
Maudire le Créateur ou utiliser Son Nom pour maudire une de Ses créations. Tout individu a le
devoir de révérer le Créateur qui lui a donné la vie, interdiction de prononcer tout blasphème à
son propos ainsi que toute désignation de Lui à caractère injurieux 3 L'interdiction de tuer. Le
respect de la vie humaine. La vie est un don du Très-haut et nul n’a le droit de la retirer.
L'avortement est interdit. Une personne malade ou blessée ne devrait pas voir sa vie écourtée.
"Et à l'homme qui frappe son frère, Je redemanderai la vie de l'homme" (Genèse 9:5) cela veut
dire que même si nous ressentons énormément de compassion pour une personne qui souffre, il
est interdit de faire quoi que ce soit pour raccourcir sa vie. L'euthanasie et “tuer par pitié” sont
donc interdits. D-ieu nous a demandé de sauver la vie humaine, y compris la nôtre. Il est écrit :
"Toutefois encore, votre sang, de votre vie, J'en demanderai compte" (La Genèse 9:5), le suicide
est donc interdit. Répandre sa semence en vain est considéré comme un acte à caractère
meurtrier, comme on le voit dans l'histoire de Er et Onan qui devaient respecter les sept
mitswoth des Bnei Noah. Cet acte est puni ‘hvs par une sanction divine. 4 L'interdiction de voler.
Le respect de la propriété d’autrui. A chacun sont accordés par D-ieu certains biens et certains
richesses et nul n’a le droit de l’en déposséder. Interdiction du vol de quelque manière qu’il
s’exerce et de toute forme d’appropriation du bien d’autrui, qu’elle s’effectue par la ruse ou par
la force ou de quelque façon illégale. Cette interdiction recouvre le refus d’un ou d’un salaire
et l’enlèvement d’une personne humaine quel que soit son âge ou simplement le bien-être physique
ou psychologique d'une personne, par exemple son sommeil ou en disant ou en faisant quelque
chose qui peut choquer... Le respect de la propriété d’autrui implique les actes de charité et de
bonté ainsi que le désir de venir en aide à ses semblables 5 L'interdiction des unions immorales.
Le respect de l’intégrité familiale. La vie maritale et les règles qui la régissent constituent le
fondement de la perpétuation de l’espèce humaine ainsi que de l’intégrité familiale et sociale par
le maintien de valeurs de décence et de pudeur au sein de la vie au foyer. Interdiction donc de
toute union incestueuse, de toute intimité entre membres de parenté filiale immédiate, de l’union
d’une femme mariée avec tout individu étranger et à plus forte raison des rapports entre mâles
ou avec des animaux. L'homosexualité féminine est également considérée comme étant une
abomination. Bien qu'il ne soit pas interdit aux non-juifs d'avoir des relations avant le mariage,
pour beaucoup de raisons ils devraient l’éviter. 6 L'interdiction de consommer d'un animal vivant.
Le respect des animaux, le devoir de faire respecter toutes les créatures vivantes dont Dieu a
peuplé le monde. Ne pas rester indifférent à la souffrance des animaux. 7 Instaurer des
tribunaux et juger les criminels. Le monde ne peut être laissé dans l'anarchie. Un système
organisé de lois et de tribunaux est indispensable pour que tout le monde puisse être jugé d'une
façon équitable et que personne puisse faire régner sa propre loi. Pour que tous les principes
exprimés ici puissent prévaloir, il convient donc de se doter de tribunaux dont les juges sont
investis du devoir de faire respecter ces principes jusqu’à la peine de mort s’il le faut. Ils ne
doivent pas libérer par économie d’argent ou pour tout autre intérêt des gens susceptibles de
récidiver. Quiconque connaît un litige doit recourir à ces juges et se conformer aux décisions
rendues par eux.
Bien qu'honorer nos parents ne fasse pas partie des sept mitswoth, lorsqu'un non-Juif honore
ses parents, il rend le monde meilleur et reçoit une récompense. 'Ham un des trois fils de Noah
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a été durement puni pour avoir porté atteinte à l'honneur de son père (Genèse 9:22). À
l'inverse, lorsqu'un non Juif honore ses parents, il est récompensé par le Ciel, mais il ne peut s’en
enorgueillir que s’il observe également les 7 mitsvot.
De même, Lot fut glorifié pour avoir risqué sa vie en recevant chez lui des invités dans la ville de
Sodome, une ville qui avait proscrit toute hospitalité (Genèse 19:1-10). le Midrach raconte
qu'Abraham avait rendu visite à son fils Ishmaël pour voir s’il était accueillant envers ses invités.
Lorsque la femme d'Ishmaël n'accueillit pas Abraham de bon ur, celui-ci conseilla à Ishmaël
de divorcer.
Mais il n'y a rien de plus louable qu'une personne qui souhaite sincèrement se convertir au
judaïsme et adhérer à notre peuple. Bien que nous ne cherchions pas à susciter des conversions,
la Torah accueille volontiers ceux qui, parmi les membres des nations du monde, désirent en toute
bonne foi embrasser la religion de Moché et insiste sur l’amour que nous devons leur porter.
Ils doivent à leur tour accepter toute la Torah orale et ses explications véritables pour être
considéré comme Juif à part entière. A défaut leur immersion dans les eaux du miqwé est aussi
valable qu'un plongeon dans une piscine car ils ne sont pas nés Juifs. Leur sincérité est donc une
condition sine qua non.
Car Sans la Torah orale entière, il n’y a pas de Torah écrite. Pour reçevoir son roua’h hakodesh,
son médicament, sa vitalité, ses bienfaits, ses miracles, on doit tout accepter. Sinon, quand on lit
la bible on lit des textes des versets des vers de la poésie de l’histoire sans le souffle de Moshé,
quand on lit les psaumes c’est sans le souffle de David. Mais aussi ne possédant pas les véritables
explications on peut arriver aux plus grandes falsifications, aux plus grands désastres.
La Torah orale c’est la véritable interprétation de la Torah écrite. Aussi, l’accepter ne prouve
pas encore l’annulation de la personne il faut également être prêt à s’annuler pour la comprendre
afin de la réaliser comme il convient. Tant qu’on est dans l’erreur uniquement par orgueil et
intérêt, c’est qu’on ne l’a pas encore acceptée comme ceux parmi les nations qui n’ont pas accepté
les 7 mitsvot et sont tombés ils sont tombés. Car une torah non comprise pour ces raisons
c’est un poison pour le Juif ‘hvs.
La Torah orale c’est aussi les conseils vrais qu’une personne donne aujourd’hui à son conjoint, ses
enfants, son ‘haver, reçoit de son rav ou dans une lecture car ce sont ces conseils qui nous font
tenir dans la Torah.
De même dans la vie si une personne suit conseil sans pour autant s’efforcer de le comprendre en
toute objectivité c’est qu’en vérité elle n’a pas encore accepté et n’étant pas dans le rouah elle
n’en tirera pas les bienfaits.
Aussi, Moshé Rabbenou fut loué par D.ieu d’avoir brisé les Tables de la Loi lors de la faute du
veau d’or et le Saint béni soit Il a acquiescé « les premières tables que tu as brisées (asher
shibarta) » (Shemot 34,1), que tu as bien fait (yeyasher korkha) de briser (Shabbat 87b) car en
les brisant, il a montré qu’il n’y a pas de Torah écrite sans une véritable explication de la Torah
orale.
Ils croyaient en Moshé, puisqu’ils ont dit (Shemot 32,1) « Lève toi ! Fais-nous des dieux qui
marchent devant nous car celui-ci, Moshé, l’homme qui nous a fait monter du pays d’Egypte, nous
ne savons pas ce qui lui est arrivé » ils se sont trompés dans l’explication de ses paroles ! En
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faisant le veau d’or, ils ont servi d’autres dieux et ont donc souillé la foi mais essentiellement la
foi dans l’oral.
Moshé leur avait dit (Shemot 32,1 Rashi) « je serai de retour après 40 jours dans les 6
premières heures », ils croyaient que le jour de son ascension faisait partie du décompte alors
qu’il avait parlé de jours complets, de 40 jours avec la nuit qui précède. La nuit qui a précédé le
jour il est monté à savoir le 7 sivan n’en faisait donc pas partie, de sorte que le 40ième jour
tombait le 17 tamouz, et pas le 16. Le satan en a profité pour venir le 16 et jeter la confusion
dans le monde (même parmi les non juifs). Il lui a donné l’apparence de ténèbres, d’obscurité, de
brumes et de désordres, de sorte qu’ils ont dit « Moshé est sûrement mort, pour que le monde
soit ainsi déréglé ! » Il leur a alors annoncé «Moshé est mort, puisque 6 heures se sont écoulées
et qu’il n’est pas arrivé… » (Shabbat 89a).
De même quand une personne a des préjugés sur une autre le satan va tout faire pour la
renforcer dans ses préjugés et cashériser sa disance et son opposition. Tout écrit, toute
discussion, toute parole, tout geste devient un support de fausse interprétation.
Le satan c’est un testeur de foi. Dans le livre de Job, ha-satan est un ange soumis à Dieu. Il fait
remarquer à Dieu les mauvaises actions de l'humanité. Il demande à Dieu de tester la foi de Job,
un homme pieux et juste. Malgré la perte de sa famille et de sa santé, Job reste fidèle à Dieu.
C’est aussi pour la personne un testeur de foi en son ‘haver en ses proches en son conjoint en son
rav car il fera tout pour la bilbouler.
Comme ils n’étudiaient pas bétmimout et ont voulu expliquer les paroles de Moshé selon leurs
idées, les enfants d’Yisraël se sont trompés et n’ont pas pris en compte l’enseignement oral qu’un
jour commence avec sa nuit. Aussi, lorsque Moshé descendit de la montagne et vit les
conséquences désastreuses d’une fausse interprétation de la Torah orale, il brisa aussitôt les
Tables de la Loi à leurs yeux pour leur montrer que le refus d’une seule interprétation véritable
annule la Torah entière.
Mais de même que la torah a été donnée dans l’union de même seulement lorsqu’Israël se réunit
et se rassemble dans l’amour et dans l’union qu’ils ont part dans la Torah, dans ses explications,
dans sa sainteté, dans ses allusions qu’elle envoie à tout moment à celui qui l’étudie et l’observe
qu’elle devient alors un héritage pour eux, qu’ils sont de véritables descendants de la génération
du Sinaï capables d’amener en eux une sainteté réelle ( Rashi dévarim 33, 5) « quand la paix règne
en votre sein. Je suis votre Roi (c’est à dire je règne en vous et vous donne de ma sainteté) et
non lorsque des querelles vous opposent ».
Aussi quand il n’y a pas de shalom et que les différents d’opinions se transforment en disputes,
en haine, en conflits, en agressivité, en animosité, en provocation, en fâcherie, en rupture… c’est
comme si on disait non à la Torah entière car la condition pour la recevoir c’est le shalom, c’est de
rester ensemble.
Aucune torah justifie la dispute, aucun emet suscite l’agressivité, et il suffit d’un regard haineux
pour basculer dans le faux et tout perdre ‘hvs. La Torah c’est l’amour de l’autre, l’écouter, le
comprendre, le pardonner, l’aider, le renforcer, c’est travailler sa jalousie, sa haine, son orgueil…
Et de même que les nations par le fait d’avoir refusé la Torah n’ont pas l’œil pour voir les allusions
que le Ciel leur envoie à tout moment, de même ceux qui parmi nous ne recherchent pas le shalom
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et le émet ne voient pas les messages que D.ieu leur envoie pour qu’ils changent, et quand ils les
voient comprennent le contraire.
Et de même que les nations par le fait d’avoir refusé la Torah ne se débarrassent pas de leurs
pulsions et fantasmes de même ceux qui parmi nous ne veulent pas le shalom et le émet garderont
leurs pulsions et fantasmes.
Le Matane Torah, c’est la possibilité pour une personne de recevoir une lumière à tout moment.
Et lorsqu’elle reçoit cette étincelle de vérité, elle a alors le choix, de choisir la vrai
comportement, la bonne décision, la vraie vie, et le pouvoir de changer grâce à des
languissements et des sacrifices. C’est en cela que réside l’essentiel de son libre arbitre.
Etudier la Torah mais pas dans un but réel d'observer, aussi grand soit l'intérêt qu'on y porte et
l'importance qu'on lui donne, c'est déjà la refuser. Et même si on l'étudie dans un but de la
réaliser, si on la sépare de la vie quotidienne, de la vie privée, de la vie professionnelle, si on ne la
vit pas dans chaque situation de la vie cela s'apparente à la refuser.
Ne pas faire de mal à son prochain, ne pas le tromper, ne pas le forcer, ne pas l’embarrasser, ne
pas le stresser est tout aussi important que de manger casher, travailler sa colère doit nous
travailler autant que de ne pas travailler shabbat. La Torah est une doctrine d'actions. Il
n'existe pas de religion juive, car la Torah embrasse tous les domaines de l'activité humaine.
La torah orale d’aujourd’hui c’est principalement les enseignements des tsadikim de notre
génération. Avoir foi en eux c’est avoir foi en D.ieu et en la Torah toute entière.
Car ils dévoilent la force de la parole de n’importe quel Juif. Ils insistent sur les birourim les
éclaircissements tant sur l’écrit que sur des comportements et des paroles. Et c’est dans ce sens
qu’ils ont innové leurs principaux conseils : si’hat ‘haverim et hitbodédout qui deviennent alors de
la Torah orale.
Aussi, si’hat ‘haverim est nécessaire car elle permet d’éclaircir la Torah écrite. Donc la si’hat
‘haverim en dehors du bienfait qu’elle apporte en tant que si’hat ‘haverim, apporte aussi la
berakha puisqu’on est lié au ‘Houmash. Maintenant que Rabénou a institué la sihat ‘haverim comme
avodat Hashem, on ne peut pas être croyant sans si’hat ‘haverim.
De même hitbodedout, on ne peut pas être croyant si on ne fait pas itbodédout depuis que
Rabénou l’a institué, car grâce à itbodédout, on va faire des birourim sur nous, sur notre
comportement, on va faire le mishpat sur nous, on va vivre le ‘Houmash dans notre comportement.
Aussi, on comprend que sans le Tsadik on n’est pas croyant.
C’est pourquoi parfois la personne est amenée à voyager essentiellement pour rencontrer des
personnes avec qui elle doit parler et faire si’hat ‘haverim, pour compléter sa foi, pour être
branchée ‘Houmash, pour devenir croyante, pour recevoir la berakha.
Il faut voyager, se déplacer, jusqu’à se marteler les pieds pour pouvoir étudier dans la yeshiva
des Tsadikei émet qui se consacrer toute leur vie à l’étude de la foi. Il faut entrer dans leurs
souccot et dans leurs tentes de synagogue en synagogue, de beth hamidrash en beth
hamirdrash, de centre d’étude en centre d’étude et chercher, demander, jusqu’à mériter
d’arriver à la yeshiva sainte, qui se consacre à l’étude du émet pour amener la émouna sainte dans
le cœur de quelqu’un. C’est à cela que fait allusion le verset « véèm toukou léraglékha issa
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