
 
 Communiqué de presse, 5 février 2001 
 
 ad 2-one et Carat légitiment l’efficacité 
du media Internet   
 
 
Au travers  du calcul du « Bêta »  d’Armand  Morgensztern,  ad  2-one et  Carat 
valorisent l’outil de communication Internet et le positionnent comme un média 
à part entière. 
 
 
ad 2-one et Carat ont réalisé une étude visant à démontrer l’efficacité de l’Internet en 
terme de mémorisation d’une campagne publicitaire. ad 2-one et Carat ont fait appel 
à Armand Morgensztern pour calculer le Bêta de mémorisation, comme il l’avait fait 
précédemment  pour  la  télévision,  le  cinéma,  la  radio,  la  presse  et  l’affichage.  Ce 
Bêta  constitue  l’une  des  composantes  essentielles,  avec  la  couverture  et  la 
répétition,  permettant  de  calculer  le  taux  de  mémorisation  d’une  campagne 
publicitaire. 
 
Jusqu’à présent, aucun outil de mesure ne permettait de comparer l’efficacité de la 
publicité entre les médias traditionnels et Internet. Aujourd’hui, la lacune est comblée 
par le bêta, valeur incontestée depuis sa création, qui permet d’introduire Internet à 
sa juste valeur dans les plans médias. 
 
Les résultats de cette étude permettent de prouver que le taux de clics est loin d’être 
l’unique  moyen  de  mesurer  l’impact  d’une  campagne  publicitaire  online.  Elle 
démontre en effet, l’efficacité des bannières en terme de mémorisation d’un message 
publicitaire sur internet.  
 
A  l’instar  des  nombreuses  études  établies  auparavant  centrées  sur  un  site  ou  un 
ensemble de sites, celle de ad 2-one  et  Carat    est  la  première,  d’un  point  de  vue 
méthodologique, à appréhender les campagnes publicitaires online de 5 annonceurs 
dans leur globalité. En effet, la couverture, la répétition et le taux de mémorisation 
ont été calculés sur la totalité des sites des plans média, sites en régie chez ad 2-
one, ou non, ce qui a fait porter l’étude sur 3523 individus. 
 
Internet apparaît comme le 3ème média en terme de mémorisation, juste après la 
télévision (15% pour un écran de 20 secondes), avec un « Bêta bannière » de 11 %, 
le cinéma occupant le haut de l’échelle avec 75%. La presse vient ensuite avec un 
taux de 11 % pour une page quadri, suivie de  l’affichage avec 9.5% et de la radio 
avec 5% pour un écran de 30 secondes.